Tempête de sentiment
Un jour de tempête,
L’océan mécontent,
Me faisait la tête,
Et m’emporta méchamment.
Il me pris en otage,
M’enfermant au sommet d’une tour,
Dans un palais de coquillage,
Il avait un chagrin d’amour.
Mon pauvre ami,
Dont la colère,
S’était servi,
Il s’était disputé avec la mer.
Elle était sa fiancé,
Mais elle l’avait laissé tomber,
Pour se marier,
Avec l’Océan d’a côté.
La rage avait disparus,
Mais la trisesse d’avoir perdu,
Un être cher,
C’était la mer.
L’océan me libérant de ma prison,
Aussi triste qu’un poisson,
Qui se serait fait attraper,
Par un poissonnier.
A moi maintenant,
De le consoler,
De son chagrin d’avant,
Il fallait l’oublier.
La tempête finie,
Le soleil revenu à la charge,
Nous deux pour la vie,
Nous partons au large.
Un jour de tempête,
L’océan mécontent,
Me faisait la tête,
Et m’emporta méchamment.
Il me pris en otage,
M’enfermant au sommet d’une tour,
Dans un palais de coquillage,
Il avait un chagrin d’amour.
Mon pauvre ami,
Dont la colère,
S’était servi,
Il s’était disputé avec la mer.
Elle était sa fiancé,
Mais elle l’avait laissé tomber,
Pour se marier,
Avec l’Océan d’a côté.
La rage avait disparus,
Mais la trisesse d’avoir perdu,
Un être cher,
C’était la mer.
L’océan me libérant de ma prison,
Aussi triste qu’un poisson,
Qui se serait fait attraper,
Par un poissonnier.
A moi maintenant,
De le consoler,
De son chagrin d’avant,
Il fallait l’oublier.
La tempête finie,
Le soleil revenu à la charge,
Nous deux pour la vie,
Nous partons au large.