Qu’est-ce que je vois ?
Qu’est-ce que je vis ?
Seul perché à contempler les villes brûlées
A compter les rêves asphyxiés
Levant la tête, manquant de tomber
Des satellites aussi brillants que les étoiles
Font d’étranges traînées, pièges d’araignées affamées
En mon cœur ces trous béants laissés par quelques obus géants
Maintenant ont laissé place à des rayons multicolores vibrillonants
Seul perché à contempler les villes brûlées
A compter les rêves asphyxiés
Levant la tête, manquant de tomber
Des satellites aussi brillants que les étoiles
Font d’étranges traînées, pièges d’araignées affamées
En mon cœur ces trous béants laissés par quelques obus géants
Maintenant ont laissé place à des rayons multicolores vibrillonants