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Les pensées célèbres, celles de la Vagabonde de la Poésie, les pensées Momoriciennes et les vôtres si le coeur vous en dit

Toute forme d’infantilisation devrait-être sévèrement punie par une loi.
 
Dernière édition:
Ma vie a toujours été une véritable quête sur la vérité, à la fin de chaque vérité disait Pascal, on se doit d’ajouter que l’on se souvient de la vérité opposée.

Réflexions sur la vérité.

Mon rêve serait d’unir la vérité du fond à la beauté artistique de la forme.

Si l’on veut trouver la vérité on ne doit s’attacher à aucune idée humaine.

La vérité on doit la voir impartialement sans autre soucis de la représenter.

La vérité ne s’obtient qu’avec le mépris de la politique, l’indifférence religieuse et morale et enfin le mépris de soi-même.

Comme la science la vérité est impersonnelle.

Le soucis de vouloir transmettre la vérité est aussi ancien que la littérature elle-même.

La vérité doit se positionner au-dessus de tous les dogmes.
 
Le mensonge est l’ascensoir obscur des vérités enfumées.
Mais c'est du Baudelaire mon Arthur

Un mensonge ne peut jamais être effacé. Même la vérité n'y suffit pas. Paul Auster

Belle journée l'enfant terrible de la Poésie

Embrasse la forêt pour moi , je t'emporterais ce soir vers les lumières du Port Toulonnais pour quelques heures, veux-tu ?

La Bohémienne de la Poésie te souris
 
Mais c'est du Baudelaire mon Arthur

Un mensonge ne peut jamais être effacé. Même la vérité n'y suffit pas. Paul Auster

Belle journée l'enfant terrible de la Poésie

Embrasse la forêt pour moi , je t'emporterais ce soir vers les lumières du Port Toulonnais pour quelques heures, veux-tu ?

La Bohémienne de la Poésie te souris
…mais bien sûr je ne refuse jamais le voyage avec toi!.
Incroyable Charles Baudelaire lui-même qui se permet de me plagier!.
Rassure-toi, cela ne va pas se passer comme ça, il va se l’entendre dire, non mais!.
Bonne journée chère enfant vers les lumières du port de Toulon.
Mes pensées t’accompagnent comme toujours.
Je t’embrasse
Momo
 
Plié dans un linceul mon corps sur la civière,
je songe enfin seul, libéré d’un enfer,
aux remous incessants, reflux d’une rivière
sanguinolente, aux portes rivées en fer !.

L’écluse régule mes rancœurs successives,
une larme versée immacule les flots,
d’images fuyantes aux lueurs excessives,
puis baigne mes pensées bercées par le reflot !.

Le clapotis de l’eau émoustille mes sens,
je dérive embarqué sur une onde puissante,
vers le monde lointain je vogue à contresens,
happé par des courants aux forces saisissantes !.

Dois-je espérer ? enfin croire au mirage ?.
J’écoute en silence ma raison qui divague,
mon âme s’enfuit avec force avec rage,
au sein de l’univers, mon esprit gyrovague!.
 
Sous la marquise de notre dame des voyageurs !.

Sur la voie des traverses l’homme de fer parle d’une seule voix, ses larmes aux vapeurs amères lui remémorent un temps l’illusion parfaite, où les monstres noirs aux rames immenses dans un élan d’enfer suivaient la rivière, déchiraient les tunnels en sifflant leur foi aux gardes-barrières.

Ah !...si nos anciens revenaient ils n’en reviendraient pas !.

Ou à la manière de Paul Verlaine à la plume magique pour décrire le mouvement infernal de la bête noire :

Dans l'herbe noire
Les Kobolds vont.
Le vent profond
Pleure, on veut croire.

Quoi donc se sent ?
L'avoine siffle.
Un buisson gifle
L'oeil au passant.
 
…mais bien sûr je ne refuse jamais le voyage avec toi!.
Incroyable Charles Baudelaire lui-même qui se permet de me plagier!.
Rassure-toi, cela ne va pas se passer comme ça, il va se l’entendre dire, non mais!.
Bonne journée chère enfant vers les lumières du port de Toulon.
Mes pensées t’accompagnent comme toujours.
Je t’embrasse
Momo
Nous ne serons pas passé à côté du plus savoureux nectar de la Poésie
Aussi vrai que les entités aux multiples pseudos ne s'en griseront jamais

Merci mon Arthur
Belle journée

Je t'embrasse du concert de tes vers, que j'adore

Paule
 
Plié dans un linceul mon corps sur la civière,
je songe enfin seul, libéré d’un enfer,
aux remous incessants, reflux d’une rivière
sanguinolente, aux portes rivées en fer !.

L’écluse régule mes rancœurs successives,
une larme versée immacule les flots,
d’images fuyantes aux lueurs excessives,
puis baigne mes pensées bercées par le reflot !.

Le clapotis de l’eau émoustille mes sens,
je dérive embarqué sur une onde puissante,
vers le monde lointain je vogue à contresens,
happé par des courants aux forces saisissantes !.

Dois-je espérer ? enfin croire au mirage ?.
J’écoute en silence ma raison qui divague,
mon âme s’enfuit avec force avec rage,
au sein de l’univers, mon esprit gyrovague!.

Je gyrovague avec Toi, je vais chercher dans mes malles, si je ne t'ai pas déjà illustré ce Poème

quand le temps me laissera le marauder
 
Sous la marquise de notre dame des voyageurs !.

Sur la voie des traverses l’homme de fer parle d’une seule voix, ses larmes aux vapeurs amères lui remémorent un temps l’illusion parfaite, où les monstres noirs aux rames immenses dans un élan d’enfer suivaient la rivière, déchiraient les tunnels en sifflant leur foi aux gardes-barrières.

Ah !...si nos anciens revenaient ils n’en reviendraient pas !.

Ou à la manière de Paul Verlaine à la plume magique pour décrire le mouvement infernal de la bête noire :

Dans l'herbe noire
Les Kobolds vont.
Le vent profond
Pleure, on veut croire.

Quoi donc se sent ?
L'avoine siffle.
Un buisson gifle
L'oeil au passant.
Des trains d'avant au train d'aujourd'hui

J'adore l'ambiance des gares
Tu me rappelles quand j'ai pris pour la première fois le TGV
Les voyageurs retenaient leur respiration dans les accélérations
Mon bonheur était à l'apogée , comme ce matin de te lire

Tu n'as rien a envier à la cadence des vers de Verlaine
Ton rythme effleure mon coeur et c'est savoureux

Ce qui te rend si unique à mes yeux Poète fabuleux.
 
Des trains d'avant au train d'aujourd'hui

J'adore l'ambiance des gares
Tu me rappelles quand j'ai pris pour la première fois le TGV
Les voyageurs retenaient leur respiration dans les accélérations
Mon bonheur était à l'apogée , comme ce matin de te lire

Tu n'as rien a envier à la cadence des vers de Verlaine
Ton rythme effleure mon coeur et c'est savoureux

Ce qui te rend si unique à mes yeux Poète fabuleux.
Merci chère Paule tu es toujours trop gentille avec moi, l’enfant terrible que je suis ne le mérite sûrement pas, mais il est toujours très sensible à tes compliments!.
Bonne journée chère enfant!.
Mes pensées et mes bises t’accompagnent.
Momo
 
A71EA7D6-6CA9-48F7-8863-13B8FCD692CE.png Avant de clôturer cette petite série sur mes amis à quatre pattes, et parler naturellement des poids lourds de la ferme, je ne pouvais pas écarter de mes récits sûrement les deux plus incroyables par leur intelligence.
Les petits félins naissaient la plupart du temps sans que l’on puisse les localiser, les mères très malines avaient compris depuis longtemps que la discrétion absolue favorisait la reproduction de leur espèce.
Aussi on pouvait difficilement approcher une portée dès sa naissance. La plupart du temps on apercevait les petites créatures, alors qu’elles étaient presque sevrées. Il s’agissait de chats communs du type européen aux qualités très redoutables.
Croyez-moi !…je pense que je n’ai plus à vous convaincre, on se connaît suffisamment maintenant, les rats entre-autres se méfiaient d’eux, il n’était pas rare que l’on trouve des dépouilles aussi grosses que le prédateur ronronnant qui les avait mis à mort!.
Le silo à maïs fournissait une abondante nourriture, ainsi que les grains de blé éparpillés, les beaux spécimens à forte corpulence n’étaient donc pas rares!.
Les chats étaient de vrais chasseurs, ils n’étaient du style à jouer avec les souris , combien de fois je les ai vu gober leur proie largement enfoncée dans leur gorge, la pauvre bête étouffée remuant désespérément ses pattes arrières, un peu comme si elle voulait écourter son agonie !.
L’heure de la traite était la bienvenue, une gamelle traînait toujours dans un coin de l’étable, et mon père sacrifiait un peu du précieux contenu du sceau à traire. Par dizaines n’écoutant que leur faim, les minets à moitié sauvages se jetaient goulûment sur l’excellent breuvage.
C’est à ce moment précis, qu’il n’était pas rare d’apercevoir un rat équilibriste sur le rebord supérieur du râtelier en balade!.
Le faisait-il exprès pour les narguer, je ne le pense pas, la troupe des poilus était bien trop occupée pour l’apercevoir.
Nous vivions en compagnie de ces adorables bêtes sans avoir la possibilité de nous en débarrasser !.
Le poison de l’époque était un danger pour les chats, en effet ils pouvaient en consommant leur proie mourir dans d’atroces souffrances.
La solution était donc dans cette proximité, qui engendrait un équilibre entre la population féline, et les rongeurs.
Le bord du Lot où nous avions l’habitude de jeter les déchets biologiques, était également propice à cette prolifération.
Parfois, une crue soudaine pouvait élimer une partie de ces charmantes bestioles.
Mais une montée progressive de la rivière au contraire était nocive à notre environnement, les rats quittaient alors leur trou, et montaient dans les greniers!. Mon frère avait invité pour quelques jours un correspondant, le lendemain matin, ma mère toujours soucieuse du confort des personnes qu’elle recevait, lui demande :« vous avez bien dormi?». J’ai mis un moment à trouver le sommeil, j’entendais au plafond des petits pattes qui se déplaçaient !».
Sa réponse fut rapide et claire :«Ah !…se sont les chats qui se baladent la nuit!».
Je ne sais pas si elle a réussi à le convaincre, mais il ne nous en a plus reparlé durant son séjour.
Revenons si vous le voulez bien, à nos amis les greffiers, une portée venait de naître, quand notre voisine est passée en nous demandant si nous pouvions lui garder un chaton, et presque au même moment une cousine de Faycelles a formulé la même demande.
Évidemment le préposé aux chats du port, était votre écrivaillon de service!.
Pas de soucis après quelques échanges avec ma mère l’affaire était en marche !.
Déjà me direz-vous !.
La tâche allait être facile, c’était ma minette préférée une magnifique et pure Isabelle à poils longs qui venait de faire ses petits!.
Elle était abordable, c’était la seule qui avait accès à l’intérieur de notre maison.
Chez Marceline ma grand-mère certains chats osaient s’aventurer parfois, la porte était toujours ouverte, mais le grand balaie en paille était à portée de sa main, et inutile de vous dire que les allers-retours étaient rapides. Une poule franchissait parfois le seuil, mais il était très rare qu’elle en ressorte vivante, donc l’instinct de survie primait sur toutes les gourmandises convoitées !.
Et puis,quelquefois une petite dose de rappel s’avère nécessaire !.
Pour une volaille la fermière est une personne immortelle n’est-ce pas?.
J’avais baptisé l’adorable génitrice Zabelou, comme toutes les Isabelle que j’ai connu par la suite.
Sauf une seule fois, je dois vous l’avouer, je n’ai pas osé, elle avait une tête, et un corps jusque là rien d’anormal, sauf que son anatomie se terminait par deux jambes !.
Mais revenons à nos moutons…non, à nos chatons !.
Je dois vous avouer qu’à leur vu sur le coup j’ai été assez déçu, la Belle avait enfanté que des petites boules noires !.
Quel était donc le chat qui l’avait séduite !.
Après tout comme l’on dit les goûts et les couleurs !.
Après cette courte désillusion, j’ai fini par choisir deux bébés au hasard, en espérant qu’il fasse bien les choses!…sourires
Les semaines passèrent assez rapidement, et les deux rejetons étaient presque autant de temps avec moi, qu’avec leur mère, qui me les laissait volontiers.
Sachant que je devrais un jour m’en séparer je les avais surnommé mes deux petits, ils se ressemblaient comme deux agates noires à poils longs, et leurs yeux étaient étrangement bleus.
Le dressage à la Maurice ne tarda pas à se mettre en place, bien plus marrant que celui de Zabelou qui ne manquait pas de les remettre à leur place d’un sévère coup de patte dont elle avait le secret.
J’avais décrété qu’ils seraient définitivement sevrés et éduqués qu’à l’âge de quatre mois, et qu’il m’était impossible d’imaginer que je les laisserais partir avant cette date limite.
Je les embarquais quand j’allais pêcher sur la rivière, ils prenaient alors rapidement conscience que le lait maternel n’était pas la seule nourriture qu’ils devaient convoiter, enfin ils joignaient ainsi l’agréable à l’indispensable!.
Zabelou de son côté finissait l’apprentissage en leur portant toutes sortes de bestioles amusantes remuantes, et souvent comestibles.
Lorsque nous allions lancer l’épervier à l’étang toute la meute nous suivait, la grande armadas était en déplacement, derrière la cheftaine aux trois couleurs!.
Il y avait du poisson frais à manger pour tout le monde.
Le signal en début de matinée allait être clair. Dans une grande marmite nous préparions de quoi appâter le coin où le filet se refermerait sur la friture à venir!.
Il s’agissait d’un savant mélange de pomme de terre, de blé, de maïs, de mis de pain, de menthe sauvage, etc (vous ne pensiez quand même pas que j’allais vous donner la recette complète du pêcheur expert d’eau douce !.) les félins étaient prévenus, la soirée allait être frugale !.
Et mes deux amis bien entendu faisaient parti de la fête !.
Je faisais d’eux ce que je voulais, je les baladais dans une bouilloire sans qu’ils bougent, mais leur plus grand plaisir était bien sûr d’être avec moi dans la barque où il s’amusaient à me rejoindre sur le tranchant étroit en grands équilibristes.
Un jour et c’est là que je voulais en venir, sans vouloir pour autant vous mener en bateau, un jour disais-je, alors que pour une fois j’avais oublié de les embarquer, j’étais à cinquante mètres du rivage quand je les ai entendu miauler avec insistance!. Que faire ?.
La solution ils l’ont trouvé eux même, sans hésiter une seconde, et c’est là que ma petite histoire devient extraordinaire, ils se sont mis à l’eau et m’ont rejoint à la nage!
Je n’en revenais pas, j’étais entrain d’assister à une incroyable scène nous étions en été c’est vrai, mais quand même !.
Arrivés sans encombre je les ai cueilli et accueillis sans problème saluant leur initiative héroïque, nous avons ensuite comme à notre habitude taquiné le gardon, la perche, et le soleil.
Il a bien fallu que l’on se sépare, les semaines passent très vite vous le savez lorsqu’on est heureux, arriva inévitablement le jour des aurevoirs, j’ai dû tenir à contre cœur mon engagement, une boule ronde est partie sur l’autre rive, à cent mètres de moi, heureusement j’ai eu l’autorisation d’aller lui rendre visite quand je le souhaitais, elle ne manquait pas l’occasion de venir se frotter en ronronnant contre ma jambe, elle a eu une vie heureuse car très choyée, elle est morte à un âge très respectable dans sa dix septième années, sa sœur à eu presque le même parcours chez ma cousine de Faycelles, à la différence près que nous l’avons récupérée à l’âge de seize ans, elle a finit son existence avec son ami le dresseur, et sa douce mère la maîtresse à la patte agile, au port de la Madeleine.
Elle est morte avant Zabelou à l’âge de dix huit ans. J’ai aperçu Zabelou très affaiblie pour la dernière fois, alors qu’elle allait avoir vingt et un ans dans la grange aux naissances, je lui ai fait mon dernier câlin.
Je pense qu’elle a été mourir dans un coin de la ferme, je n’ai jamais retrouvé son corps.

L’écrivaillon s’arroge le droit de modifier légèrement son récit né d’un premier jet de plume, merci pour votre lecture.
 
Dernière édition:
Le premier acrostiche est une suite de phrases formées d’alexandrins…le deuxième est une suite d’idées. E4EF99A0-907A-429A-A7CA-8F4ECBD57847.jpeg

A érien sur les plus hautes cimes, tu rimes !,
L ’art y est si pur, le ton si haut, tu voles
Éternellement, aux sons des holorimes !.
X ylophone des âmes aux airs frivoles,
Amour poétique, aux résonances fines,
N ul refrain n’embrase autant que toi les cieux !.
D onne à cet envol une ode féminine,
R êve aux grands échos aux timbres judicieux,
I déalise ce roi à la voix divine,
N aturelle en versets, chantant l’esprit de Dieu !.
 
Dernière édition:
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Il faut devenir oiseau pour arriver à suivre l'éther de tes vers, çà vole très haut , mes compliments
la petite mésange qui bade tes alexandrins, c'est moi

Belle journée mon Arthur, l'Enfant terrible de la Poésie et son oiseau bleu

je t'embrasse

Paule






 
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Il faut devenir oiseau pour arriver à suivre l'éther de tes vers, çà vole très haut , mes compliments
la petite mésange qui bade tes alexandrins, c'est moi

Belle journée mon Arthur, l'Enfant terrible de la Poésie et son oiseau bleu

je t'embrasse

Paule






elle est jolie cette petite mésange!.
Cela me remet en mémoire que pendant deux ans elles sont venues frapper du bec aux vitres de ma salle de séjour!.
C’était curieux, elles ont cessé de le faire le jour où Zabélou est arrivée à la maison…là on les comprend!.
Merci beaucoup chère Paule pour cette très belle mise en page!.
Mes pensées t’accompagnent comme toujours.
Bonne journée
Je t’embrasse
Momo