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Les pensées célèbres, celles de la Vagabonde de la Poésie, les pensées Momoriciennes et les vôtres si le coeur vous en dit

Flaubert ma façon de le voir :

Gustave Flaubert a mis sa vie entière au service d’une passion unique : la littérature. Il a vécu comme une sorte d’ermite littéraire. Sa vie est une belle leçon de morale et de volonté tenace. Il n’a connu que les joies de l’art, d’un art impersonnel qui procède uniquement de l’intelligence et non des passions personnelles, il a été avant tout un artiste, plus qu’un homme.
Il écrit : "Pour un artiste, il n’y a qu’un principe : tout sacrifier à l’art".
Dans sa prose il a essayé de fondre trois arts : la peinture, la sculpture, et la musique tout comme les poètes lyriques dans leurs vers. ( Je pense à Charles Baudelaire). Ces trois qualités : pittoresque, plastique et harmonie demande un effort prodigieux quand on veut les unir comme Flaubert non seulement dans l’œuvre mais dans la phrase elle-même.
Il écrit à son amie Louise Colet : "Je travaille comme un acharné, j’écris jusqu’à sept lignes par jour, sept jours sur sept…je suis épuisé."
Enfin, c’était un drôle de bonhomme, qui voyait graviter autour de lui des sous-hommes.
Ne perdons jamais de vue que les écrivains à l’époque étaient considérés par le voisinage comme des fainéants. Arthur Rimbaud écrit : "j’ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles. La main à la plume vaut la main à la charrue".
 
Flaubert ma façon de le voir :

Gustave Flaubert a mis sa vie entière au service d’une passion unique : la littérature. Il a vécu comme une sorte d’ermite littéraire. Sa vie est une belle leçon de morale et de volonté tenace. Il n’a connu que les joies de l’art, d’un art impersonnel qui procède uniquement de l’intelligence et non des passions personnelles, il a été avant tout un artiste, plus qu’un homme.
Il écrit : "Pour un artiste, il n’y a qu’un principe : tout sacrifier à l’art".
Dans sa prose il a essayé de fondre trois arts : la peinture, la sculpture, et la musique tout comme les poètes lyriques dans leurs vers. ( Je pense à Charles Baudelaire). Ces trois qualités : pittoresque, plastique et harmonie demande un effort prodigieux quand on veut les unir comme Flaubert non seulement dans l’œuvre mais dans la phrase elle-même.
Il écrit à son amie Louise Colet : "Je travaille comme un acharné, j’écris jusqu’à sept lignes par jour, sept jours sur sept…je suis épuisé."
Enfin, c’était un drôle de bonhomme, qui voyait graviter autour de lui des sous-hommes.
Ne perdons jamais de vue que les écrivains à l’époque étaient considérés par le voisinage comme des fainéants. Arthur Rimbaud écrit : "j’ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles. La main à la plume vaut la main à la charrue".
Tu as plus de connaissances littéraires que tous les compteurs de pieds, que j'ai eu le malheur de croiser , je te souris

Suivons le conseil de Baudelaire (j'ai chiné sur le net une photo de lui , jeune, parce qu'on a les traits de son âme, je préfère ce visage juvénile)

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Belle nuit mon Arthur de Figeac

Je t'embrasse d'amitié

Paule




 
Tu as plus de connaissances littéraires que tous les compteurs de pieds, que j'ai eu le malheur de croiser , je te souris

Suivons le conseil de Baudelaire (j'ai chiné sur le net une photo de lui , jeune, parce qu'on a les traits de son âme, je préfère ce visage juvénile)

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Belle nuit mon Arthur de Figeac

Je t'embrasse d'amitié

Paule




et oui!…chère Paule tout est dit dans ces quelques lignes, et si Charles n’avait écrit que cela, il aurait déjà prouvé au monde qu’il était un très grand poète en allant droit à l’essentiel dans sa compréhension de la vie. Il avait très bien analysé le sens de la marche des astres qui conduit inévitablement au désastre!. Le père temps fait de nous des victimes désignées!. Nous devons nous protéger de l’ensemble des règles toujours plus nombreuses dictées par la société, car les subir sans réagir n’en doutons pas un instant, c’est aller vers une forme d’esclavage déguisé de plus en plus pesante. Éloignons-nous des journaux télévisés qui n’ont qu’un seul objectif, celui de nous attrister sans raison, les nués d’actualité sont faites de millions de larmes n’est-ce pas?. .
Réfugions nous, dans ce qui nous est le plus précieux, et prenons un maximum de plaisir
dans l’espace et le temps encore libre, en appliquant à la lettre ce que ce cher Charles Baudelaire nous souffle à travers les paroles du très grand poète, qui ne l’oublions jamais à toujours raison.
J’ajoute qu’il a été le premier écrivain voyant!.
Agréable journée à toi chère enfant.
Je t’embrasse
Momo
 
Dernière édition:
Celui-là je l’ai pensé, et écrit en quatre heures.

Le soleil et le poète.

Etoile radieuse déesse des nuages,
osmose de la nuit naturelle et sauvage,
phare du néant légéreté des cimes,
île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants!.
Diamant de l'espace ta pureté me hante,
d'éternelles visions, d'illusions pénétrantes!.

Sur la voie lactescente ton navire océan
fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
lentement vers l'écueil de la vie éphémère!.
Tu connais les secrets de l'âge originel,
ses rayons chatoyants voyageurs immortels,
éveillent en toi lécho d'une nuée stellaire,
aux ombres captivantes au milieu du désert!.

C'est là qu'avec tes sœurs dans un profond mystére,
ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
en une danse folle aux confins de l'amour!.
Au royaume des dieux on quitte ses racines,
né de tes cendres dans ce remous culmine
un chapelet de perles où prie un séducteur!.

Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
mais aussi la fureur qui attise son cœur!.
l'écriture dévoile son âme fabuliste,
la musique adoucit son instinct destructeur!.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
l’espace géant lui donne le vertige,
des myriades d'îlots s'allument en un instant,
ses pensées s'illuminent il songe à ses parents!.

L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
l'idée de les revoir s'infuse d'une image,
bénie d'éternité, et met fin à l'errance
de l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!.
Sa séve s'électrise d'orages holorimes,
la flèche poétique s'élève vers le ciel,
le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime,
sur une voûte claire au matelas glaciel !.

Ce recueil de paroles sous les ailes du temps,
fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
un souffle de fraîcheur parfumé de printemps,
accueille sa raison aux sources du bonheur!.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
purifiant le reflet du génie créateur,
maudit par le destin quand son bateau s'arrime,
sur les vers enlacés des princes de la rime! .

Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes,
s'inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards!.

Car des ondes fuyantes caréssées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
de couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnés au néant!.

La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
d’un étang sacré où régne la justice!.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
certains pensaient soleil que ces abris célestes,
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses!.

Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons,
les pleurs, voilent les cœurs, de larmes lasurées!.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
la haine qui vous guide déchaîne ma colère,
protubérances errantes damnez ces loups hurlants!.

La planète meurtrie berceau du père temps,
mère du sacré enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
l'arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!.
Ô! poéte lyrique ce monde tu le peins,
d'une funeste et profonde couleur!,
féal des partitions, ta baguette à la main,
la symphonie DO RÊ ensoleille les choeurs!.

Visions harmonieuses enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et leur mélodie,
joue à ton âme, des rêves qui encensent
mille pensées divines présentes au paradis!.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!,
les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
subliment l'écriture imagée de prestige!.

Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
ce joug salutaire et doux porté fièrement
et gracieusement sur les têtes dociles,
tu tiens souvent à le secouer fortement!.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant,
d'une majestueuse et émouvante beauté,
auréolée d'une lunule bleue îlotée
captive de l’odyssée vers la nuit des temps!.
 
et oui!…chère Paule tout est dit dans ces quelques lignes, et si Charles n’avait écrit que cela, il aurait déjà prouvé au monde qu’il était un très grand poète en allant droit à l’essentiel dans sa compréhension de la vie. Il avait très bien analysé le sens de la marche des astres qui conduit inévitablement au désastre!. Le père temps fait de nous des victimes désignées!. Nous devons nous protéger de l’ensemble des règles toujours plus nombreuses dictées par la société, car les subir sans réagir n’en doutons pas un instant, c’est aller vers une forme d’esclavage déguisé de plus en plus pesante. Éloignons-nous des journaux télévisés qui n’ont qu’un seul objectif, celui de nous attrister sans raison, les nués d’actualité sont faites de millions de larmes n’est-ce pas?. .
Réfugions nous, dans ce qui nous est le plus précieux, et prenons un maximum de plaisir
dans l’espace et le temps encore libre, en appliquant à la lettre ce que ce cher Charles Baudelaire nous souffle à travers les paroles du très grand poète, qui ne l’oublions jamais à toujours raison.
J’ajoute qu’il a été le premier écrivain voyant!.
Agréable journée à toi chère enfant.
Je t’embrasse
Momo

Baudelaire affectionnait en Poésie, ce que j'aime aussi, il aimait l'absinthe , moi j'aime le champagne attention avec modération, la dernière fois que j'ai bu du champagne c'était avec Aimé, la nuit de la Saint Sylvestre , 10 ans pour que j'accepte de lui parler , à mon voisin du 1er étage, histoire vraie, je me suis habillée innocemment en rouge et blanc avec plein d'étoiles sur mon haut, et j'ai ris en remarquant que sa pièce à vivre où il avait installé une table digne d'un chef étoilé, était rouge et blanche, alors j'ai souris et je lui ai dit regarde, je suis à sortie au salon.

Je suis heureuse que tu me crois mon Arthur, car personne ne peut croire que c'est vrai, sauf lui qui garnit ma terrasse de fleurs, sans intention, du moins c'est ainsi que je reçois ses floraisons, il dit qu'il veut m'emporter avec lui dans les Alpes Maritimes, il fait construire une maison, moi je lui ai dit que si j'étais une Femme intelligente, j'accepterai, tu imagines toi qui a fuit la gazelle et moi qui me cache dans la végétation, non aucun homme ne m'emporte, j'attends mon Prince charmant dans ma robe en rubans.

J'espère t'avoir fait sourire, aussi vrai que j'ai adoré te lire Espiègle Poète au coeur d'enfant, riche d'enseignement.

Tendre soirée mon Arthur
Je t'embrasse innocemment

Paule
 
Celui-là je l’ai pensé, et écrit en quatre heures.

Le soleil et le poète.

Etoile radieuse déesse des nuages,
osmose de la nuit naturelle et sauvage,
phare du néant légéreté des cimes,
île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants!.
Diamant de l'espace ta pureté me hante,
d'éternelles visions, d'illusions pénétrantes!.

Sur la voie lactescente ton navire océan
fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
lentement vers l'écueil de la vie éphémère!.
Tu connais les secrets de l'âge originel,
ses rayons chatoyants voyageurs immortels,
éveillent en toi lécho d'une nuée stellaire,
aux ombres captivantes au milieu du désert!.

C'est là qu'avec tes sœurs dans un profond mystére,
ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
en une danse folle aux confins de l'amour!.
Au royaume des dieux on quitte ses racines,
né de tes cendres dans ce remous culmine
un chapelet de perles où prie un séducteur!.

Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
mais aussi la fureur qui attise son cœur!.
l'écriture dévoile son âme fabuliste,
la musique adoucit son instinct destructeur!.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
l’espace géant lui donne le vertige,
des myriades d'îlots s'allument en un instant,
ses pensées s'illuminent il songe à ses parents!.

L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
l'idée de les revoir s'infuse d'une image,
bénie d'éternité, et met fin à l'errance
de l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!.
Sa séve s'électrise d'orages holorimes,
la flèche poétique s'élève vers le ciel,
le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime,
sur une voûte claire au matelas glaciel !.

Ce recueil de paroles sous les ailes du temps,
fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
un souffle de fraîcheur parfumé de printemps,
accueille sa raison aux sources du bonheur!.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
purifiant le reflet du génie créateur,
maudit par le destin quand son bateau s'arrime,
sur les vers enlacés des princes de la rime! .

Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes,
s'inclinera toujours en hommage à l'artiste,
à la plume de feu volant dans tous les sens,
près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!.
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
l'auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards!.

Car des ondes fuyantes caréssées par les vents,
fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
de couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
saisissant les démons où flotte la Réale!.
Ô! poussières solaires aux pensées libérées,
Ô! mystiques lueurs sur les vagues océans,
ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
cupides affameurs condamnés au néant!.

La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
aux geysers jaillissants du ténébreux abysse
là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
d’un étang sacré où régne la justice!.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
certains pensaient soleil que ces abris célestes,
offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses!.

Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!,
créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit quand au son des canons,
les pleurs, voilent les cœurs, de larmes lasurées!.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
la haine qui vous guide déchaîne ma colère,
protubérances errantes damnez ces loups hurlants!.

La planète meurtrie berceau du père temps,
mère du sacré enfante des mutants!.
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
l'arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!.
Ô! poéte lyrique ce monde tu le peins,
d'une funeste et profonde couleur!,
féal des partitions, ta baguette à la main,
la symphonie DO RÊ ensoleille les choeurs!.

Visions harmonieuses enchantement des sens,
tes vers charment les yeux et leur mélodie,
joue à ton âme, des rêves qui encensent
mille pensées divines présentes au paradis!.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!,
les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
subliment l'écriture imagée de prestige!.

Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
ce joug salutaire et doux porté fièrement
et gracieusement sur les têtes dociles,
tu tiens souvent à le secouer fortement!.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant,
d'une majestueuse et émouvante beauté,
auréolée d'une lunule bleue îlotée
captive de l’odyssée vers la nuit des temps!.

 
Et oui cette histoire vraie tu me l’as racontée et bien sûr que je te crois, une âme pure ne sait pas mentir!.
Je n’avais pas encore la suite avec l’histoire de la maison.
Tu pourras toujours t’y rendre en vacances!…sourires
La plus belle diction du bateau ivre d’Arthur dommage qu’il ne puisse pas l’écouter, quoique!.
Merci pour ce beau commentaire, personne n’a encore souhaité troubler ce post dans son intimité!…cela viendra un jour peut-être?.
J’ai du boulot avant ma mort, regrouper tous les écrits de Vega46 et ceux de Maurice Marcouly, j’espère avoir le temps!…sourires
Bises forestières
Bonne journée
Momo alias Vega46
 
L’heure des hyménées.

Certains jours sont marqués d’un doux parfum d’été qui sublime nos sens, élève nos plumes vers les plus hauts sommets de l’idée où plane l’esprit de dieu.
Nous voulons vivre le présent dans toute sa sérénité, oublier les vilénies de la vie ordinaire et les bassesses du monde.
Nous voguons dans un océan de rêves aux multiples couleurs, nous touchons l’éternel des yeux, nous aimons nous confondre dans l’illusion du temps, nous respirons au rythme de la symphonie des cœurs qui berce mélodieusement nos âmes en lévitation.
Poussières d’étoiles aux confins de l’univers le vide sidéral nous offre un merveilleux pouvoir, celui d’enfin aimer, et d’être aimé.
Nous gravitons autour de l’étoile promise aux rayons attachants, à la chaleur divine, nous sombrons par instant dans ses spasmes envoûtants l’irréel nous séduit, apprivoise nos craintes sait captiver nos sens, l’heure solennelle embrase notre esprit, nous inonde de songes, fait résonner en nous les airains du bonheur.
Vibrations lancinantes, horloge du présent vous cadancez nos vies à l’ombre des saisons qui voient fleurir nos jours et mourir nos amours.
Frémissons à l’idée qu’encense nos corps sous le ciel scintillant où vivaient déjà nos ancêtres.
L’air que l’on respire sur les plus hautes cimes nous envoûte, aide à la migration de nos consciences, est propice aux exhortations surnaturelles, à peine voilées par un souffle de réalité.
Aujourd’hui l’émotion en nous est grande, les secondes, les minutes, les heures se succèdent aussi lentement qu’on les aurait souhaité rapides nous rapprochent pourtant ostensiblement de notre belle destinée.
Nous essayons d’embellir notre corps nous le souhaitons à la hauteur de notre esprit, nous savons qu’elle ou qu’il nous attend, et nous ne voulons surtout pas décevoir.
Ignoble est cependant la vie qui condamne nos entrailles, comptons sur ses chagrins les plus redoutables, parmi lesquels celui d’avoir déjà perdu quelques uns de nos parents et amis, sans avoir eu le temps de vieillir encore quelques années ensemble, afin qu’ils puissent partager un peu de ces moments solennels, où tinte à la volée pour nous l’heure tant attendue, et sacrée des douces hyménées.
Premier jet de plume à relire quand j’en aurai le courage!.
 
L’heure des hyménées.

Certains jours sont marqués d’un doux parfum d’été qui sublime nos sens, élève nos plumes vers les plus hauts sommets de l’idée où plane l’esprit de dieu.
Nous voulons vivre le présent dans toute sa sérénité, oublier les vilénies de la vie ordinaire et les bassesses du monde.
Nous voguons dans un océan de rêves aux multiples couleurs, nous touchons l’éternel des yeux, nous aimons nous confondre dans l’illusion du temps, nous respirons au rythme de la symphonie des cœurs qui berce mélodieusement nos âmes en lévitation.
Poussières d’étoiles aux confins de l’univers le vide sidéral nous offre un merveilleux pouvoir, celui d’enfin aimer, et d’être aimé.
Nous gravitons autour de l’étoile promise aux rayons attachants, à la chaleur divine, nous sombrons par instant dans ses spasmes envoûtants l’irréel nous séduit, apprivoise nos craintes sait captiver nos sens, l’heure solennelle embrase notre esprit, nous inonde de songes, fait résonner en nous les airains du bonheur.
Vibrations lancinantes, horloge du présent vous cadancez nos vies à l’ombre des saisons qui voient fleurir nos jours et mourir nos amours.
Frémissons à l’idée qu’encense nos corps sous le ciel scintillant où vivaient déjà nos ancêtres.
L’air que l’on respire sur les plus hautes cimes nous envoûte, aide à la migration de nos consciences, est propice aux exhortations surnaturelles, à peine voilées par un souffle de réalité.
Aujourd’hui l’émotion en nous est grande, les secondes, les minutes, les heures se succèdent aussi lentement qu’on les aurait souhaité rapides nous rapprochent pourtant ostensiblement de notre belle destinée.
Nous essayons d’embellir notre corps nous le souhaitons à la hauteur de notre esprit, nous savons qu’elle ou qu’il nous attend, et nous ne voulons surtout pas décevoir.
Ignoble est cependant la vie qui condamne nos entrailles, comptons sur ses chagrins les plus redoutables, parmi lesquels celui d’avoir déjà perdu quelques uns de nos parents et amis, sans avoir eu le temps de vieillir encore quelques années ensemble, afin qu’ils puissent partager un peu de ces moments solennels, où tinte à la volée pour nous l’heure tant attendue, et sacrée des douces hyménées.
Premier jet de plume à relire quand j’en aurai le courage!.
Bonjour Cher Momo

Merci pour tes mots à mon commentaire précédent, l'encre coule entre tes doigts
tu n'auras jamais le syndrome de la page blanche, seul souci de ceux qui bade ton talent

Ta prose fait ma fin de matinée, je pars voir mon Paon, et les canards,
Résisterai-je à un tour de tobogan, je suis trop grande pour jouer à çà
et en même temps , çà me tente, j'attendrai qu'il n'y ai aucun enfant
pour savoir si mes mensurations rentrent dans le tobogan.
Et je ne le dirai pas à ma fille, çà l'affole d'avoir une maman comme moi
son visage je l'ai rêvé pendant neuf mois, Elle est les cent ciels de ma vie
possède les deux beautés l'intérieure et l'extérieure,
Elle est mon chef d'oeuvre, ma plus belle Poésie.

Belle journée mon Arthur
je t'embrasse innocemment

Paule
 
Pour une
Bonjour Cher Momo

Merci pour tes mots à mon commentaire précédent, l'encre coule entre tes doigts
tu n'auras jamais le syndrome de la page blanche, seul souci de ceux qui bade ton talent

Ta prose fait ma fin de matinée, je pars voir mon Paon, et les canards,
Résisterai-je à un tour de tobogan, je suis trop grande pour jouer à çà
et en même temps , çà me tente, j'attendrai qu'il n'y ai aucun enfant
pour savoir si mes mensurations rentrent dans le tobogan.
Et je ne le dirai pas à ma fille, çà l'affole d'avoir une maman comme moi
son visage je l'ai rêvé pendant neuf mois, Elle est les cent ciels de ma vie
possède les deux beautés l'intérieure et l'extérieure,
Elle est mon chef d'oeuvre, ma plus belle Poésie.

Belle journée mon Arthur
je t'embrasse innocemment

Paule
Procréer surpasse de loin créer, rien ne peut se placer au-dessus du miracle de la vie.
Bonne journée chère Paule au grand cœur de
maman!.
Je t’embrasse
Maurice
 
L’écrivaillon Momo dans le chien suspect.

Je suis ce chien suspect, j’ai passé mon enfance à tirer sur une corde, un air malsain m’a toujours accompagné, loin d’une réalité que j’aurais souhaité tout autre, emporté par les vagues aux larmes déferlantes j’ai subi les marées, les courants, les sacs, et les ressacs où se brise le cœur des âmes perdues, où se noient les espoirs les plus vifs les plus fous, mais aussi les plus sages.
Vivre ce milieu hostile, oser frapper le rocher pour le rendre plus tendre, divaguer un instant à la porte d’une plage semée de sable blanc, à deux pas d’un foyer chaleureux aux braises rassurantes, se soumettre enfin sans fin au flux, et au reflux d’un morne océan.
Appeler au secours l’éclair aux flèches de souffre qui enflamme l’espace bouillonnant d’écumes aux effluves âpres, aux remous incessants, aux lueurs couleur de sang.
Essayer de capter l’espoir où le rêve viendrait effacer les traces d’un destin incertain soumis aux vents mauvais, qui broient les bateaux ivres loin des beaux rivages où l’on voit flotter par instant les récifs fuyants.
Penser aux malheureux noyés broyés, victimes de délires voulus, happés sous des lunes fuyantes, près des nuages rasants aux lames déferlantes affûtées comme des sabres par des esprits malins malsains.
Prier, quand le silence soudain revient, implorer Dieu, toujours aussi discret qu’une âme au pied de sa tombe.
Compter parmi les chagrins les plus redoutables de la vie celui de n’avoir jamais connu ses parents, évoquer leur ombre, être de plus en plus seul, et mourir comme un clochard, avec pour seule identité une corde rompue autour de son cou!. B1ADE4D4-CC67-48CD-B5B8-9FA735C1EF83.jpeg
 
Le port de la Madeleine : Rolf un loup dans un corps de chien, ou un chien dans un corps de loup?.

Je devais avoir à peine plus de cinq ans un matin alors que poussé par un besoin naturel bien légitime je me dirigeais vers les latrines, quand soudain derrière le muret j’ai aperçu un loup!.
Affolé, après un demi-tour d’une rapidité qui m’a sûrement permis d’égaler?…voir de battre au passage le record du soixante mètres des petites jambes de mon âge, j’ai ouvert la porte de la maison pour la refermer presque dans la même foulée !.
Papa!…papa!…il y a un loup,?il y a un loup, derrière la maison!.
Sans s’affoler mon père a répondu à mon affirmation, par une phrase que j’ai détesté sur le coup ! : Maurice, les loups n’existent plus dans la région depuis longtemps !.
Je me souviens de lui avoir répondu : et bien vas voir!.
Et c’est après cette alerte, que quelques minutes plus tard l’incroyable se produisit !.
Mon géniteur héros de la deuxième guerre mondiale, avait réussi l’exploit d’amadouer l’animal sauvage en moins de temps que j’ai mis en forme ces quelques lignes!.
J’étais fier de lui, au fond de moi je calculais les progrès qu’il me restait à faire avant de lui ressembler, décidément je n’étais qu’un tout petit bonhomme sans envergure ni courage !.
Les phrases rassurantes fusèrent, c’est sûrement un chien abandonné, il vient se donner. Il nous arrivait effectivement parfois d’adopter un orphelin à quatre pattes, pas par un manque quelconque, mais tout simplement parce que j’étais dans une famille qui avait le sens de l’hospitalité poussé à son extrême.
On va le garder entonna le chef de famille!.
Tu crois, lui répondis ma mère, penses-tu que nous manquons d’animaux ici ?.
De toute façon il est là, et c’est un superbe représentant de la race canine!.
Dans mon fort intérieur la peur qui m’avait tenaillé un long moment s’estompa à la vue de ce loup qui n’avait plus à mes yeux les allures de tueur qui sont contées dans les livres.
Et pour montrer que j’avais un peu de courage, je n’ai pas pu me retenir en lançant cette petite phrase : oui !….il est à nous maintenant !.
Et c’est à partir de ce jour, que l’aventure avec Rolf allait commencer.
On ne savait pas à quelles intonations il allait répondre, il devait avoir cinq ou six ans, et après des essaies répétés mentionnant des prénoms de baptême pour chien il a était très attentif, à celui de Rolf il a redressé sa tête et ses oreilles!.
Après une rapide adaptation au rythme de la ferme, il nous montra en reconnaissance tout ce qu’il savait faire.
Tous les jours, il nous ramenait de quoi manger, c’était une suite de hérissons, de lapins, de macreuses, tout ce que la faune avait comme représentants, de quoi nous nourrir en cette période d’après guerre difficile tout le monde.
Rapidement, il nous montra que c’était aussi un grand champion de natation.
Il avait remarqué que nos jeux tournaient autour de boîtes de conserves qui nous servaient de ballon, et que parfois en période de vente de tabac, notre brave père nous ramenait de Cahors.
Le déclic dans sa tête fut prodigieux, sans qu’on lui en donne l’ordre, il a pris l’initiative d’allait récupérer pour nous les ballons que la rivière charriait !.
Il avait un sens de la trajectoire très élaboré pour tomber nez à nez avec l’objet convoité.
Dans un premier temps il se mettait aux aguets sur un monticule de sable face à la rivière.
Il se précipitait ensuite vers l’embarcadère, sautait dans l’eau, longeait la rive où les contres courants se forment, puis dans une diagonale parfaite dont il avait le secret il continuait sa nage
pour se retrouver face au ballon. Il le poussait alors en le dirigeant avec son museau, et ressortait de l’eau aussi vite qu’il y était rentré satisfait, dans un geste d’amour il déposait cette rondeur à nos pieds.
Nous étions heureux, en possession d’un vrai ballon et nous n’avions aucune appréhension à l’expédier dans le Lot, sachant que Rolf était un formidable ramasseur de balle!
Il s’est rapidement spécialisé dans le sauvetage de tout ce qui lui semblait utile, et qui avait fait le choix de titiller ses yeux.
Il nous ramena ainsi, des gros morceaux de bois pour le chauffage, des barques en perdition, enfin tous les objets flottants ce qui n’était pas pour déplaire à ma grand mère Marceline, qui me disait après que les gitans aient levé leur campement : «tu viens Maurice on va voir si les romanichels, ont oublié quelque chose !».
Et bien croyez-moi ou non, elle trouvait toujours un objet, et me disait cela n’a pas grande valeur mais cela pourra toujours servir en cas de guerre !.
Je prenais ces paroles comme du pain béni, ne sachant pas quoi lui répondre !.
Rolf était un merveilleux chien de garde, il avait cet instinct ancré en lui, que dire du jour où reconnaissant un gitan, alors que nous n’étions pas là, il lui a permis de gravir l’escalier jusqu’à la grande terrasse sans montrer d’agressivité, il se positionna ensuite face à la première marche, et refusa qu’il redescende!. Ce fut mon père en rentrant de Figeac qui délivra le manouche terrorisé, il lui a dit que chaque fois, qu’il tentait de faire un pas le chien lui montrait les crocs en grognant.
Une autrefois alors que nous étions attablés, un voisin est arrivé en faisant des grimaces derrière la porte.
Rolf sans hésiter est passé à travers un carreau, c’est un ordre d’arrêt de mon père qui stoppa net son attaque!.
Les miracles existent, il n’y eut aucun blessé ce jour là.
Mon brave chien loup m’avait prouvé que je pouvais rester avec lui à l’intérieur de la maison sans aucun risque, lorsque mes parents étaient absents.
Rolf était aussi un redoutable chasseur de rats, une fois entre ses dents à la manière d’un tennisman quand il frappe sa balle à l’engagement, d’un mouvement de tête puissant il l’envoyait à une hauteur d’environ deux mètres, et lui cassé la colonne vertébrale quand il l’avait à nouveau face à son museau!…c’était très rapide, efficace et radical !.
La vie de Rolf hélas, fut relativement courte, il se paralysa lentement du train arrière. Il avait l’habitude de se coucher près de mon lit, la veille de sa mort mon père m’a prévenu que le vétérinaire allait venir le piquer, qu’il était inutile de le laisser souffrir ainsi plus longtemps !.
Mon âme d’enfant fut touché au premier degré à l’annonce de cette sentence, il fallait absolument que je m’habitue à son absence
Les larmes aux yeux j’ai fermé la porte pour que Rolf ne puisse pas en ce dernier soir de vie se coucher au pied de mon lit.
Ce ne fut pas l’idée de ce brave chien, qui dans un dernier élan que je ne m’explique toujours pas, a réussi à tourner le verrou, et s’est allongé en gémissant une dernière fois près de moi, et j’ai entamé pour la première fois de ma jeune existence une nuit angoissante, qui me fit prendre conscience qu’il allait falloir que je m’habitue à ce que mes meilleurs amis me quittent un jour.
Après une dernière caresse d’adieu ce jour maudit, j’ai repris le chemin de l’école le cœur, et la gorge serrée, je savais que mon fidèle ami dans la journée allait cesser de vivre, et que son corps rejoindrait le coin de terre dédié aux nombreux chiens du port de la Madeleine.
Rolf le loup, était à l’opposé d’Obelix, qui allait bientôt naitre, son bonheur il le cherchait et le trouvait dans un seul but celui de nous faire plaisir !.

On ne peut écrire avec une sensibilité absolue que les histoires que l’on a réellement vécues. 3DEEA8B1-3553-4C85-A9C0-7BE5F12A558D.png
 
Un incroyable vertige?.

Si le vertige vous gagne sur les pics les plus hauts de la poésie, puissiez-vous, du moins, ne pas renvoyer les légendes, les belles imaginations de nos humanités au pays des chimères. L'année doit garder son printemps. On se demande avec angoisse quels fruits pourraient porter des arbres vigoureux et droits, pleins de sève généreuse, si la rigueur insolite de la saison les avait condamnés à n'avoir point de fleurs. Au-dessus de la froide réalité, flotte un monde aussi vrai d'où se trouve bannies les trivialités et les bassesses. Rien n'y froisse les âmes dans leur élan vers la noble beauté qui s'exprime dans une langue divine, vivant symbole de perfection et de la nouveauté. Elle procure cette joie de la découverte, si familière à de jeunes esprits. Enfin, c'est dans ce monde de la fantaisie, qui ennoblit la vie ordinaire, que vous retrouverez tous les sommets de l'idée, du sentiment et de la volonté.