Sonnet: Les Blancs
En ce grand royaume, il était une fois,
Une Dame à la peau très blanche,
Observant de ses deux yeux pervenche,
Un Fou noir qui se prenait pour un Roi.
Il sacrifie maints pions non sans émoi,
Le « gambit » prend forme, se déclenche,
De son balcon, la belle se penche
Pour s’étonner de cet « échec au roi ».
Mais le Cavalier veille, ici-bas,
Sur ce vaste échiquier, sur sa Reine,
Et s’il le faut, à mort la défendra.
Femme, bats-toi à en perdre haleine
Ou ton Cœur à jamais disparaîtra ;
Deviens cette « forteresse » humaine !
18/04/21
En ce grand royaume, il était une fois,
Une Dame à la peau très blanche,
Observant de ses deux yeux pervenche,
Un Fou noir qui se prenait pour un Roi.
Il sacrifie maints pions non sans émoi,
Le « gambit » prend forme, se déclenche,
De son balcon, la belle se penche
Pour s’étonner de cet « échec au roi ».
Mais le Cavalier veille, ici-bas,
Sur ce vaste échiquier, sur sa Reine,
Et s’il le faut, à mort la défendra.
Femme, bats-toi à en perdre haleine
Ou ton Cœur à jamais disparaîtra ;
Deviens cette « forteresse » humaine !
18/04/21