Je lutte contre le courant,
Mais je cède devant lui,
Je n'ai pas la force pour les plus grands,
Et pas la patience pour les plus petits...
C'est à la nuit de sa vie,
Où l'on peut se sentir mourant,
Une âme à la recherche de son demi,
Son cœur suivant un rythme cinglant.
Je flotte sur la barque chavirante,
Rattaché au rivage par un nœud de bite,
Je n'ose pas regarder cette vérité effrayante,
Et d'un crac la barque s'éloigne de la crique.
Tandis que je m'éloigne de la rive,
Les battements infernaux s'estompent,
Je m'éloigne de cette lumière vive,
Avant que la barque ne rompe.
Mais je cède devant lui,
Je n'ai pas la force pour les plus grands,
Et pas la patience pour les plus petits...
C'est à la nuit de sa vie,
Où l'on peut se sentir mourant,
Une âme à la recherche de son demi,
Son cœur suivant un rythme cinglant.
Je flotte sur la barque chavirante,
Rattaché au rivage par un nœud de bite,
Je n'ose pas regarder cette vérité effrayante,
Et d'un crac la barque s'éloigne de la crique.
Tandis que je m'éloigne de la rive,
Les battements infernaux s'estompent,
Je m'éloigne de cette lumière vive,
Avant que la barque ne rompe.
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