Une atroce douleur s'empare de moi,
Une vision m'arrachant à ma foi,
Un souvenir me mettant dans l'effroi,
Un contexte me plongeant dans le froid.
Je revis cet instant malgré moi,
De ce moment si beau, si joyeux,
Ce moment passé seul, seul avec toi,
Ce moment réduit en cendre et en feu...
Ha... Athénaïs, te souviens-tu?
D'il y a maintenant trois années?
Dans ce parc de blanches et belles pensées?
Et de tous ces arbres de verts vêtus?
Je me souviens de toi si joyeuse,
De toi si souriante, si rayonnante,
De cette belle robe virevoltante,
Je me souviens de toi, amoureuse...
Te souviens tu quand l'on s'est rencontré?
Pour la première fois, toi et moi, seul?
De ce regard, un coup de foudre est tombé,
Depuis, jamais plus nous étions seuls.
Mais il en a été autrement,
Vois-tu Athénaïs? Dans ce parc?
Ce dernier jour oui, dans ce beau parc!
Où notre histoire pris fin, brusquement...
Je revois, revois ce jour perturbant,
Je revois ce fou, avec son fusil,
Je revis cet instant des plus sanglant,
Dans ce monde, ce monde des plus pourris...
Instant de joie dans le chant des oiseaux,
Et une détonation assourdissante...
En mon mental, une vague assaillante,
Comme si l'on me plongeait la tête sous l'eau...
Je revois ton corps sans vie, contre moi...
Et l'autre, collant son fusil contre sa tempe,
Que pouvait faire mon âmette impuissante?
Il tire... Et tous ce sang sur moi...
Te souviens-tu? Enfin non, tu ne peux pas...
Alors vois-tu comment je suis seul?
Et je vis avec ça?! Je ne peux pas...
Je ne peux plus subir d'être seul...
Sais-tu que le soir, je pense à toi?
J'ai froid, puis agréablement chaud...
Et puis, mon cœur se congèle en moi...
Je suis tel enfermé dans un cachot...
Me voilà accroupis sur ta tombe...
A te pleurer, raconter sur cette tombe...
Même si mon deuil est désormais fais...
Je ne peux accepter cette atrocité...
Une vision m'arrachant à ma foi,
Un souvenir me mettant dans l'effroi,
Un contexte me plongeant dans le froid.
Je revis cet instant malgré moi,
De ce moment si beau, si joyeux,
Ce moment passé seul, seul avec toi,
Ce moment réduit en cendre et en feu...
Ha... Athénaïs, te souviens-tu?
D'il y a maintenant trois années?
Dans ce parc de blanches et belles pensées?
Et de tous ces arbres de verts vêtus?
Je me souviens de toi si joyeuse,
De toi si souriante, si rayonnante,
De cette belle robe virevoltante,
Je me souviens de toi, amoureuse...
Te souviens tu quand l'on s'est rencontré?
Pour la première fois, toi et moi, seul?
De ce regard, un coup de foudre est tombé,
Depuis, jamais plus nous étions seuls.
Mais il en a été autrement,
Vois-tu Athénaïs? Dans ce parc?
Ce dernier jour oui, dans ce beau parc!
Où notre histoire pris fin, brusquement...
Je revois, revois ce jour perturbant,
Je revois ce fou, avec son fusil,
Je revis cet instant des plus sanglant,
Dans ce monde, ce monde des plus pourris...
Instant de joie dans le chant des oiseaux,
Et une détonation assourdissante...
En mon mental, une vague assaillante,
Comme si l'on me plongeait la tête sous l'eau...
Je revois ton corps sans vie, contre moi...
Et l'autre, collant son fusil contre sa tempe,
Que pouvait faire mon âmette impuissante?
Il tire... Et tous ce sang sur moi...
Te souviens-tu? Enfin non, tu ne peux pas...
Alors vois-tu comment je suis seul?
Et je vis avec ça?! Je ne peux pas...
Je ne peux plus subir d'être seul...
Sais-tu que le soir, je pense à toi?
J'ai froid, puis agréablement chaud...
Et puis, mon cœur se congèle en moi...
Je suis tel enfermé dans un cachot...
Me voilà accroupis sur ta tombe...
A te pleurer, raconter sur cette tombe...
Même si mon deuil est désormais fais...
Je ne peux accepter cette atrocité...
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