J'étais assis à la terrasse d'un café
Plongé dans des souvenirs qui ne cessent de ressasser mon passé
Je pensais aux désillusions et l'amour
De ce que j'avais écris depuis 10 ans , qui restera gravé pour toujours
Aux histoires que je n'ai pas vécu
Aux yeux des plus belles passantes
Aux amis qui sont disparus
Percutant un putain de camion dans une descente
Je pense aux amours illusoires
Celles qui me faisaient rêver du matin aux soirs
Dans l'obscurité de la nuit je tentais l'évasion
De la réalité et me perdait dans mes espoirs
J'ai cru que t'étais tout proche de moi c'est vrai c'est con
Toutes les ombres de la pièce étaient ta silhouette enrobée dans du noir
J'étais assis à la terrasse d'un café
Où il ne restait plus que moi
Il était l'heure de s'en aller
Je vais devoir à nouveau partir sans toi
C'est beau parfois de rêver
Mais quand le rêve s’effilent aux bouts de tes doigts
D'un monde qui n'a jamais vraiment su tourner
Jamais vraiment su tourner sans toi.
Cyrille Ramain
Plongé dans des souvenirs qui ne cessent de ressasser mon passé
Je pensais aux désillusions et l'amour
De ce que j'avais écris depuis 10 ans , qui restera gravé pour toujours
Aux histoires que je n'ai pas vécu
Aux yeux des plus belles passantes
Aux amis qui sont disparus
Percutant un putain de camion dans une descente
Je pense aux amours illusoires
Celles qui me faisaient rêver du matin aux soirs
Dans l'obscurité de la nuit je tentais l'évasion
De la réalité et me perdait dans mes espoirs
J'ai cru que t'étais tout proche de moi c'est vrai c'est con
Toutes les ombres de la pièce étaient ta silhouette enrobée dans du noir
J'étais assis à la terrasse d'un café
Où il ne restait plus que moi
Il était l'heure de s'en aller
Je vais devoir à nouveau partir sans toi
C'est beau parfois de rêver
Mais quand le rêve s’effilent aux bouts de tes doigts
D'un monde qui n'a jamais vraiment su tourner
Jamais vraiment su tourner sans toi.
Cyrille Ramain