Aux lâchés prises
D’une vie désavouée,
Quand viendra le temps
De la guérison ?
Posée sur le trottoir,
D’un tunnel sombre et étroit,
Le cœur ouvert à la vérité,
L’univers me dévoilant tous ses secrets
Inavoués, oubliés, reniés,
Le savoir indéniable
D’un amour éternellement réel,
Grand et vrai
Qui ne peut être partagé
De par une peur incontestée
D’un bonheur éternel
Entre deux âmes
Reliées l’une à l’autre
Par la force qu’on appelle
LA VIE
Et dû à la jalousie
De tout être qui nous suit.
Prenons le je, le tu, le nous
Et n’en faisons qu’un,
Le qui on est,
La grandeur céleste d'une unification
Au nom de l’essence même de la vie,
L’amour inconditionnel.
D’une vie désavouée,
Quand viendra le temps
De la guérison ?
Posée sur le trottoir,
D’un tunnel sombre et étroit,
Le cœur ouvert à la vérité,
L’univers me dévoilant tous ses secrets
Inavoués, oubliés, reniés,
Le savoir indéniable
D’un amour éternellement réel,
Grand et vrai
Qui ne peut être partagé
De par une peur incontestée
D’un bonheur éternel
Entre deux âmes
Reliées l’une à l’autre
Par la force qu’on appelle
LA VIE
Et dû à la jalousie
De tout être qui nous suit.
Prenons le je, le tu, le nous
Et n’en faisons qu’un,
Le qui on est,
La grandeur céleste d'une unification
Au nom de l’essence même de la vie,
L’amour inconditionnel.