Elle est de ce voyage où s'endort son visage,
Sous l'étoile d'azur règne aussi son présage,
Au sourire s'efface en silence l'usage,
C'est chacun d'un écho que murmure la mort ;
Sous l'étoile d'azur règne aussi son présage,
Au sourire s'efface en silence l'usage,
C'est chacun d'un écho que murmure la mort ;
À noyer tant la peur qui se lit pour message,
Seul défaut on le sait bien après son tissage
Que les pleurs sont tombés comme plaie en sillage,
Le vent de la douleur touche leur âme encor ;
Seul défaut on le sait bien après son tissage
Que les pleurs sont tombés comme plaie en sillage,
Le vent de la douleur touche leur âme encor ;
Elle rêve la nuit ne laissant que la trace
Où s'élève la lune implorant bien sa grâce
La chaleur du matin voit s'assombrir le ciel ;
Où s'élève la lune implorant bien sa grâce
La chaleur du matin voit s'assombrir le ciel ;
Quand enfin au zénith se suit la délivrance,
La faucheuse en son grain fait taire la souffrance,
Jamais nul n'avait vu son rôle inertiel...
La faucheuse en son grain fait taire la souffrance,
Jamais nul n'avait vu son rôle inertiel...
Maria-Dolores