Profondeurs célestes (le titre m’a été soufflé par mon chéri)
La houle vogue dans l’alcôve
Où l’ombre de l’écume gît
Dans la brume tous deux se lovent
Et s’enfoncent dans la nuit
La dépouille d’une mangrove
Naît de leurs ébats nébuleux,
S’enracine dans les fonds mauves
D’une lagune venue des cieux
Poussière étincelante nage
Dans la profondeur de ces nues,
Illumine tout paysage
Qui divague en continu
Plane dans ces abysses denses
Le corps d’un venin éternel
Qui trompe de sa transparence
La plus aiguisée des prunelles
Tandis que médusé l’amas
Gravite sur l’infime Univers
Des flots a jailli le trépas
Enfanté par la lumière.
La houle vogue dans l’alcôve
Où l’ombre de l’écume gît
Dans la brume tous deux se lovent
Et s’enfoncent dans la nuit
La dépouille d’une mangrove
Naît de leurs ébats nébuleux,
S’enracine dans les fonds mauves
D’une lagune venue des cieux
Poussière étincelante nage
Dans la profondeur de ces nues,
Illumine tout paysage
Qui divague en continu
Plane dans ces abysses denses
Le corps d’un venin éternel
Qui trompe de sa transparence
La plus aiguisée des prunelles
Tandis que médusé l’amas
Gravite sur l’infime Univers
Des flots a jailli le trépas
Enfanté par la lumière.
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