Les pensées célèbres, celles de la Vagabonde de la Poésie, les pensées Momoriciennes et les vôtres si le coeur vous en dit
- Auteur de la discussion Eden de Samsara
- Date de début
Je crois que j’ai suffisamment posé de mots pour que l’on s’aperçoive au contraire que je n’apporte pas grand chose à la prose ni à la poésie.
J’ai fini d’écrire ce qui pourrait devenir un livre ? Il a pris vie sur le site Créa, grâce à toi chère Paule. Ton idée des pensées momoriciennes, m’a permis de m’exprimer… Merci à toi ! Je remercie aussi chaleureusement les yeux qui se sont attardés sur ces pages et celles et ceux qui continueront à les parcourir.
Je t’embrasse
Toute ma reconnaissance pour tes encouragements, je sais qu’ils sont sincères chère poétesse !
Un Arthur, dans toute sa modestie!
Je t’embrasse
Maurice
Ps : j’avais écrit (tant) alors qu’il faut écrire : TEMPS bien entendu ! Sourires ! Encore un coup du prompteur ! J’ai corrigé
J’ai écrit plus de 1500 pensées, il est temps pour moi de penser à autre chose.
Si tu peux rectifier…merci
J’ai fini d’écrire ce qui pourrait devenir un livre ? Il a pris vie sur le site Créa, grâce à toi chère Paule. Ton idée des pensées momoriciennes, m’a permis de m’exprimer… Merci à toi ! Je remercie aussi chaleureusement les yeux qui se sont attardés sur ces pages et celles et ceux qui continueront à les parcourir.
Je t’embrasse
Toute ma reconnaissance pour tes encouragements, je sais qu’ils sont sincères chère poétesse !
Un Arthur, dans toute sa modestie!
Je t’embrasse
Maurice
Ps : j’avais écrit (tant) alors qu’il faut écrire : TEMPS bien entendu ! Sourires ! Encore un coup du prompteur ! J’ai corrigé
J’ai écrit plus de 1500 pensées, il est temps pour moi de penser à autre chose.
Si tu peux rectifier…merci
Dernière édition:
Ne sais-je que penser ? Je ne sais pas quoi en penser…vous allez finir par m’envoyer sur les roses !
Indépendant, son esprit m’est toujours resté fidèle.
Le soleil forme le sonnet photovoltaïque de l’énergie renouvelable d’après les petits hommes verts!
Le poète est un sage aux grandes inspirations, face à sa page il finit pourtant toujours par expirer.
Indépendant, son esprit m’est toujours resté fidèle.
Le soleil forme le sonnet photovoltaïque de l’énergie renouvelable d’après les petits hommes verts!
Le poète est un sage aux grandes inspirations, face à sa page il finit pourtant toujours par expirer.
Dernière édition:
Honte à l’écriture artificielle !
Cet outil en ligne, simple d'utilisation, est capable de produire des poèmes de divers styles et formats, PoetGPTpeut créer des sonnets, des haïkus, des ballades et bien plus encore. L'utilisateur a également la possibilité de moduler la complexité et le ton du poème pour qu'il corresponde à ses goûts personnels.
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La conversation me paraît suffisamment intéressante pour la poster à nouveau ici !
Allez un peu d’écriture non artificielle !
Lettres ouvertes
Créer un poème avec l’intelligence artificielle ! C’est à la hauteur du plagiat !
Cet outil en ligne, simple d'utilisation, est capable de produire des poèmes de divers styles et formats, PoetGPTpeut créer des sonnets, des haïkus, des ballades et bien plus encore. L'utilisateur a également la possibilité de moduler la complexité et le ton du poème pour qu'il corresponde à ses goûts personnels.
La malhonnêteté va loin ! C’est aussi grave que plagier non ?
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Maurice Marcouly
Maurice Marcouly
Maître Poète
Hier à 12:19#3
Il paraît que les sonnets sont parfaits ! Et pas que !
Quelle honte !
Ils sont simplement sans âme !
Dernière édition: Hier à 12:46
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Aubépin des Ardrets
Aubépin des Ardrets
Maître Poète
Hier à 12:39#4
La poésie sonde les failles et les imperfections ; elle rend les larmes et les rires qui nous secouent ; l'IA ne connaît ni la chaleur fugace d'un baiser dans un cou ni l'irrémédiable froideur de la joue d'un défunt sur laquelle on attarde une dernière caresse. L'IA est un âne savant : IA ! IA ! IA !
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Maurice Marcouly
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Maître Poète
Hier à 12:39#5
Punaise ! Moi qui ai écrit le soleil et le poète en deux fois deux heures c’était pas la peine que je me fatigue ! Merde !
Le soleil et le poète
Etoile radieuse, déesse des nuages,
Osmose de la nuit naturelle et sauvage,
Phare du néant, légèreté des cimes,
Île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants.
Diamant de l'espace, ta pureté me hante
D’éternelles visions, d'illusions pénétrantes.
Sur la voie lactescente ton navire océan
Fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
Lentement vers l'écueil de la vie éphémère!
Tu connais les secrets de l'âge originel,
Ses rayons chatoyants, voyageurs immortels,
Éveille en toi l’écho d'une nuée stellaire
Aux ombres captivantes au milieu du désert.
C'est là qu'avec tes sœurs, dans un profond mystère,
Ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
En une danse folle aux confins de l'amour.
Au royaume des dieux on quitte ses racines.
Né de tes cendres dans ce remous culmine
Un chapelet de perles où prie un séducteur.
Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
Mais aussi la fureur qui attise son cœur,
L’écriture dévoile son âme fabuliste,
La musique adoucit son instinct destructeur.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
Et l’espace géant lui donne le vertige,
Des myriades d'îlots s'allument en un instant,
Ses pensées s'illuminent, il songe à ses parents.
L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
L’idée de les revoir s'infuse d'une image
Bénie d'éternité, et met fin à l'errance
De l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!
Sa sève s'électrise d'orages holorimes,
La flèche poétique s'élève vers le ciel,
Le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime
Sur une voûte claire au matelas glaciel.
Ce recueil de paroles sous les ailes du temps
Fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
Un souffle de fraîcheur parfumé de printemps
Accueille sa raison aux sources du bonheur.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
Purifiant le reflet du génie créateur,
Maudit par le destin quand son bateau s'arrime
Sur les vers enlacés des princes de la rime.
Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes
S’inclinera toujours en hommage à l'artiste,
À la plume de feu volant dans tous les sens,
Près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
L’auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
Les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards.
Car des ondes fuyantes caressées par les vents
Fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
De couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
Saisissant les démons où flotte la Réale.
Ô poussières solaires aux pensées libérées!
Ô mystiques lueurs sur les vagues océans!
Ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
Cupides affameurs condamnés au néant.
La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
Aux geysers jaillissant du ténébreux abysse
Là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
D’un étang sacré où règne la justice.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
Certains pensaient soleil que ces abris célestes
Offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
Ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses.
Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!
Créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit, quand au son des canons,
Les pleurs voilent les cœurs de larmes lasurées.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
Terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
La haine qui vous guide déchaîne ma colère,
Protubérances errantes, damnez ces loups hurlants!
La planète meurtrie, berceau du père Temps,
Mère du sacré enfante des mutants!
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
L’arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!
Ô poète lyrique ce monde tu le peins
D’une funeste et profonde couleur!
Féal des partitions, ta baguette à la main,
La symphonie…DO..RÊ…ensoleille les choeurs.
Visions harmonieuses, enchantement des sens,
Tes vers charment les yeux, et leur mélodie
Joue à ton âme des rêves qui encensent
Mille pensées divines présentes au paradis.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
Aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!
Les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
Subliment l'écriture imagée de prestige.
Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
Le joug salutaire et doux porté fièrement
Et gracieusement sur les têtes dociles,
Tu tiens souvent à le secouer fortement.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant
D’une immuable et émouvante beauté,
Auréolée d'une lunule bleue îlotée,
Captive de l’odyssée vers la nuit des temps!
Dernière édition: Hier à 12:50
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Aubépin des Ardrets
Aubépin des Ardrets
Maître Poète
Hier à 12:41#6
Sans votre poésie, l'IA n'est rien, rien du tout...
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Maurice Marcouly
Maurice Marcouly
Maître Poète
Hier à 12:49#7
Aubépin des Ardrets a dit:
La poésie sonde les failles et les imperfections ; elle rend les larmes et les rires qui nous secouent ; l'IA ne connaît ni la chaleur fugace d'un baiser dans un cou ni l'irrémédiable froideur de la joue d'un défunt sur laquelle on attarde une dernière caresse. L'IA est un âne savant : IA ! IA ! IA !
Merci Aubépin…
Cette poésie artificielle pêche par le fait qu’elle n’a pas d’âme !
Bon week-end de Pâques
Maurice
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Maurice Marcouly
Maurice Marcouly
Maître Poète
Hier à 13:03#8
Alors je sais, le poème le soleil et le poète comporte un nombre important de hiatus qui cassent la phonème, il n’est pas avare en diérèses et synérèses non plus ! Sourires
Mais peu importe, j’étais parti pour l’écrire en prose ! Et chemin faisant il a pris un air poétique!
Le pari que je m’étais fixé a été tenu ! Il est né en deux fois deux heures chrono, en essayant d’hisser mes chutes sur les plus hautes cimes de la poésie.
Dernière édition: Hier à 16:58
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Lafitte
Lafitte
Maître Poète
Hier à 13:07#9
Plus l'Intelligence Artificielle devient intelligente plus l'être humain devient stupide. C'est le juste équilibre de la nature.
La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale*. J'en reste un bel exemple.
.
*Françoise Sagan
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Lafitte
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Maître Poète
Hier à 13:11#10
Aubépin des Ardrets a dit:
La poésie sonde les failles et les imperfections ; elle rend les larmes et les rires qui nous secouent ; l'IA ne connaît ni la chaleur fugace d'un baiser dans un cou ni l'irrémédiable froideur de la joue d'un défunt sur laquelle on attarde une dernière caresse. L'IA est un âne savant : IA ! IA ! IA !
L'IA restera artificielle, nous, nous deviendrons des ânes.
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kinkin
kinkin
Maître Poète
Hier à 13:44#11
Momo tu es le soleil et le poète de ce site bravo amicalement KInkin
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Maurice Marcouly
Maurice Marcouly
Maître Poète
Hier à 16:56#12
Lafitte a dit:
Plus l'Intelligence Artificielle devient intelligente plus l'être humain devient stupide. C'est le juste équilibre de la nature.
La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale*. J'en reste un bel exemple.
.
*Françoise Sagan
Ma voisine lotoise…Cette chère Françoise !
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Maurice Marcouly
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Maître Poète
Hier à 16:59#13
Il y a suspicion, certaines ritournelles me laissent penser que l’artifice existe un peu partout !
Dernière édition: Hier à 17:56
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Eden de Samsara
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Maître Poète
Hier à 20:55#14
Maurice Marcouly a dit:
La malhonnêteté va loin ! C’est aussi grave que plagier non ?
Bonsoir mon Arthur,
La vérité jaillit toujours où on ne l'attend pas, et je suis bien d'accord avec Toi, quand j'ai commencé à écrire, tous les jours pratiquement un Poète était plagié, aujourd'hui , on ne voit plus ce genre de comportement , en revanche , j'ai déjà croisé des sonnets composé par l'IA , c'est le vivier de certaines personnes, je ne vois pas l'intérêt d'une telle supercherie.
https://oupoco.org/fr/generateur-de-poeme/index.html?title=&author=&schema=sonnet_francais&quality=1
Je t'embrasse
Bon we pascal
Paule
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Hier à 23:03#15
kinkin a dit:
Momo tu es le soleil et le poète de ce site bravo amicalement KInkin
Absolument, Maurice est un poète dans l'âme, à mon humble avis. Je pense que je deviens plus exigeant depuis certaines lectures venant de sa plume.
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Vivaldi
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Maître Poète
Hier à 23:48Nouveau #16
Je crois qu'il ne faut pas s'alarmer plus que ça.
Je n'ai jamais lu une poésie de robot. C'est peut-être par là comme un début d'une humanisation des maths.
Puissent ils être des milliards et inonder la Terre d'alexandrins jusqu'à noyer jusqu'au dernier des hommes. Amen
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Matthale
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Oreille cassée Membre du personnel
Aujourd'hui à 02:02Nouveau #17
kinkin a dit:
Momo tu es le soleil et le poète de ce site bravo amicalement KInkin
T'avais pas mieux en stock ? Quand tu mises, faut toujours miser au plus haut
Amitiés, Matthale.
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Matthale
Matthale
Oreille cassée Membre du personnel
Aujourd'hui à 02:22Nouveau #18
Vivaldi a dit:
Je crois qu'il ne faut pas s'alarmer plus que ça.
Je n'ai jamais lu une poésie de robot. C'est peut-être par là comme un début d'une humanisation des maths.
Puissent ils être des milliards et inonder la Terre d'alexandrins jusqu'à noyer jusqu'au dernier des hommes. Amen
Si cela vient d'une ia non merci. quelque soit la poésie, elle sera plaisante, lisible et quasi parfaite et ce ne sera pas un être qui raconte mais une machine qui plagie nos émotions. Je crois que skynet arrive, Terminator va bientôt nous terminer ... Et croyez moi, les machines "intelligentes" ont déjà fait leur choix et ce n'est pas l'humain ...
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Matthale
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Oreille cassée Membre du personnel
Aujourd'hui à 02:26Nouveau #19
Une Ia n'est pas faite pour avoir des capacités supérieures mais pour servir, c'est une machine.
En lui donnant des capacités, nous nous condamnons, en effet.
De toute façon, on est condamné par les chefs du monde.
Je voudrais qu'on soit des millions d'handicapés dans les rues pour remplacer leur révolte de merde. Nous on risque rien et on aura le temps et notre discours, juste, courtois mais fort et véridique.
Des millions de cannes, de fauteuils, ils font faire comment devant notre "faiblesse" et notre pauvreté.
En fait si on veut gagner, les handicapés ont le pouvoir, le gouv nous croient pas capable de bouger, mais face au FN, on a pas le choix, ou on devra changer de pays... Si on veut éviter un train ...
Dernière édition: Aujourd'hui à 02:33
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Maurice Marcouly
Maurice Marcouly
Maître Poète
3 minutesNouveau #20
Matthale a dit:
T'avais pas mieux en stock ? Quand tu mises, faut toujours miser au plus haut
Amitiés, Matthale.
MDR ! Si Alexis…Il iA mieux mais c’est plus cher!
Amitiés
Maurice
Allez un peu d’écriture non artificielle !
Lettres ouvertes
Créer un poème avec l’intelligence artificielle ! C’est à la hauteur du plagiat !
Cet outil en ligne, simple d'utilisation, est capable de produire des poèmes de divers styles et formats, PoetGPTpeut créer des sonnets, des haïkus, des ballades et bien plus encore. L'utilisateur a également la possibilité de moduler la complexité et le ton du poème pour qu'il corresponde à ses goûts personnels.
La malhonnêteté va loin ! C’est aussi grave que plagier non ?
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Maurice Marcouly
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Hier à 12:19#3
Il paraît que les sonnets sont parfaits ! Et pas que !
Quelle honte !
Ils sont simplement sans âme !
Dernière édition: Hier à 12:46
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Aubépin des Ardrets
Aubépin des Ardrets
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Hier à 12:39#4
La poésie sonde les failles et les imperfections ; elle rend les larmes et les rires qui nous secouent ; l'IA ne connaît ni la chaleur fugace d'un baiser dans un cou ni l'irrémédiable froideur de la joue d'un défunt sur laquelle on attarde une dernière caresse. L'IA est un âne savant : IA ! IA ! IA !
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Maurice Marcouly
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Maître Poète
Hier à 12:39#5
Punaise ! Moi qui ai écrit le soleil et le poète en deux fois deux heures c’était pas la peine que je me fatigue ! Merde !
Le soleil et le poète
Etoile radieuse, déesse des nuages,
Osmose de la nuit naturelle et sauvage,
Phare du néant, légèreté des cimes,
Île magique perdue dans les abîmes ,
Tu es la déité aux pouvoirs fascinants.
Diamant de l'espace, ta pureté me hante
D’éternelles visions, d'illusions pénétrantes.
Sur la voie lactescente ton navire océan
Fuit, bercé par le vent de la clarté des temps.
L'univers le dirige dans un silence austère,
Lentement vers l'écueil de la vie éphémère!
Tu connais les secrets de l'âge originel,
Ses rayons chatoyants, voyageurs immortels,
Éveille en toi l’écho d'une nuée stellaire
Aux ombres captivantes au milieu du désert.
C'est là qu'avec tes sœurs, dans un profond mystère,
Ton enfance bleutée prit son vol au grand jour,
En une danse folle aux confins de l'amour.
Au royaume des dieux on quitte ses racines.
Né de tes cendres dans ce remous culmine
Un chapelet de perles où prie un séducteur.
Il a gardé du Roi les gènes de l'artiste,
Mais aussi la fureur qui attise son cœur,
L’écriture dévoile son âme fabuliste,
La musique adoucit son instinct destructeur.
Ses yeux fixent le ciel le soir quand tout se fige,
Et l’espace géant lui donne le vertige,
Des myriades d'îlots s'allument en un instant,
Ses pensées s'illuminent, il songe à ses parents.
L'amour qui les unit l'inonde d'espérance,
L’idée de les revoir s'infuse d'une image
Bénie d'éternité, et met fin à l'errance
De l’ esprit captif à cette fleur de l'âge!
Sa sève s'électrise d'orages holorimes,
La flèche poétique s'élève vers le ciel,
Le récit de sa vie sous sa dictée s'imprime
Sur une voûte claire au matelas glaciel.
Ce recueil de paroles sous les ailes du temps
Fustige sa conscience, anesthésie ses peurs,
Un souffle de fraîcheur parfumé de printemps
Accueille sa raison aux sources du bonheur.
Un serpentin naissant surgit des profondeurs,
Purifiant le reflet du génie créateur,
Maudit par le destin quand son bateau s'arrime
Sur les vers enlacés des princes de la rime.
Le monde qu'il sculptait d'œuvres surréalistes
S’inclinera toujours en hommage à l'artiste,
À la plume de feu volant dans tous les sens,
Près des nues électriques où l'éclair sent l'encens!
Bohémien au grand cœur au Parnasse des muses,
L’auberge où tu dors enjôle les regards,
Petit Poucet rêveur, ce trou de ver t'amuse,
Les brumes qui le voilent encrent tes yeux hagards.
Car des ondes fuyantes caressées par les vents
Fleurissent l'azur vert d'aurores boréales,
De couleurs envoûtantes sur des tapis volants,
Saisissant les démons où flotte la Réale.
Ô poussières solaires aux pensées libérées!
Ô mystiques lueurs sur les vagues océans!
Ordonnez la sagesse aux pâleurs égarées,
Cupides affameurs condamnés au néant.
La nuit fond dans un ciel dévoré par les braises
Aux geysers jaillissant du ténébreux abysse
Là, coule le sang gris qui nourrit la daraise,
D’un étang sacré où règne la justice.
Adossés sur les bancs des arches religieuses,
Certains pensaient soleil que ces abris célestes
Offriraient à leurs corps le salut sans un geste,
Ici, sombre l'espoir, des ombres fallacieuses.
Prêcheurs diaboliques vous crucifiez mon nom!
Créateur éternel à la barbe azurée,
Belenos vous maudit, quand au son des canons,
Les pleurs voilent les cœurs de larmes lasurées.
Des feux renaît la flamme de mes enfants stellaires,
Terroristes sataniques sous mes rayons brûlants,
La haine qui vous guide déchaîne ma colère,
Protubérances errantes, damnez ces loups hurlants!
La planète meurtrie, berceau du père Temps,
Mère du sacré enfante des mutants!
Mais, face au mal, à ces horreurs, à ces souffrances,
L’arc-en-ciel d'Iris cible la délivrance!
Ô poète lyrique ce monde tu le peins
D’une funeste et profonde couleur!
Féal des partitions, ta baguette à la main,
La symphonie…DO..RÊ…ensoleille les choeurs.
Visions harmonieuses, enchantement des sens,
Tes vers charment les yeux, et leur mélodie
Joue à ton âme des rêves qui encensent
Mille pensées divines présentes au paradis.
L'avalanche des mots, près des pics les plus hauts,
Aux blancheurs éternelles glorifie tes voltiges!
Les sommets de l'idée, du loup à l'agneau,
Subliment l'écriture imagée de prestige.
Le joug du lyrisme aussi léger soit-il,
Le joug salutaire et doux porté fièrement
Et gracieusement sur les têtes dociles,
Tu tiens souvent à le secouer fortement.
Etoile vénérée tu façonnes l'instant
D’une immuable et émouvante beauté,
Auréolée d'une lunule bleue îlotée,
Captive de l’odyssée vers la nuit des temps!
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Hier à 12:41#6
Sans votre poésie, l'IA n'est rien, rien du tout...
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Maurice Marcouly
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Hier à 12:49#7
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La poésie sonde les failles et les imperfections ; elle rend les larmes et les rires qui nous secouent ; l'IA ne connaît ni la chaleur fugace d'un baiser dans un cou ni l'irrémédiable froideur de la joue d'un défunt sur laquelle on attarde une dernière caresse. L'IA est un âne savant : IA ! IA ! IA !
Merci Aubépin…
Cette poésie artificielle pêche par le fait qu’elle n’a pas d’âme !
Bon week-end de Pâques
Maurice
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Hier à 13:03#8
Alors je sais, le poème le soleil et le poète comporte un nombre important de hiatus qui cassent la phonème, il n’est pas avare en diérèses et synérèses non plus ! Sourires
Mais peu importe, j’étais parti pour l’écrire en prose ! Et chemin faisant il a pris un air poétique!
Le pari que je m’étais fixé a été tenu ! Il est né en deux fois deux heures chrono, en essayant d’hisser mes chutes sur les plus hautes cimes de la poésie.
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Lafitte
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Hier à 13:07#9
Plus l'Intelligence Artificielle devient intelligente plus l'être humain devient stupide. C'est le juste équilibre de la nature.
La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale*. J'en reste un bel exemple.
.
*Françoise Sagan
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Hier à 13:11#10
Aubépin des Ardrets a dit:
La poésie sonde les failles et les imperfections ; elle rend les larmes et les rires qui nous secouent ; l'IA ne connaît ni la chaleur fugace d'un baiser dans un cou ni l'irrémédiable froideur de la joue d'un défunt sur laquelle on attarde une dernière caresse. L'IA est un âne savant : IA ! IA ! IA !
L'IA restera artificielle, nous, nous deviendrons des ânes.
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Plus l'Intelligence Artificielle devient intelligente plus l'être humain devient stupide. C'est le juste équilibre de la nature.
La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale*. J'en reste un bel exemple.
.
*Françoise Sagan
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Hier à 16:59#13
Il y a suspicion, certaines ritournelles me laissent penser que l’artifice existe un peu partout !
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Hier à 20:55#14
Maurice Marcouly a dit:
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Bonsoir mon Arthur,
La vérité jaillit toujours où on ne l'attend pas, et je suis bien d'accord avec Toi, quand j'ai commencé à écrire, tous les jours pratiquement un Poète était plagié, aujourd'hui , on ne voit plus ce genre de comportement , en revanche , j'ai déjà croisé des sonnets composé par l'IA , c'est le vivier de certaines personnes, je ne vois pas l'intérêt d'une telle supercherie.
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Hier à 23:03#15
kinkin a dit:
Momo tu es le soleil et le poète de ce site bravo amicalement KInkin
Absolument, Maurice est un poète dans l'âme, à mon humble avis. Je pense que je deviens plus exigeant depuis certaines lectures venant de sa plume.
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Vivaldi
Vivaldi
Maître Poète
Hier à 23:48Nouveau #16
Je crois qu'il ne faut pas s'alarmer plus que ça.
Je n'ai jamais lu une poésie de robot. C'est peut-être par là comme un début d'une humanisation des maths.
Puissent ils être des milliards et inonder la Terre d'alexandrins jusqu'à noyer jusqu'au dernier des hommes. Amen
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Matthale
Matthale
Oreille cassée Membre du personnel
Aujourd'hui à 02:02Nouveau #17
kinkin a dit:
Momo tu es le soleil et le poète de ce site bravo amicalement KInkin
T'avais pas mieux en stock ? Quand tu mises, faut toujours miser au plus haut
Amitiés, Matthale.
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Matthale
Matthale
Oreille cassée Membre du personnel
Aujourd'hui à 02:22Nouveau #18
Vivaldi a dit:
Je crois qu'il ne faut pas s'alarmer plus que ça.
Je n'ai jamais lu une poésie de robot. C'est peut-être par là comme un début d'une humanisation des maths.
Puissent ils être des milliards et inonder la Terre d'alexandrins jusqu'à noyer jusqu'au dernier des hommes. Amen
Si cela vient d'une ia non merci. quelque soit la poésie, elle sera plaisante, lisible et quasi parfaite et ce ne sera pas un être qui raconte mais une machine qui plagie nos émotions. Je crois que skynet arrive, Terminator va bientôt nous terminer ... Et croyez moi, les machines "intelligentes" ont déjà fait leur choix et ce n'est pas l'humain ...
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Matthale
Matthale
Oreille cassée Membre du personnel
Aujourd'hui à 02:26Nouveau #19
Une Ia n'est pas faite pour avoir des capacités supérieures mais pour servir, c'est une machine.
En lui donnant des capacités, nous nous condamnons, en effet.
De toute façon, on est condamné par les chefs du monde.
Je voudrais qu'on soit des millions d'handicapés dans les rues pour remplacer leur révolte de merde. Nous on risque rien et on aura le temps et notre discours, juste, courtois mais fort et véridique.
Des millions de cannes, de fauteuils, ils font faire comment devant notre "faiblesse" et notre pauvreté.
En fait si on veut gagner, les handicapés ont le pouvoir, le gouv nous croient pas capable de bouger, mais face au FN, on a pas le choix, ou on devra changer de pays... Si on veut éviter un train ...
Dernière édition: Aujourd'hui à 02:33
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Maurice Marcouly
Maurice Marcouly
Maître Poète
3 minutesNouveau #20
Matthale a dit:
T'avais pas mieux en stock ? Quand tu mises, faut toujours miser au plus haut
Amitiés, Matthale.
MDR ! Si Alexis…Il iA mieux mais c’est plus cher!
Amitiés
Maurice
