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Les ombres brisées du fond de la classe

arlesse

Poète libéré
#1
Les ombres brisées du fond de la classe

Elles sont là cachées dans l’ombre d’une classe
Derrière un bureau sombre et des livres égarés.
Des âmes solitaires, que le jour efface
Et dont jamais les noms ne seront appelés.

Elles sont là présentes chaque jour qui passe
Derrière un autre monde et des regards biaisés.
Des êtres différents, qui seraient à leur place
Si seulement leurs noms pouvaient être appelés.

Mais qui remarquera cette ombre qui s’efface
Au-delà des frontières de l’hostilité ?
Ils voudraient plus que tout se fondre dans la masse
Et entendre avec eux leurs noms être appelés.

Les autres sont cruels et ne soucient pas
De la peine qui trouble ceux qui ne « sont » pas.
Car jamais ce n’est eux que le registre efface
Mais les ombres brisées tout au fond de la classe.

Qu’ont-ils de différent, ces êtres qui se lassent ?
Ils ont un corps, un cœur, et des yeux pour pleurer.
Ils recherchent quelqu’un qui les regarde en face
Et qui d’une voix douce ira les appeler.

Ce ne sont que des ombres du fond de la classe.
Mais au-delà des autres méprisant leur place
Ils espèrent toujours, lorsque le jour s’efface
Qu’un jour comme eux leurs noms, laisseront une trace.
 
#2
Les ombres brisées du fond de la classe

Elles sont là cachées dans l’ombre d’une classe
Derrière un bureau sombre et des livres égarés.
Des âmes solitaires, que le jour efface
Et dont jamais les noms ne seront appelés.

Elles sont là présentes chaque jour qui passe
Derrière un autre monde et des regards biaisés.
Des êtres différents, qui seraient à leur place
Si seulement leurs noms pouvaient être appelés.

Mais qui remarquera cette ombre qui s’efface
Au-delà des frontières de l’hostilité ?
Ils voudraient plus que tout se fondre dans la masse
Et entendre avec eux leurs noms être appelés.

Les autres sont cruels et ne soucient pas
De la peine qui trouble ceux qui ne « sont » pas.
Car jamais ce n’est eux que le registre efface
Mais les ombres brisées tout au fond de la classe.

Qu’ont-ils de différent, ces êtres qui se lassent ?
Ils ont un corps, un cœur, et des yeux pour pleurer.
Ils recherchent quelqu’un qui les regarde en face
Et qui d’une voix douce ira les appeler.

Ce ne sont que des ombres du fond de la classe.
Mais au-delà des autres méprisant leur place
Ils espèrent toujours, lorsque le jour s’efface
Qu’un jour comme eux leurs noms, laisseront une trace.
tu sais petite ombre j'ai été à ta place je comprend ton chagrin
et cette indifférence qui te pese mais si tu te laisse avoir par l'indifférence
tu n'avanceras pas prend ça comme une force
ne montre pas ta tristesse soit forte
aujourd'hui je regarde les gens la tête haute
et tous ceux qui ce moquer je les regarde et souris
car oui la petite fille moche est grosse
est devenus grande et à réussi dans la vie
en tout cas je fais le travaille que j'aime
je peux te dire une chose prend ta tristesse et tu en feras une force

tendrement °° Plume D'Ange °°
 
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