La faiblesse nous rabaisse
Par le charme de nos jouissances.
Trop osée, par un libre arbitre.
Les foutus de la vie dissolue.
Décrêpent des idées nouvelles.
Ils seraient plus libertins par une intelligence farfelue.
Ou vont les torrents avec les déversements ?
Dans les égouts pollués, par des dealers et les proxénètes.
La liberté prend de l'ampleur, se déchaîne.
Irrévérencieux, devant ceux qui restent de la bonne semence.
Ces égarés, ne trouvent point leurs directions.
Les orientations d'une doctrine, tordue dès sa naissance.
Depuis quatre siècles, âge de la renaissance.
Le monde erre vers la décadence.
Ne trouve pas la boussole divine abandonnée.
Mal éclairé par les lanternes des penseurs sages,
témoins réservés pour le jour du grand jugement.
Devenus rares en leur temps, pourtant légitimement réservé.
La faute est a celui qui se tait.
Lorsqu'il est illuminé par des idées de bons conseils.
Serait-il avare au point du ridicule ?
Alors que son réflexe identitaire en un être sage lui en donne les bonnes raisons.
Par la peur, que nous succombons tous, pour le même motif.
Le temps de notre coexistence et cohabitation commune en cette existence,
nous permet de partager le meilleur de nos pensées.
Et trouver les. Antidotes pour chaque génération.
Et non laisser des pendentifs de prix Nobel sans aucune utilité.
Notre temps se consume en notre défaveur.
Le bruit pour les sourds se fait entendre.
Des douleurs s'exportent par la haine.
Le sang se coagule déversé dans les beaux coins, jadis trop convoités.
Par un monde client en quête de détentes a plaire.
Sans se soucier des cultures ou philosophies religieuses.
Les interférences en cultures pendant ces voyages,
seraient ce jour la preuve d' une union mondiale.
Planée équitablement sans feux de guerres.
Le plus fort aura et saura comment s y prendre.
Il dormira tranquille par le fruit de la paix et l'équité de sa bonne gouvernance,
là où il en souhaite. Les nuages pleuvront pour les bonnes labours semailles.
Afin de nous permettre d' atteindre les jours de la récolte.
A.B. 10/9/2020
Par le charme de nos jouissances.
Trop osée, par un libre arbitre.
Les foutus de la vie dissolue.
Décrêpent des idées nouvelles.
Ils seraient plus libertins par une intelligence farfelue.
Ou vont les torrents avec les déversements ?
Dans les égouts pollués, par des dealers et les proxénètes.
La liberté prend de l'ampleur, se déchaîne.
Irrévérencieux, devant ceux qui restent de la bonne semence.
Ces égarés, ne trouvent point leurs directions.
Les orientations d'une doctrine, tordue dès sa naissance.
Depuis quatre siècles, âge de la renaissance.
Le monde erre vers la décadence.
Ne trouve pas la boussole divine abandonnée.
Mal éclairé par les lanternes des penseurs sages,
témoins réservés pour le jour du grand jugement.
Devenus rares en leur temps, pourtant légitimement réservé.
La faute est a celui qui se tait.
Lorsqu'il est illuminé par des idées de bons conseils.
Serait-il avare au point du ridicule ?
Alors que son réflexe identitaire en un être sage lui en donne les bonnes raisons.
Par la peur, que nous succombons tous, pour le même motif.
Le temps de notre coexistence et cohabitation commune en cette existence,
nous permet de partager le meilleur de nos pensées.
Et trouver les. Antidotes pour chaque génération.
Et non laisser des pendentifs de prix Nobel sans aucune utilité.
Notre temps se consume en notre défaveur.
Le bruit pour les sourds se fait entendre.
Des douleurs s'exportent par la haine.
Le sang se coagule déversé dans les beaux coins, jadis trop convoités.
Par un monde client en quête de détentes a plaire.
Sans se soucier des cultures ou philosophies religieuses.
Les interférences en cultures pendant ces voyages,
seraient ce jour la preuve d' une union mondiale.
Planée équitablement sans feux de guerres.
Le plus fort aura et saura comment s y prendre.
Il dormira tranquille par le fruit de la paix et l'équité de sa bonne gouvernance,
là où il en souhaite. Les nuages pleuvront pour les bonnes labours semailles.
Afin de nous permettre d' atteindre les jours de la récolte.
A.B. 10/9/2020