Quand mes larmes feraient passer les orages
Pour de simples crachins ne contenant de rage.
Quand mon sang ne coule que sur un sol glacé,
Je respire la mort comme une vieille alliée.
Prémonitions fabulées, le verrou de ton cœur
Ne m'appartenant plus, ma vie se fait de pleurs.
Quand l'amour s'est brisé sans retour concevable;
Laissons l'oiseau mourir, il n'est plus désirable.
Je me noie dans ses yeux, me fixant, méprisant,
Mes songes évanouissent le sceau des plus grands.
Souffrir pour s'attacher, s'attacher et périr,
Quand l'espoir se confond au désir de son rire.
J'étouffe le Seigneur de prières païennes,
Je pleure de la perdre et me tue dans ma peine.
Mais pour qui sont ces larmes ternissant nos ors
Qui aiguisent nos âmes, nous plantant de remords?
Pour de simples crachins ne contenant de rage.
Quand mon sang ne coule que sur un sol glacé,
Je respire la mort comme une vieille alliée.
Prémonitions fabulées, le verrou de ton cœur
Ne m'appartenant plus, ma vie se fait de pleurs.
Quand l'amour s'est brisé sans retour concevable;
Laissons l'oiseau mourir, il n'est plus désirable.
Je me noie dans ses yeux, me fixant, méprisant,
Mes songes évanouissent le sceau des plus grands.
Souffrir pour s'attacher, s'attacher et périr,
Quand l'espoir se confond au désir de son rire.
J'étouffe le Seigneur de prières païennes,
Je pleure de la perdre et me tue dans ma peine.
Mais pour qui sont ces larmes ternissant nos ors
Qui aiguisent nos âmes, nous plantant de remords?