La Harpe.
C’est en regardant, sous mes doigts,
Tourner les pages d’un ancien livre dressé,
En ma bibliothèque faite d’un vieux bois,
Que j’oublie les menottes privant les libertés
Qu’elles contraignent en auto censure démesurée,
Il faut s’absoudre de toutes ces convenances,
Faisant du poète et du philosophe des idiots nés.
Car la pensée n’a point de limite en souffrance.
On se doit d’entendre en tout point la géographie,
Posée, seule, au creux de sa main, par intelligence,
Sans maître, sans Dieu qui vous impose diligence.
La conscience ruisselle, ainsi en fleuve libre de folie.
Vous gagnerez en poèmes blonds d’adolescence,
Guidez par une plume maligne qui vous échappe,
Sur des printemps qui racontent mille romances
Bercés dans les mains d’une fée jouant de la harpe.
Loïc ROUSSELOT
C’est en regardant, sous mes doigts,
Tourner les pages d’un ancien livre dressé,
En ma bibliothèque faite d’un vieux bois,
Que j’oublie les menottes privant les libertés
Qu’elles contraignent en auto censure démesurée,
Il faut s’absoudre de toutes ces convenances,
Faisant du poète et du philosophe des idiots nés.
Car la pensée n’a point de limite en souffrance.
On se doit d’entendre en tout point la géographie,
Posée, seule, au creux de sa main, par intelligence,
Sans maître, sans Dieu qui vous impose diligence.
La conscience ruisselle, ainsi en fleuve libre de folie.
Vous gagnerez en poèmes blonds d’adolescence,
Guidez par une plume maligne qui vous échappe,
Sur des printemps qui racontent mille romances
Bercés dans les mains d’une fée jouant de la harpe.
Loïc ROUSSELOT
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