Jamais tu n’es seul
Si au lever du jour tu regardes la glace
Et détourne les yeux, agonie dans le cœur,
Si tes pas sont pesants et que la joie s’efface
Que ton âme est meurtrie peu importe les heures,
Si tes yeux sont voilés par le mépris de soi
Et que les larmes brillent en ton cœur égaré,
Si tu souffres d’injures ayant brisé ta foi
Que le vent de la vie pourrait un jour tourner,
Si tu passes au travers de la liste des noms
Que la vie a placé au sommet du bonheur,
Si encore et toujours tu cherches la raison
Pour laquelle les autres ignorent ta douleur,
Si des idées bien sombres viennent hanter ton cœur
Que tu crains d’oublier pourquoi tu résistais,
Si tu cherches une main pour effacer tes pleurs
Et te montrer enfin le chemin de la paix,
Si mille et un tourments empoisonnent ton âme
Si, lassé de la vie, tu lui tournes le dos,
Si tu penses qu’en toi s’est éteinte la flamme
Si tu n’espères plus la lueur d’un flambeau,
Alors relève-toi et redresse la tête
Car il est plus que temps que tout cela s’arrête
Debout, hurle à ces gens que tu en vaux la peine;
Refuse l’abandon et refuse la haine.
Alors rouvre les yeux et regarde la glace,
Affronte ce visage que les autres effacent,
Qu’importe les critiques et qu’importe les mots;
Si la vie est rivière il y a plus d’un flot.
Alors avance en paix sur ton propre chemin
Car nul ne peut forcer le choix qui sera tien.
Et si reviennent un jour les pensées assombries,
Si tu te crois déjà piégé dans le linceul,
Si l’envie te reprend de plonger dans l’oubli,
Souviens-toi que dans l’ombre jamais tu n’es seul.
Si au lever du jour tu regardes la glace
Et détourne les yeux, agonie dans le cœur,
Si tes pas sont pesants et que la joie s’efface
Que ton âme est meurtrie peu importe les heures,
Si tes yeux sont voilés par le mépris de soi
Et que les larmes brillent en ton cœur égaré,
Si tu souffres d’injures ayant brisé ta foi
Que le vent de la vie pourrait un jour tourner,
Si tu passes au travers de la liste des noms
Que la vie a placé au sommet du bonheur,
Si encore et toujours tu cherches la raison
Pour laquelle les autres ignorent ta douleur,
Si des idées bien sombres viennent hanter ton cœur
Que tu crains d’oublier pourquoi tu résistais,
Si tu cherches une main pour effacer tes pleurs
Et te montrer enfin le chemin de la paix,
Si mille et un tourments empoisonnent ton âme
Si, lassé de la vie, tu lui tournes le dos,
Si tu penses qu’en toi s’est éteinte la flamme
Si tu n’espères plus la lueur d’un flambeau,
Alors relève-toi et redresse la tête
Car il est plus que temps que tout cela s’arrête
Debout, hurle à ces gens que tu en vaux la peine;
Refuse l’abandon et refuse la haine.
Alors rouvre les yeux et regarde la glace,
Affronte ce visage que les autres effacent,
Qu’importe les critiques et qu’importe les mots;
Si la vie est rivière il y a plus d’un flot.
Alors avance en paix sur ton propre chemin
Car nul ne peut forcer le choix qui sera tien.
Et si reviennent un jour les pensées assombries,
Si tu te crois déjà piégé dans le linceul,
Si l’envie te reprend de plonger dans l’oubli,
Souviens-toi que dans l’ombre jamais tu n’es seul.
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