Jamais tu n’es seul
Si au lever du jour tu regardes la glace
Et détourne les yeux, agonie dans le cœur,
Si tes pas sont pesants et que la joie s’efface
Que ton âme est meurtrie peu importe les heures,
Si tes yeux sont voilés par le mépris de soi
Et que les larmes brillent en ton cœur égaré...