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[HISTOIRE] - Tes yeux bleu

Sûgo Tanaka

Maître Poète
#1
Bonjour les CréaPoètes, comment allez-vous ? ^^

Bon, je vois en venir certain :rolleyes: : "Créapoèmes c'est pour les poèmes pas les histoires !". A ce genre de personnes qui pensent ça, et qui sont catégoriquement fermé QUE sur le poème, veuillez m'excuser mais je vous invite avec toute ma politesse et ma cordialité de cliquer sur la petite flèche qui se trouve en haut à gauche de votre écrant et d'apprendre à vous ouvrir un peu plus ;)

Bon, maintenant le coup de gueule terminé, je vais me justifier :confused: Comme certains le savent déjà, j'ai comme qui dirait, une grosse panne d'imagination et d'inventivité, ce qui fait vexé de cette soudaine incapacité, je me suis mis dans la tête de parvenir à retrouver l'imagination, et au final, ça a fini par payer, mais sous une forme différente du classique poème (d'où la raison que je mette cela dans l'espace détente) :confused:

Donc bon, je vous embête pas plus mais pour l'instant l'histoire n'est pas terminée :p Donc pour ceux que ça intéresse, je vous tiendrait informé de la sortie des chapitres ;)

Rien que pour vous éviter trop de frustration, je me suis amusé à vous donner d'abord les 2 premiers chapitres :D

En espérant que cela vous plaise :oops:

Sûgo Tanaka
06 / 06 / 2018​

Tes Yeux Bleu

Description de l'histoire:
Quentin, un jeune lycéen de 17 ans a dévoilé sa flamme à Athénaïs Perry, une de ses camarades de classe. Celle-ci alors gênée de cette déclaration la fuit durant une semaine. Alors, l’heure de la révélation est venue.

Chapitre 1 : Une révélation ?

Quel étrange ressenti... Elle se tient face à moi, mal à l'aise, le regard fuyant... Et par-dessus tout, l'on peut lire à ses expressions, qu'elle s'apprête à dire tout ce qu'elle ressent au fond d'elle.

Ai-je fait une erreur ? Ai-je bien fait de lui dévoiler la semaine dernière ma flamme ? Je n'ai d'yeux que pour elle... Mon cœur bat pour elle... Je ne vis que pour elle... Je me souviens, quand je lui ai révélé mes sentiments, elle m'a regardé, l'air surprise, gênée, elle m'a fui. Depuis ce jour, je ne l'ai plus jamais revue, jusqu'à aujourd'hui.

Pourtant, l'on est dans la même classe, mais ce n'est seulement aujourd'hui que quand le professeur appela : "Athénaïs Perry" que j'entendis au fond de la salle comme qui, dirait, une douce voix approuvant sa présence au cours. À ce moment-là, tout ce noir que j'ai broyé due à l'inquiétude, au remords, se volatilisa.

À la fin de ce cour, elle m'attrapa par la manche et m'emmena d'un pas maladroit, mais, pressée, en dehors du lycée, au parc, qui était juste à côté. Ainsi, je suis là, juste devant elle qui est totalement désarmée, la brise caressant ses blonds cheveux et les rayons de soleil illuminant son visage.

Puis, elle parle, si doucement, c'est à peine perceptible, avec beaucoup de peine et de concentration, je parvins à distinguer ces quelques mots : "Quentin... Il faut que je te parle...".

Et soudainement, ses yeux... Elle me regarde. Jamais je ne me suis senti aussi impuissant, démuni face à quelqu'un... Mais ils m'hypnotisent, mes yeux sont rivés... Je ne cesse de scruter les moindres détails de son iris... Pour au final, finir par plonger dans le noir de ses pupilles, entouré du ciel bleu de ses iris.

Je me sens alors petit à petit aspiré par ce puissant et doux regard. J'ai comme l'impression de flotter, ai-je perdu connaissance ? Je suis dans un noir béant, dans tout ce noir, j'ai l'impression de flotter. Mais où suis-je ?

Au loin, je perçois comme une lumière et c'est alors que je me dis, avec beaucoup de sarcasme : "Tssss... La lumière au bout du tunnel ! Infernale ou Divine ?".

Alors même que je songe à y aller, tâtant du pied à la recherche du sol, je flotte, en avançant en sa direction. C'est étrange, mes pensées sont confuses, je ne sais plus vraiment qui je suis, ni ce que je suis d'ailleurs...

Qu'est-ce qui se passe ? Cette lumière m'appelle ! Je veux savoir ce qu'il y a là-bas ! Quel qu'en soit le prix !

Chapitre 2 : L’enfant dansant dans la plaine

Je me rapproche, de plus en plus... Et petit à petit, je ressens une chose étrange... Je ne saurai pas décrire ce sentiment d'une complexité incompréhensible... Mais ce sentiment-là, m'apaise.

Cette lumière auparavant si lointaine est désormais à deux pas de mon corps, j'hésite encore à plonger dans cette lumière qui semble marquer la seule issue de cet endroit... Il ne me semble pas avoir le choix, alors, j'avance... Je me sens aspiré, de nouveau... Ma vision devient floue, je perds mes sens... Un flash blanc et plus rien...

Je me réveille. Je suis allongé sous un olivier, un peu plus loin, il y a une fille aux cheveux blonds, d'un blond tel que même l’or pur ne pourrait égaler leur sublime beauté. Elle devait avoir dans les sept ans, ses éclats de rire retentissaient au travers cette plaine verte ou seule cette petite colline sur lequel été planté cet olivier faisait office de relief sur ce paysage tout droit sorti d'un livre des plus fantastiques.

Le ciel est bleu, les nuages rares, la brise fraîche. Cette enfant continue sa valse féerique au travers de la verdure de la plaine. Elle tourne, elle tourne, elle tourne, puis, elle se laisse tomber, se recroquevillant sur elle-même... Ce sentiment doux et agréable que j'avais alors jusque-là s'est envolé tel cette feuille virevoltant prise dans le piège du vent. Le ciel s'assombrit, ces rares nuages se mettent à grossir et à noircie jusqu'à en cacher le soleil. Des grondements assourdissants se font entendre au loin, des flashes de lumière blanche apparaissent au-dessus de ma tête...

La jeune fille est perdue, elle pleure, je souhaite l'aider, mais je ne peux pas bouger, je ne peux pas parler... Je suis... Dans l'incapacité de faire quoi que ce soit... Je ne peux qu'observer...

Alors que le temps ne se fait que plus menaçant, j'entends les vrombissements d'une voiture, une voie, enfin, une voix étouffée emportée par le vent qui hurle, je ne peux distinguer distinctement cette voie, je ne la comprends pas... Je m'aperçois alors qu'en bas de la colline, il y a une voiture, de couleur rouge, une femme se tient à côté regardant la fille au loin, elle semble crier une nouvelle fois, la fille réagit et se dirige vers la dame, moi hélas, je n'ai encore rien entendu...

Elle court, l'air paniquée, elle court et s'en rien attendre se réfugie dans la voiture qui déboula à toute vitesse, fuyant le mauvais temps... Me laissant alors seul. La foudre se déchaîne sur le paysage, la pluie tambourine les cieux et moi, je suis là, au bord des larmes, je me sens perdu...

Puis un flash blanc, une douleur vive aux oreilles, un acouphène passager et je contemple d'un air apeuré l'olivier qui se fait consumer par les flammes infernales... Je pleure, je pleure sans être à même capable de faire quoi que ce soit, probablement tétanisé par la peur... Alors, il pleut comme je pleure, devant moi, un grand feu qui vacille et qui meurt...
Plus rien de ce paysage, ce noir complet s'est encore emparé de moi, je suis de nouveau prisonnier, à la merci de l'obscurité... De nouveau, mes sentiments, émotions et pensées sont confus... Je ne comprends pas ce qui m'arrive...

Mais soudainement, j'ai l'impression de chuter, de chuter, mais lentement, telle la plume blanche qu'une colombe aurait échappée en cours de vol... Un épais brouillard apparaît autour de moi... Je touche enfin le sol et je constate en plissant des yeux, le terrain se présentant devant moi.

[A SUIVRE -> 06/06/2018]​
 
Dernière édition:
#2
C'est très prometteur comme début ,pour le fond , ça intrigue et on a envie de connaitre la suite, tu as la manière de captiver le lecteur ,c'est très bien
pour la forme il faudrait surveiller l'orthographe car plusieurs erreurs sont à rectifier ; éliminer les répétitions comme là :
J’ai comme l’impression de flotter, ai-je perdu connaissance ? Je suis dans un noir béant, dans tout ce noir j’ai l’impression de flotter. Mais où suis-je ?

tu n'as eu aucune réponse et je pense que tu n'as peut-être pas mis ton texte au bon endroit , en prose il aurait plus de chance d'être vu et lu
si tu as fait une suite ,, ça m'intéresse de la lire
 
#3
Je vous remercie LUZE pour votre message, ça me fais chaud au cœur, pour fe qui est des répétition, j'y fairais attention.

Je suis justement entrain de travailler sur le chapitre 3,je vous avoue avoir un peu du mal à mettre en forme les événements.