J'arrache du fond de mes sourdes oreilles,
Les mots de jadis qui me réveillent.
Des mots bien pesés dans les recueils
Comme des proverbes, ils m'erveillent.
Je n'ai jamais pensé à mourir si tôt.
Pourtant j'ai pu comprendre les maux
Des souffrances en abondance.
Je fortifie mes pouvoirs de résistance.
En profondeur mon âme se détache de moi.
Je ne ressent point les injustices de l'émois.
Ma part de fléchissement est atteinte
Ma limite de patience s'étale sans crainte.
Une inappétence sévère et pure s'active
Devant les félicités qui dérivent,
Me propulse vers les cieux de la sagesse.
Dans la bienveillance et dans l'allégresse.
Je regarde mes pas d'hier par correction
Ils m'évitent celles de ce jour à la perfection.
Mà destinée jonchée de joie et bonheur
Comble les tourments des jours de malheur.
Devant le libertinage je demeur chaste
Par l'amour d'un Dieu vénéré en être si faste.
Mes sentiments de philanthrope et empathie.
M'affiche aisance devant mes frères et sympathie.
Je m'élève par mes pensées en mots captieux.
Pour percer un des secrets de ces cieux
Une bassesse dans les abysses de la modestie.
Me corrige dans mes assensions de cette vie.
Nul n'est obtus que qui ne veut comprendre
En conciliation avec son esprit, il peut s'entendre.
Se contenter d'un peu est une des grandes richesses.
D'un compte créditeur qui évolue sans cesse.
Les mots de jadis qui me réveillent.
Des mots bien pesés dans les recueils
Comme des proverbes, ils m'erveillent.
Je n'ai jamais pensé à mourir si tôt.
Pourtant j'ai pu comprendre les maux
Des souffrances en abondance.
Je fortifie mes pouvoirs de résistance.
En profondeur mon âme se détache de moi.
Je ne ressent point les injustices de l'émois.
Ma part de fléchissement est atteinte
Ma limite de patience s'étale sans crainte.
Une inappétence sévère et pure s'active
Devant les félicités qui dérivent,
Me propulse vers les cieux de la sagesse.
Dans la bienveillance et dans l'allégresse.
Je regarde mes pas d'hier par correction
Ils m'évitent celles de ce jour à la perfection.
Mà destinée jonchée de joie et bonheur
Comble les tourments des jours de malheur.
Devant le libertinage je demeur chaste
Par l'amour d'un Dieu vénéré en être si faste.
Mes sentiments de philanthrope et empathie.
M'affiche aisance devant mes frères et sympathie.
Je m'élève par mes pensées en mots captieux.
Pour percer un des secrets de ces cieux
Une bassesse dans les abysses de la modestie.
Me corrige dans mes assensions de cette vie.
Nul n'est obtus que qui ne veut comprendre
En conciliation avec son esprit, il peut s'entendre.
Se contenter d'un peu est une des grandes richesses.
D'un compte créditeur qui évolue sans cesse.
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