Concours avril 2018
Conviée à le visiter
Conviée à le visiter
Je suis étonnée relisant ces résultats
Car je ne me souviens de rien!
Ni le sujet, ni ma participation
Au concours,
Ni aux remerciements si variés en tous domaines!
Les poèmes sont à moi, je le sais
mais ne me disent rien!
Je me revois simplement à partir du 7 Juin 2018
Jusqu’au 29, libre de mes actes !
Sauf périodes de concours
du 15 au 16 ouvriers
18 crédit agricole et
gendarmerie
sont visités
et mairie
fermée
Et dès le 3o juin insultes!
Mais dès juillet 2018 et ensuite…..
Combien d'histoires m'ont été racontées!
Insultée partout dans les magasins
à partir du 30 juin ,je ne fais plus
mes courses
je n'ai rien
en maison
Après c'est la déroute
en mon âme et conscience perturbée
ce vide, ce grand trou, vais-je au moins le retrouver
en nombreux trous qui me font pleurer sur la réalité!
Je vis tout près d’un précipice ces jours, endormie
Couronnée de questionnement sur la veille
Où moi-même je disais : "C'est faux
Cette nuit j’ai dit ça et ça
Et non ce qui m’est dit"!
Me répondait une voix inconnue
« Ah oui, c'est une erreur je vais rectifier »
Mais au souvenir rien n’a été rectifié
Le temps passait sempiternel
Sans jour et nuit un
Eternel présent !
Je me souviens du remplissage de mes journées
Avec au combien de retard sur la réalité
Qui se pressait d’arriver au 22 juillet
Je devais écrire les menus du jour
Je tremblais trop après de
multiples esquisses
mon commentaire
sur le site pour
Le mariage du fils de Marie-Josée !
Combien Journée lourde à passer ,
Je me sentais étrangère
à tous les invités !
Puis le frère de Dominique arrivait
le 27 au soir de juillet
Je n’avais rien préparé
Sans gêne je le leur annonçais
toujours entre deux ondes
je ne faisais que planer!
Sauf les chambres et la maison nettoyées !
Cela me ressemble mal à mon passé
Car tout était prêt
Bien avant
Le jour
Fatal.
Combien font mal c’est absences de mémoire
Qui m’ont été offertes me curant mon âme
Pour que de ma vie, savoir qu'elle
Ne faisait que s’égoutter
En bonheur d’amitiés
Dans le coeur
A jamais !
le 27 au soir de juillet
Je n’avais rien préparé
Sans gêne je le leur annonçais
toujours entre deux ondes
je ne faisais que planer!
Sauf les chambres et la maison nettoyées !
Cela me ressemble mal à mon passé
Car tout était prêt
Bien avant
Le jour
Fatal.
Combien font mal c’est absences de mémoire
Qui m’ont été offertes me curant mon âme
Pour que de ma vie, savoir qu'elle
Ne faisait que s’égoutter
En bonheur d’amitiés
Dans le coeur
A jamais !
Celui-ci je l’ai gardé
Malgré les embûches dressées
Ces trésors de la vie
Tout en fidélité
Ne pourront
S’effacer !
Malgré les embûches dressées
Ces trésors de la vie
Tout en fidélité
Ne pourront
S’effacer !
Polymnie2, ce 13 janvier 2021
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