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Citations, pensées momoriciennes, et petites histoires vécues…les miennes et les votres.

Tu parles de gens que je connais très bien. Quand ce n'est eux, ce sont leurs semblables.
Le temps passe, de plus en plus vite, j'en suis conscient depuis si longtemps.
Ma vie se compose de regrets, de manque, de vide, d'inutilité, de mélancolie, le tombeau des regrets, je crois que c'est moi...

Amitiés,
Tu es encore jeune, et dans la vie
les portes finissent toujours par s’ouvrir ! Il suffit de peu de patience.
Merci d’être venu me lire
Amitiés
 

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
Une porte ouverte n'est pas la solution.
Si nous voulons encore rester des hommes, je crois que c'est à nous de pousser la porte.
Et comme un accouchement, je crois qu'il faut pousser très fort ^^

Amitiés,
 
Acrostiches à Paule et ses petites variantes…



Parmi tant de lueurs tu voyages sereine,

Aphrodite beauté, éblouissante reine!

Uniques sont tes traits aux captivants revers,

Lumineuse fusion au sein de l'univers,

Etends tes rayons chauds sur mon corps froid d’hiver.



Ou



Parmi tant de lueurs tu voyages sirène,

Aphrodite beauté, éblouissante reine!

Uniques sont tes traits aux captivants revers,

Lumineuse femme au cœur de l'univers,

Étends tes rayons verts sur mon corps froid d’hiver.



Ou



Parmi tant de lueurs tu scintilles sereine,

Adorable beauté, éblouissante reine,

Unique sœur du temps flirtant au firmament,

L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants

Enlacés près du lac aux reflets de diamants.



Ou :



Parmi tant de trésors tu rayonnes sereine,

Angélique beauté, éblouissante reine,

Unique sœur du temps flottant au firmament,

L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants

Embarqués pour toujours sur le lac aux diamants.



Ou



Parmi tous ces trésors tu scintilles, sirène,

Admirable beauté, enivrante reine,

Unique sœur du temps noyée au firmament,

L’étoile au cœur du jour fait planer les amants

Entraînés par l’amour près du lac aux diamants.
 
IMG_0450.png Les bouches d’égout de notre belle région difficile d’échapper à ces relents nauséabonds ! IMG_0451.png

Arthur Rimbaud, encore lui, les aurait surnommées les bouches d’ombre. Je vais toujours plus loin que lui, je les ai baptisées, avec toute l’affection que je leur porte, les bouches d’égout.

On les appelle communément ici et là les langues de vipères.

Elles se distinguent par leur facilité à véhiculer des ragots de tous genres, ainsi nos connaissances, sans être forcément curieuses, peuvent avoir de nos fausses nouvelles sans se déplacer sur de longues distances, ce qui est bien pratique, reconnaissons-le !

La recette a toutefois tendance, au fil d’une propagation galopante, à amplifier le mensonge. En effet, cela va être à celui qui apportera la meilleure touche poivrée finale, celle qui a le don de procurer un goût inimitable aux meilleures recettes de nos grand-mères! Le raisonné qui écoutera malencontreusement devra avoir en tête la pensée de Blaise Pascal : "À la fin de chaque vérité, on se doit d’ajouter que l’on se souvient de la vérité opposée". Évidemment, la personne du coin aura une fâcheuse tendance à commérer sur son voisin direct, est-ce dû à l’héritage de ses ancêtres autour du lavoir ? Il n’y a pas de règle, c’est humain, paraît-il ! Les faciès sombres finissent toujours par avoir une meilleure connaissance de votre existence que de la leur ! Elle est tellement plus extravagante qu’elle mérite sans nul doute que l’on s’y attarde pour que tout le monde en profite. Ce livre ouvert sur l’intimité du pauvre condamné malgré lui s’étoffe inexorablement et finit par devenir un roman fleuve, et Dieu seul sait s’il aura une fin un jour. On pourra ainsi le vider de son sang à loisir, comme le ferait une sangsue jusqu’au pied de sa tombe !

Le condamné finira par ressembler comme deux gouttes d’eau à celui qu’il n’est pas, n’est-ce pas incroyable ? Il percevra jour après jour les regards qui le suivent, le jugent, le jaugent, même au point de le mettre parfois très mal à l’aise. Il deviendra malgré lui l’attraction d’une partie de son entourage et il s’en étonnera ! Pourquoi cette renommée, acquise de bouches sombres en oreilles d’âne, l’accable t’elle avec tant d’obstination ?

Il sera le seul à ne pas connaître page à page cette saga interminable et il finira par s’en attrister ! Grâce à Dieu, peut-être qu’un jour un homme sage à l’oreille sélective la lui racontera et ils finiront tous les deux par en pleurer…de rire, bien entendu!
 
Et une petite suite coléreuse !

Ne vous faites pas trop d’illusions sur la considération que pouvaient avoir les gens du peuple sur les plus grands écrivains à toutes les époques.

Beaucoup de ces plumes aux hautes envolées ont eu une enfance malheureuse, ce qui leur a permis de développer un style d’une sensibilité à fleur d’encre.

L’émotion ne peut germer et s’épanouir réellement qu’au sein d’une histoire vécue ! L’imagination n’a que très peu d’appuis pour un rendu à haute sensation.

Les écrivains ont souffert de la proximité qu’ils avaient avec les bouches d’égout comme je les nomme. Rimbaud les aurait sûrement qualifiés de bouches d’ombre! Arthur en colère écrit : " J’ai horreur de tous les métiers ! Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles, la main à la plume vaut la main à la charrue".

Le très grand Flaubert s’insurge, alors qu’il réclame trois stères de bois : "Et dire que l’on croit que je m’amuse ici !". Il écrit à Louise Colet, sa copine : « Je travaille comme un acharné jour et nuit ! Il m’arrive d’écrire jusqu’à sept lignes par jour, je suis épuisé !».

Des lignes d’un labeur harassant où la plume trace péniblement ses sillons éternels.

Aujourd’hui comme hier, cette pseudo oisiveté perçue par le voisinage est méchamment jugée. Dans un autre domaine, voici une anecdote. Mon ami, champion de France de cyclisme professionnel, alors qu’il enfourchait son vélo pour parcourir plus de deux cents kilomètres à l’entraînement, était le plus grand fainéant du pays !

Rendez-vous compte, il partait se promener à bicyclette pendant que son épouse était au travail pour nourrir la famille !

Ainsi vont les quolibets dans l’entourage de l’artiste et il meurt le plus souvent sans aucune reconnaissance.

Si, comme cela se produit parfois, son œuvre est reconnue à titre posthume, j’ose espérer que cet élan vers cette juste récompense bien trop tardive ne dérangera pas son esprit, voire son âme, promis à un repos éternel bien mérité.
 

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
Et une petite suite coléreuse !

Ne vous faites pas trop d’illusions sur la considération que pouvaient avoir les gens du peuple sur les plus grands écrivains à toutes les époques.

Beaucoup de ces plumes aux hautes envolées ont eu une enfance malheureuse, ce qui leur a permis de développer un style d’une sensibilité à fleur d’encre.

L’émotion ne peut germer et s’épanouir réellement qu’au sein d’une histoire vécue ! L’imagination n’a que très peu d’appuis pour un rendu à haute sensation.

Les écrivains ont souffert de la proximité qu’ils avaient avec les bouches d’égout comme je les nomme. Rimbaud les aurait sûrement qualifiés de bouches d’ombre! Arthur en colère écrit : " J’ai horreur de tous les métiers ! Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles, la main à la plume vaut la main à la charrue".

Le très grand Flaubert s’insurge, alors qu’il réclame trois stères de bois : "Et dire que l’on croit que je m’amuse ici !". Il écrit à Louise Colet, sa copine : « Je travaille comme un acharné jour et nuit ! Il m’arrive d’écrire jusqu’à sept lignes par jour, je suis épuisé !».

Des lignes d’un labeur harassant où la plume trace péniblement ses sillons éternels.

Aujourd’hui comme hier, cette pseudo oisiveté perçue par le voisinage est méchamment jugée. Dans un autre domaine, voici une anecdote. Mon ami, champion de France de cyclisme professionnel, alors qu’il enfourchait son vélo pour parcourir plus de deux cents kilomètres à l’entraînement, était le plus grand fainéant du pays !

Rendez-vous compte, il partait se promener à bicyclette pendant que son épouse était au travail pour nourrir la famille !

Ainsi vont les quolibets dans l’entourage de l’artiste et il meurt le plus souvent sans aucune reconnaissance.

Si, comme cela se produit parfois, son œuvre est reconnue à titre posthume, j’ose espérer que cet élan vers cette juste récompense bien trop tardive ne dérangera pas son esprit, voire son âme, promis à un repos éternel bien mérité.
Tu sais, on en est tous là, sinon que ferions nous ici? :p
 
IMG_0479.png Le père temps

Jeunes gens, las de tromper les heures, votre imagination qui ne chôme pas dévore les plaisirs et votre cœur maudit tous les délais.

Peignons le dieu, qui retarde les vacances, sous une triste figure, par sa faute la joie s’envole aussi vite qu’elle fut longue à naitre.

Nos lointains aïeux ont réussi ce farouche portrait avec un sens moral très délié joint au pittoresque le plus dramatique.

Une divinité solaire de la Gaule chevelue portait barbe d’azur, couleur du ciel qu’elle parcourait ; tous les matins en se levant elle mettait fin à l’aurore.

Mais le père temps allait trop vite au gré des uns ; trop lentement au gré des autres. Pour beaucoup de malheureux, Il ajournait toujours le bonheur ou le refusait.

Cet auguste vieillard ne gardera plus qu’un attribut d’autrefois qui est dans le monde des légendes familières aux petits garçons et aux petites filles la Barbe-bleue de l’ogre.

Il nous tient maintenant, il nous rappellera en octobre, après avoir tué un à un tous les beaux jours.
 
Alexandrin boiteux à l’oreille ! Quand le poète perd pied il va à l’Alexanciel ! Néologisme à Momo

A érien sur les plus hautes cimes, tu rimes.
L’ air y est si pur, le ton si haut, tu voles !
É éternel en pensées au son des holorimes,
X ylophone des âmes au son frivole,
A rrondi poétique, aux ondes fines,
N ulle mélodie ne clame autant les cieux !
D onne à ce vol une ode féminine,
R êve aux doux échos aux timbres judicieux,
I déalise ce roi à la langue divine,
N aturels vers saints où plane l’esprit de Dieu.

Quand le poète le met au pied ! Il devient Alexandrin !



A ériens sur les plus beaux sommets, tu rimes
L à-haut l’air est si pur, tu tiens le premier rôle
E n pensers éternels, au son des holorimes.
X ylophone léger pour âme au son frivole
A rrondi de prestige aux ondes poétiques,
N ul chant ne sait autant harmoniser les cieux!
D onnons à cet envol des notes prophétiques,
R êveurs aux doux échos au timbre langoureux,
I déal de ce monde à la langue unique,
N aturel et saint vers louant l’esprit de Dieu!

Il faut que l’acrostiche rime !

R..eine sous les vents à l’air frais de tes rimes
I….magine les mots qui font frémir les cimes,
M…arie leur souffle court aux rayons ultimes,
E…ternels naîtront les vers aux sons sublimes.
 
Dernière édition:
Voici la réponse que je fais à ARTHUR RIMBAUD (1854~1891)

Au bois il y a un oiseau, son chant vous arrête et vous fait rougir.
Il y a une horloge qui ne sonne pas.
Il y a une fondrière avec un nid de bêtes blanches.
Il y a une cathédrale qui descend et un lac qui monte.
Il y a une petite voiture abandonnée dans le taillis, ou qui descend le sentier en courant, enrubannée.
Il y a une troupe de petits comédiens en costumes, aperçus sur la route à travers la lisière du bois.
Il y a enfin, quand l’on a faim et soif, quelqu’un qui vous chasse.

IV

Je suis le saint, en prière sur la terrasse, — comme les bêtes pacifiques paissent jusqu’à la mer de Palestine.
Je suis le savant au fauteuil sombre. Les branches et la pluie se jettent à la croisée de la bibliothèque.
Je suis le piéton de la grand’route par les bois nains ; la rumeur des écluses couvre mes pas. Je vois longtemps la mélancolique lessive d’or du couchant.
Je serais bien l’enfant abandonné sur la jetée partie à la haute mer, le petit valet, suivant l’allée dont le front touche le ciel.
Les sentiers sont âpres. Les monticules se couvrent de genêts. L’air est immobile. Que les oiseaux et les sources sont loin ! Ce ne peut être que la fin du monde, en avançant.

(Illuminations, 1886)

Cher Arthur voici la réponse d’un autre illuminé !

Ce bois je le connais, mon âme vagabonde hante régulièrement son sentier aride. Hélas rien n’est immuable! L’oiseau n’y chante plus depuis longtemps, un silence inquiétant plombe ce qui, autrefois, était un lieu enchanté et où vie agitait dans sa fragilité extrême le moindre feuillage tendrement humecté, puis, osait renaître tous les matins au rythme lent du temps, cadencé par le long balancier solaire aux ombres fuyantes, placé sous l’aile protectrice et ordonnée par des lois divines aux résonances claires lointaines, encensé grâce au sage livre de l’existence à l’enveloppe désormais scellée, celui où la voix de la raison sonnait au diapason des grandes décisions célestes dictées par la plume royale de l’ordre saint universel.
Parfois, comme toi, cher Arthur, je suis pris de soudaines illuminations !
 
Mes dernières volontés : Je sais j’ai toujours très exigeant…

Épitaphe à Momo :

Ci-gît six pieds sous terre un bien trop dur à cuire !

Mon dernier déplacement !

Obsèques civiles silencieuses, mon corps dans un cercueil en peuplier, sans crémation, sans faire-parts, ni publications, ni remerciements, ni condoléances, ni pleurs, ni rires, ni fleurs, ni plaques, ni couronnes, ni quête, ni cloches, ni discours, ni oraison funèbre, ni connes, ni cons!
Partir les pieds devant, enseveli six pieds sous terre pour être dévoré par les vers ! Connaissez-vous une meilleure fin pour un amoureux des vers ?
Je n'ai pas pu écrire mes premières volontés, je les aurais aimé autres, ma revanche je la tiens là, je remercie ma famille de bien vouloir les respecter scrupuleusement sinon à quoi rimerait que je les dicte ?
Je reconnais que je suis pointilleux, mais si on ne peut pas l'être avec son corps sans vie où va-t-on ? Je ne veux pas rater mon départ, j'ai toujours eu l'esprit sportif !
Et dire que je serai le seul à ne pas savoir que je suis mort !
Heureusement je ressusciterai trois jours plus tard !
Au revoir ! Ou mieux adieu !
 
J’ai constaté au fil du temps que beaucoup de mamies avaient pour petit nom ou surnom Manou.
Aussi, j’ai composé cet acrostiche aux Manou qui nous quittent.

Acrostiche à Manou

M ille pensées pour toi accompagnent nos pas,
A vec nous, tes amis, te pleurent pas à pas,
N os coeurs à l'unisson sanglotent en ce jour,
O ù, orphelins de croix ! Mais ciel, pas pour toujours,
U nis dans cette foi par ton esprit d'amour !
 
Dernière édition:
J'ai eu une vie d'une richesse infinie, j'ai connu la pauvreté, le dévouement, et la cruauté humaine dans ce qu’elle a de plus sordide, j'ai tenu les plus belles femmes dans mes bras, deux d'entre-elles m'ont donné cinq merveilleux enfants, j'ai gagné beaucoup d'argent que j'ai rapidement dépensé, et je finis mon existence comme je l'ai commencée dans ma chère région natale, avec en prime une retraite de miséreux.
 
Dernière édition:
IMG_0510.png
Ah ! Enfin c’est la Saint-Valentin !

Ce poème est né (C’est le cas de le dire !) lors d’un concours de poésie ayant pour thème la Saint-Valentin, j’ai mis une vingtaine de minutes pour l’écrire suite à un pari !

Revoilà la Saint-Valentin,
Je m'attends à faire tintin !
Pas de cadeau pour Maurice,
Sous la couette protectrice !

Mais qu’as-tu fait de ton enfance
Pour mériter cette abstinence ?
As-tu joué à la poupée ?
Oui! Je l’ai même découpée !

Ô ! quelle horreur as-tu faite là !
Il fallait bien et puis voilà !
Comment jouer au médecin
Seul dans mon lit sous le traversin ?

Est-ce de ma faute si mes parents
N’ont jamais eu qu’un seul enfant ?
Puis à l'époque où je suis né,
On ne parlait jamais nénés !

Et aujourd’hui vous comprendrez,
Pourquoi puceau sur la cendrée,*
Près du chou de mon enfance,
Je cultive mon espérance !

Car, croyez-moi, gens de Créa,
Sur la terre que Dieu créa,
Je ne suis pas le seul à boire
A cette source très illusoire

* terre
• Site poétique Créa poème
 

Matthale

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Créa... C'est une Terre, une patrie, un monde vide de sens sans vous tous. Sans vos mots. N'ai pas peur. L'inéluctable, un jour nous partons m. Toujours je vous remercie tous les amis. Et toi aussi m. J'ai déjà peur tu sais. Depuis très longtemps. Il serait mieux d'être con et de ne pas y penser. Mais nous ne serions pas là alors.
 
Créa... C'est une Terre, une patrie, un monde vide de sens sans vous tous. Sans vos mots. N'ai pas peur. L'inéluctable, un jour nous partons m. Toujours je vous remercie tous les amis. Et toi aussi m. J'ai déjà peur tu sais. Depuis très longtemps. Il serait mieux d'être con et de ne pas y penser. Mais nous ne serions pas là alors.
La vie est à l’image de la trajectoire du soleil dans le ciel. Il naît à l’Est et se couche à l’ouest.
On connaît une lente ascension jusqu’à atteindre une apogée, puis un lent déclin vers l’horizon où on se couche jusqu’à preuve du contraire pour toujours.
Fatale destinée que notre vie sur terre !
Rien n’y peut exister tout y est éphémère !
 
Petites anecdotes !

Mon oncle Roger, fut l’ami de Georges Pompidou, pendant leurs études à Toulouse ils ont mangé face à face durant une année.

Alors que Roger avait une conversation de haute voltige sur l’esthétique de Flaubert avec le futur Président, celui-ci écrivait à sa copine de l’époque.

Mon oncle avait été chargé par Georges de faire le facteur cette fin de semaine là !

Gageons, que la conversation entre ces deux futurs agrégés de lettres devait atteindre les sommets de la littérature.

Eh bien savez-vous, G
Pompidou a rédigé une lettre de trois pages sans faire une rature !

Ce qui a fait dire à mon oncle qui ne manquait pas d’humour : - C’était un homme de lettres !

Bien entendu il faut entendre de lettres à facteur ! Hi trois coups

Allez ! J’en ai une autre assez cocasse !

Alors que Roger est dans le compartiment d’un train un l’individu inconnu à ses yeux, entame un dialogue sur la pêche au saumon dans les Pyrénées Atlantiques.

Après quelques échanges, celui-ci lui rétorque: - Vous n’attraperez jamais autant de saumons, qu’une personne que je connais très bien, qui le pêche dans le Gave de Pau et qui habite à Oloron-Sainte-Marie !

- Ah bon ! Et comment se nomme t’il ?

- Roger Marcouly

- Vous l’avez en face de vous !
 
IMG_0558.png Je ne suis pas là pour me faire que des amis, et j’ai pour habitude de dire ce que je pense!

Voici le moins doué que je connais ! Il pratique une littérature industrielle dans un français approximatif où les fautes se succèdent !

Poissy : Marc Lévy, l'auteur français le plus lu au monde, à la rencontre de ses fans. L'auteur français qui a vendu près de 50 millions de livres vient dédicacer son 25e roman.

Il me fait penser à Alexandre Dumas en bien moins bon !
Le père ou le fils ? Les deux!