Perpétue ma flamme
Toujours ma belle dame
J'ai en moi une flamme, une aigrette de chaleur à donner
Perpétue son éclat, fais jaillir le volcan et sa fournaise
Tu sais ma foudre d'étincelles ,mais aussi ma fébrilité
Toi seul a le secret par un élan de vaincre mon anémèse
Toujours, tu attises ce feu en moi, mon cœur réchauffé
De tes mains toujours habiles, tu embrases les braises
Toujours là, ensembles avec ce temps qui nous fait plier
Dans mes bras je t’enlace pour combattre tes complaises
Mon cœur contraint aux malaises, sa lueur escamotée
Ne le laisse pas s'affadir, et de tes paumes ranimées
Que tes dix bornes baguenaudent à musarder le foyer
Que ma cendre d'émoi renaisse , traitée avec habilité
Ensembles nous surmonterons les tempêtes affolées
Notre barque n'a qu'une rame pour deux êtres aimés
Notre amour soufflant voiles de notre galère avancée
Dès fois nous courbons, à deux nous ne pouvons plier
Avoue que la tâche est agréable , suffisant de doigté
Pour aiguiser l'ardeur de femme à l' amadou mignoté
Suffirai-je à te rendre maître de l'appétence de ton bras
Perpétue l'échancrure des croisées des mirettes sur moi
Tu sais toujours assaisonner et pigmenter notre nuitée
Ton corps n'est plus jouvencelle mais encore la beauté
Tu n'as jamais réussis à plus faire naître le désir en moi
Comme une antique légende entre charme de belle émoi
Et si tu vois dans mon regard de petites flammèches
Un sourire apparaitre , persuade bien ta tête
Que la tendresse couvée s'énamoure et s'allèche
Les à venir se perpétuent , se restaurent, s' infusettent.....
Entres vermeilles et merveilles, ton amour une flèche
Entres regard et sourires m'invitant en belles fêtes
Mon âme à nu tu guides ses vertus comme une calèche
Toujours ma princesse après-minuit dans nos tête-à-têtes...
Iboujo
Leo
Toujours ma belle dame
J'ai en moi une flamme, une aigrette de chaleur à donner
Perpétue son éclat, fais jaillir le volcan et sa fournaise
Tu sais ma foudre d'étincelles ,mais aussi ma fébrilité
Toi seul a le secret par un élan de vaincre mon anémèse
Toujours, tu attises ce feu en moi, mon cœur réchauffé
De tes mains toujours habiles, tu embrases les braises
Toujours là, ensembles avec ce temps qui nous fait plier
Dans mes bras je t’enlace pour combattre tes complaises
Mon cœur contraint aux malaises, sa lueur escamotée
Ne le laisse pas s'affadir, et de tes paumes ranimées
Que tes dix bornes baguenaudent à musarder le foyer
Que ma cendre d'émoi renaisse , traitée avec habilité
Ensembles nous surmonterons les tempêtes affolées
Notre barque n'a qu'une rame pour deux êtres aimés
Notre amour soufflant voiles de notre galère avancée
Dès fois nous courbons, à deux nous ne pouvons plier
Avoue que la tâche est agréable , suffisant de doigté
Pour aiguiser l'ardeur de femme à l' amadou mignoté
Suffirai-je à te rendre maître de l'appétence de ton bras
Perpétue l'échancrure des croisées des mirettes sur moi
Tu sais toujours assaisonner et pigmenter notre nuitée
Ton corps n'est plus jouvencelle mais encore la beauté
Tu n'as jamais réussis à plus faire naître le désir en moi
Comme une antique légende entre charme de belle émoi
Et si tu vois dans mon regard de petites flammèches
Un sourire apparaitre , persuade bien ta tête
Que la tendresse couvée s'énamoure et s'allèche
Les à venir se perpétuent , se restaurent, s' infusettent.....
Entres vermeilles et merveilles, ton amour une flèche
Entres regard et sourires m'invitant en belles fêtes
Mon âme à nu tu guides ses vertus comme une calèche
Toujours ma princesse après-minuit dans nos tête-à-têtes...
Iboujo
Leo
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