Maudit soit ce jour où j’ai fait ta connaissance
Tu provoquas l’amour de mon adolescence
Sans Elle ma vie n’a plus aucun sens
Je fais face à mon impuissance
Si j’avais su que pour l’éternité
De t’aimer j’allais tenter
Ma souffrance allait dater
Uniquement pour m’exploiter
Alors je me refuse de souffrir
Quitte à t’enlever ce sourire
Cet amour naissant je l’aurais fait périr
Avant qu’il me fasse mourir
Je m’efforce d’aimer une femme qui ne m’aime pas
A continuer comme ça, un pas de plus, c’est le trépas
Je m’évade donc dans un univers plus sympa
Où plusieurs m’attirent avec leurs appâts
Et d’habitude je m’y suis pris
Je parle à ceux dans mon esprit
Au moins avec eux je ris
Douce schizophrénie quand tu me tiens,
De te libérer toute entière je me retiens
De peur de causer du chagrin,
Au près des miens il serait vain.
A croire que dans l’enfance je retombe,
Des amis imaginaires je me crée
Ils affirment que je creuse ma tombe,
Contre-nature pour eux, ils me tueraient.
Il arrive par fois qu’une de mes personnalités
Ait tendance, à travers mes lèvres, de fuiter
Et de prendre possession de mon corps
Ma parole est d’argent, la leurs est d’or.
Les psy parlent de trouble de l’identité
Dans ma tête, j’ai un personnage fictif
D’autres pensent que je suis hanté
Car je suis un homme dissociatif
Il est vrai j’entends des voix
Due à ma très forte acuité
Hallucinations visuelles j’en revois
Mais il ne faut pas s’en inquiété
Tu vois, avec elles je me sens bien
Oisif, je suis entouré de réelles amies
J’imagine que tu n’espères plus rien
Vois-y une forme de polygamie
Je ne suis plus moi, je suis nous
Petit à petit, je m’aboli
Cet amour de fou
Je l’aime à la folie.
Tu provoquas l’amour de mon adolescence
Sans Elle ma vie n’a plus aucun sens
Je fais face à mon impuissance
Si j’avais su que pour l’éternité
De t’aimer j’allais tenter
Ma souffrance allait dater
Uniquement pour m’exploiter
Alors je me refuse de souffrir
Quitte à t’enlever ce sourire
Cet amour naissant je l’aurais fait périr
Avant qu’il me fasse mourir
Je m’efforce d’aimer une femme qui ne m’aime pas
A continuer comme ça, un pas de plus, c’est le trépas
Je m’évade donc dans un univers plus sympa
Où plusieurs m’attirent avec leurs appâts
Et d’habitude je m’y suis pris
Je parle à ceux dans mon esprit
Au moins avec eux je ris
Douce schizophrénie quand tu me tiens,
De te libérer toute entière je me retiens
De peur de causer du chagrin,
Au près des miens il serait vain.
A croire que dans l’enfance je retombe,
Des amis imaginaires je me crée
Ils affirment que je creuse ma tombe,
Contre-nature pour eux, ils me tueraient.
Il arrive par fois qu’une de mes personnalités
Ait tendance, à travers mes lèvres, de fuiter
Et de prendre possession de mon corps
Ma parole est d’argent, la leurs est d’or.
Les psy parlent de trouble de l’identité
Dans ma tête, j’ai un personnage fictif
D’autres pensent que je suis hanté
Car je suis un homme dissociatif
Il est vrai j’entends des voix
Due à ma très forte acuité
Hallucinations visuelles j’en revois
Mais il ne faut pas s’en inquiété
Tu vois, avec elles je me sens bien
Oisif, je suis entouré de réelles amies
J’imagine que tu n’espères plus rien
Vois-y une forme de polygamie
Je ne suis plus moi, je suis nous
Petit à petit, je m’aboli
Cet amour de fou
Je l’aime à la folie.