Un jour inoubliable
Incarné dans nos memoires depuis quelques temps
Où nos aieux étaient formidable
Malgré les vents et marés, aussi l'ecoulement du sang.
Ô vertieres! Le 18 novembre 1803
Pieds nus, piquets à la main
Les indigènes défaient le pays des grands rois
Avec un esprit "d'être libre" comme soutien.
Ce jour là, était très fantastique
Beaucoup de motivation chez les indigènes
Qui ont bravé des moments de risque
Malgré, bien avant, ils étaient tenus par des chaines.
Les Français, les hommes de Napoleon
Les plus forts de cette époque
Qui nous traitaient très longtemps, CIMARON
Ne pouvaient pas contre carré ce grand choc.
À ne pas oublier, CAPOIS LA MORT
Qui déclara, "En avant, En avant!"
Suite aux tirs de feu français, et un cri fort:
"Les boulets sont des poussières" dans un second temps.
La France nous a enlevé TOUSSAINT
Pour nous tenir en esclavage
Heureusement la Poule a laissé ses poussins
Comme Capois, DESSALINES, qui ont lutté par la rage.
Quelle victoire haitienne par ce fort "vertière"!
Ce dernier qui dominait la ville du Cap
Nous donnait l'occasion de gagner cette guèrre
Et de donner, à l'adversaire, beaucoup de frappes.
A Souligner la présence de quelques femmes,
Marie-Jeanne, Claire-Heureuse, qui étaient fieres
D'apporter leur support, sous la pluie, et rester ferme
À la fin, le Drapeau tricolore s'inclinait, Ô VERTIÈRE!
Incarné dans nos memoires depuis quelques temps
Où nos aieux étaient formidable
Malgré les vents et marés, aussi l'ecoulement du sang.
Ô vertieres! Le 18 novembre 1803
Pieds nus, piquets à la main
Les indigènes défaient le pays des grands rois
Avec un esprit "d'être libre" comme soutien.
Ce jour là, était très fantastique
Beaucoup de motivation chez les indigènes
Qui ont bravé des moments de risque
Malgré, bien avant, ils étaient tenus par des chaines.
Les Français, les hommes de Napoleon
Les plus forts de cette époque
Qui nous traitaient très longtemps, CIMARON
Ne pouvaient pas contre carré ce grand choc.
À ne pas oublier, CAPOIS LA MORT
Qui déclara, "En avant, En avant!"
Suite aux tirs de feu français, et un cri fort:
"Les boulets sont des poussières" dans un second temps.
La France nous a enlevé TOUSSAINT
Pour nous tenir en esclavage
Heureusement la Poule a laissé ses poussins
Comme Capois, DESSALINES, qui ont lutté par la rage.
Quelle victoire haitienne par ce fort "vertière"!
Ce dernier qui dominait la ville du Cap
Nous donnait l'occasion de gagner cette guèrre
Et de donner, à l'adversaire, beaucoup de frappes.
A Souligner la présence de quelques femmes,
Marie-Jeanne, Claire-Heureuse, qui étaient fieres
D'apporter leur support, sous la pluie, et rester ferme
À la fin, le Drapeau tricolore s'inclinait, Ô VERTIÈRE!
ailleur je ne sais pas