Duo écrit par CRISTOU et ZUC
nous avons réalisé ce texte sur plusieurs mois en fonction de nos disponibilité respectives
ce qui selon nos humeurs donne un poème au ton décalé et surréaliste
Y a plus de monnaie dans le juke-box!
"ou philosophie de comptoir"
nous avons réalisé ce texte sur plusieurs mois en fonction de nos disponibilité respectives
ce qui selon nos humeurs donne un poème au ton décalé et surréaliste
Y a plus de monnaie dans le juke-box!
"ou philosophie de comptoir"
Bordel! Ha! Si Coluche était encore là,
Il nous en ferait boire de toutes les couleurs,
Du coca n'avons bu mais nous sommes chocolat,
Face à tout ce qu’il se passe, plus de chaleur…
Papardels! Greluches en fêtent ci et voila dans foutoir,
Demain il nous faudra manger des ailes de parpaillons,
Chaque fois et sans voix tous les ans, on devient plus noir,
Il nous faut maintenant avancer dans la boue mon caillon,
Tiens les moutons volent bas, l'hiver sera en avance?
Cette année plus que ces bourgeons, s’ignorent, implorent…
La terre en souffrance, nous ne faisons que soigner les apparences,
Fut un temps durant ces années, étions innocents qui s’exposent….
A traire les vaches, dans la boue et sales sous nos pieds fripés
Nous rêvions de fraternités et de mondes meilleurs
Jusque devenirs grands, sans jamais avoir à frimer où à flipper,
Que dans le noir grandissant déjà les loups de notre malheur
Il était une bergère et ri et ron petit patapon, bêê, bêê!
Dénouable et léger, ne sait comment nous protéger ami...
je ne craint rien si ce n'est des idées et une vie aux rabais
On s’expose, s’acharne sans cesse pour garder l’emprise
Depuis notre style nous suffit, on s’instruit et cela nous instruit
L'ennui, le soleil lui, la soupe est cuite, l'oiseau fait cuicui,
S’enfui et relui insatisfait, s’enivre comme jamais depuis
la machine à bruit éconduit toutes ces pièces que j'introduit,
Mais s’enraille a chaque fois que le disque préféré est choisi…
Et la vie passe comme un refrain…
Il nous en ferait boire de toutes les couleurs,
Du coca n'avons bu mais nous sommes chocolat,
Face à tout ce qu’il se passe, plus de chaleur…
Papardels! Greluches en fêtent ci et voila dans foutoir,
Demain il nous faudra manger des ailes de parpaillons,
Chaque fois et sans voix tous les ans, on devient plus noir,
Il nous faut maintenant avancer dans la boue mon caillon,
Tiens les moutons volent bas, l'hiver sera en avance?
Cette année plus que ces bourgeons, s’ignorent, implorent…
La terre en souffrance, nous ne faisons que soigner les apparences,
Fut un temps durant ces années, étions innocents qui s’exposent….
A traire les vaches, dans la boue et sales sous nos pieds fripés
Nous rêvions de fraternités et de mondes meilleurs
Jusque devenirs grands, sans jamais avoir à frimer où à flipper,
Que dans le noir grandissant déjà les loups de notre malheur
Il était une bergère et ri et ron petit patapon, bêê, bêê!
Dénouable et léger, ne sait comment nous protéger ami...
je ne craint rien si ce n'est des idées et une vie aux rabais
On s’expose, s’acharne sans cesse pour garder l’emprise
Depuis notre style nous suffit, on s’instruit et cela nous instruit
L'ennui, le soleil lui, la soupe est cuite, l'oiseau fait cuicui,
S’enfui et relui insatisfait, s’enivre comme jamais depuis
la machine à bruit éconduit toutes ces pièces que j'introduit,
Mais s’enraille a chaque fois que le disque préféré est choisi…
Et la vie passe comme un refrain…
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