Loin de toi, j'ai subit les pires souffrances,
Chacunes plus intenses,
J'ai tant de fois frôler la mort,
Même si je suis rongée de remords.
J'ai tant de fois marcher dans ce tunnel,
Qui n'essayait que de me donner mes ailes.
A présent, je ne compte même plus,
Les nuits où je me sens perdue.
Chaque soir je viens pleurer dans nos catacombes,
Chaque soir je rêve de reposer dans une tombe.
Car sans toi je ne suis plus rien,
Je vis comme un vaurien,
Car sans toi, ma vie ne vaux rien.
Chacunes plus intenses,
J'ai tant de fois frôler la mort,
Même si je suis rongée de remords.
J'ai tant de fois marcher dans ce tunnel,
Qui n'essayait que de me donner mes ailes.
A présent, je ne compte même plus,
Les nuits où je me sens perdue.
Chaque soir je viens pleurer dans nos catacombes,
Chaque soir je rêve de reposer dans une tombe.
Car sans toi je ne suis plus rien,
Je vis comme un vaurien,
Car sans toi, ma vie ne vaux rien.
J'essaye de subir toutes ces épreuves,
Mais en vain,
Ce poème est la preuve,
Que je ne suis qu'une moins que rien.
Mais en vain,
Ce poème est la preuve,
Que je ne suis qu'une moins que rien.