W et casseroles ou quand la Reine ne sait pas nager.
Un Jour de Novembre, par le hasard de la vie,
J'ai rencontré "Cassiopée", qui me pris pour un loup,
Elle voyait des louveteaux au chaud à l'abri,
Elle s'était trompée, car je suis un grand Ours,
La casserole, le chariot, porteur ou cuiseuse,
Un enfant naquit, à moitié ours. Et dormeur,
Tel père tel fils, du talent à mi temps, malheureuse,
Hibernation étant dure au réveil, à tôt d'heure,
Ne vous en faîtes pas, les loups n'hibernent,
*Elle pensa : serait ce possible qu'ils me bernent ?
Je sais, je vais le perdre en forêt pour le démasquer,
S'il est loup, il me trouvera, ours ? Je serais oubliée,*
Rien ne se passa comme elle l'avait prévu,
Car je l'ai cherché, je l'ai trouvé, et même revue,
Mais comme tous les Grands ours, je du dormir,
Surprise à mon réveil qu'une fille allait nous venir,
Ours mal réveillé, ours mal léché, "Cassiopée" vexée,
Sur un trône elle l'assoit et la nomme "Andromède",
La plus belle fille sur terre, par décision, mais vrai,
Le monde entier, pensait ses beaux cheveux remède,
Aucun ours n'aurait pu être plus fier, moitié louve,
Princesse, assise six pieds au dessus des autres,
En bon ourson, le fils avait déjà vu la douve,
Mais nous devions dormir, arrivèrent les apôtres,
Moitié louve, princesse oursonne, sans repos,
"Andromède" traçait la chaise dans les nuages,
Pendant notre repos, "Cassiopée " en fit trop,
Et au réveil, petit ours était grand, un mirage,
Plus grand que son père, plus sage que sa mère,
Aucune peur d'aller chasser en haute rivière,
"Cassiopée" compris alors, la louve, la reine,
Que je n'étais qu'un ours, avec mes peines,
Que sa chaise avait été chez moi, même dormant,
Qu' "Andromède" avait profité de ces sommeils,
Pour l'envoyer au ciel, aujourd'hui ce trône tournant,
Les écartèlent entre d'ours réels et d'inexistantes merveilles.
Un Jour de Novembre, par le hasard de la vie,
J'ai rencontré "Cassiopée", qui me pris pour un loup,
Elle voyait des louveteaux au chaud à l'abri,
Elle s'était trompée, car je suis un grand Ours,
La casserole, le chariot, porteur ou cuiseuse,
Un enfant naquit, à moitié ours. Et dormeur,
Tel père tel fils, du talent à mi temps, malheureuse,
Hibernation étant dure au réveil, à tôt d'heure,
Ne vous en faîtes pas, les loups n'hibernent,
*Elle pensa : serait ce possible qu'ils me bernent ?
Je sais, je vais le perdre en forêt pour le démasquer,
S'il est loup, il me trouvera, ours ? Je serais oubliée,*
Rien ne se passa comme elle l'avait prévu,
Car je l'ai cherché, je l'ai trouvé, et même revue,
Mais comme tous les Grands ours, je du dormir,
Surprise à mon réveil qu'une fille allait nous venir,
Ours mal réveillé, ours mal léché, "Cassiopée" vexée,
Sur un trône elle l'assoit et la nomme "Andromède",
La plus belle fille sur terre, par décision, mais vrai,
Le monde entier, pensait ses beaux cheveux remède,
Aucun ours n'aurait pu être plus fier, moitié louve,
Princesse, assise six pieds au dessus des autres,
En bon ourson, le fils avait déjà vu la douve,
Mais nous devions dormir, arrivèrent les apôtres,
Moitié louve, princesse oursonne, sans repos,
"Andromède" traçait la chaise dans les nuages,
Pendant notre repos, "Cassiopée " en fit trop,
Et au réveil, petit ours était grand, un mirage,
Plus grand que son père, plus sage que sa mère,
Aucune peur d'aller chasser en haute rivière,
"Cassiopée" compris alors, la louve, la reine,
Que je n'étais qu'un ours, avec mes peines,
Que sa chaise avait été chez moi, même dormant,
Qu' "Andromède" avait profité de ces sommeils,
Pour l'envoyer au ciel, aujourd'hui ce trône tournant,
Les écartèlent entre d'ours réels et d'inexistantes merveilles.