Votre galbe que je caresse ainsi du regard
N’est autre que mon malheur face à l’illusoire
De ne pouvoir chérir ce doux bijou sans fard
De baisers d’amour en guise de réquisitoire.
Pour ce désir ou jonche mes larmes en dépit
A vos pieds je me jette d’aucune retenu
En bouche cruelle voulant dévorer l’ennui
Me voici dans ce corps que je vous offre nu.
De ma langue j’en deviens le simple serviteur
Embrassant ce qui fait de vous ma reine
Apaisant vos envies je m’exécute sur l’heure
En caresse buccale que vos lèvres soit mienne.
La jouissance est ainsi à nos âmes meurtries
Ce rayon de soleil que nous nous permettons
Quand l’amour, la tristesse en dépit de la folie
Assène à notre cœur l’erreur d’un cupidon.
Vous faire rougir ma belle de mes mots s’il le faut
Entrant dans cette demeure joyau de votre intimité
Me délectant comme le ferai de sa langue Sappho
Glissant vers votre plaisir celui qui vous est voué.
PascalH
N’est autre que mon malheur face à l’illusoire
De ne pouvoir chérir ce doux bijou sans fard
De baisers d’amour en guise de réquisitoire.
Pour ce désir ou jonche mes larmes en dépit
A vos pieds je me jette d’aucune retenu
En bouche cruelle voulant dévorer l’ennui
Me voici dans ce corps que je vous offre nu.
De ma langue j’en deviens le simple serviteur
Embrassant ce qui fait de vous ma reine
Apaisant vos envies je m’exécute sur l’heure
En caresse buccale que vos lèvres soit mienne.
La jouissance est ainsi à nos âmes meurtries
Ce rayon de soleil que nous nous permettons
Quand l’amour, la tristesse en dépit de la folie
Assène à notre cœur l’erreur d’un cupidon.
Vous faire rougir ma belle de mes mots s’il le faut
Entrant dans cette demeure joyau de votre intimité
Me délectant comme le ferai de sa langue Sappho
Glissant vers votre plaisir celui qui vous est voué.
PascalH