Vince...
En cinq longs mois d’absence,
Je ne peux m’empêcher de regretter,
Auprès de moi ta présence,
Qui m’a tant rassurée…
Tes paroles qui réconfortaient mon cœur,
Tes mots qui séchaient mes pleurs,
Les bras contre lesquels je rêvais tant de me blottir,
Pouvoir scruter ton sourire…
Il y a 2 ans je n’avais pas compris,
Les craintes qui emplissaient ton cœur,
De nous voir un jour réunis,
Et aujourd’hui j’ai peur…
Je ne comprends ces sentiments,
Ton silence les amplifie,
Plus tu es absent,
Et plus ton retour me terrifie…
Je redoute qu’une fois de retour,
Mon cœur s’enflamme de passion,
Cette vive passion qu’est l’amour,
Qui me consumera tel un poison…