VERTE CAMPAGNE OU JE SUIS NEE
Verte campagne où je suis née,
Où j’aime venir me ressourcer,
Loin de la grande ville où j’habite désormais.
Me balader dans ses champs pastels,
De cette campagne, j’ai tant appris d’elle,
Elle a bercé mes doux moments d’enfance,
Lorsque petite fille, j’y allais en vacances.
Je suis nostalgique de ces petits patelins,
Qui se réveillent dans la rosée du matin.
Qu’il y fait bon vivre dans ces petits hameaux,
Où coulent de paisibles ruisseaux,
Au milieu des frais bocages,
Où paissent les vaches rousses;
Que la campagne me semble douce !
Nos ancêtres nous ont laissé de beaux héritages,
C’est dans la maison de ma grand-mère,
Que j’ai vécue ma plus tendre enfance,
Petite fille, j’en avais bien de la chance.
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Blottie contre le feu de la cheminée,
Je réchauffais mes bleus à l’âme,
Ce doux feu qui crépitait de mille flammes,
Grand-mère m’a appris les choses essentielles,
Et j’en remercie le ciel.
Pas loin, à l’ombre de ses jupons,
Sous la pluie, emmitouflée dans mon capuchon,
Elle savait lire et anticiper mes pensées,
Toutes mes envies, mes désirs les plus secrets.
Toutes les nuits, je dormais avec elle,
Et me réveiller matin sous ses ailes,
Quelque fois, je faisais semblant de dormir,
Dans la hâte, je la voyais se vêtir.
Elle se précipitait dans la cuisine,
Pour me préparer quelques tartines,
Que je dégustais avec un chocolat chaud,
En écoutant le chant des oiseaux.
Verte campagne où je suis née,
Où j’aime venir me ressourcer,
Loin de la grande ville où j’habite désormais.
Me balader dans ses champs pastels,
De cette campagne, j’ai tant appris d’elle,
Elle a bercé mes doux moments d’enfance,
Lorsque petite fille, j’y allais en vacances.
Je suis nostalgique de ces petits patelins,
Qui se réveillent dans la rosée du matin.
Qu’il y fait bon vivre dans ces petits hameaux,
Où coulent de paisibles ruisseaux,
Au milieu des frais bocages,
Où paissent les vaches rousses;
Que la campagne me semble douce !
Nos ancêtres nous ont laissé de beaux héritages,
C’est dans la maison de ma grand-mère,
Que j’ai vécue ma plus tendre enfance,
Petite fille, j’en avais bien de la chance.
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Blottie contre le feu de la cheminée,
Je réchauffais mes bleus à l’âme,
Ce doux feu qui crépitait de mille flammes,
Grand-mère m’a appris les choses essentielles,
Et j’en remercie le ciel.
Pas loin, à l’ombre de ses jupons,
Sous la pluie, emmitouflée dans mon capuchon,
Elle savait lire et anticiper mes pensées,
Toutes mes envies, mes désirs les plus secrets.
Toutes les nuits, je dormais avec elle,
Et me réveiller matin sous ses ailes,
Quelque fois, je faisais semblant de dormir,
Dans la hâte, je la voyais se vêtir.
Elle se précipitait dans la cuisine,
Pour me préparer quelques tartines,
Que je dégustais avec un chocolat chaud,
En écoutant le chant des oiseaux.