C’est le deuxième jour ; jour pour jour ;
Que je rêve de Toi, mais pourquoi Toi ?
Que je me réveille divise en deux ; c’est lourd ;
D’un cote tu me manque, et de l’autre je te hais, Toi.
Ce sourire sur ce fond de visage ;
De jalousie tu pouvais faire pâlir la lune ;
A tes cotes je me sentais pousser les ailes ;
Quand une à une, tu arrachais mes plumes.
Je me voyais les perdre sans y penser ;
Un matin j’en perdais deux et l’autre, un tas ;
C’est quand je pouvais plus m’envoler que tu m’invitais ;
A faire un tour là-haut, sans y parvenir hélas;
D’incapable tu me traitais.
Laisse-moi, va-t’en je t’en conjure!
Tu allumes toute fois cette flamme ;
Et quand elle brule ;
Tu me jette dans ce brasier et je me consume ;
Mes larmes, à défaut, ne l’éteins et tu assiste.
J’ai beau crier, mais l’autre te garde ;
Dans son étreinte, tu t’y réchauffe;
Entre ses bras, au coin de ce Feu, qui me ronge ;
Il te déclare sa flamme ;
Et t’ignore celle qui me consume.
Et de l’autre côté … tu me manque ;
Car chaque main posée sur Moi ;
Y a trace de profonds sillons ;
Et chaque douleur me rappelle sans stupeur
Que c’est fou c’est que j’ai pu être heureux.
Les courtes absences animait cette amour ;
Mais les longues l’ont noyées ;
Il y’a pas plus pire que le fait de penser ;
A celle, en qui on ne manque pas tout court.
Si pour l’amour l’absence est dangereux ;
L’amitié peut être un remède ?
Malgré ton tempérament impétueux ;
Je t’aime et je cède.
D’un côté je te hais ;
Et de l’autre tu me manque ;
Je l’avoue c’est insensé ;
Au fond je t’aime.
Guid@Jr
Que je rêve de Toi, mais pourquoi Toi ?
Que je me réveille divise en deux ; c’est lourd ;
D’un cote tu me manque, et de l’autre je te hais, Toi.
Ce sourire sur ce fond de visage ;
De jalousie tu pouvais faire pâlir la lune ;
A tes cotes je me sentais pousser les ailes ;
Quand une à une, tu arrachais mes plumes.
Je me voyais les perdre sans y penser ;
Un matin j’en perdais deux et l’autre, un tas ;
C’est quand je pouvais plus m’envoler que tu m’invitais ;
A faire un tour là-haut, sans y parvenir hélas;
D’incapable tu me traitais.
Laisse-moi, va-t’en je t’en conjure!
Tu allumes toute fois cette flamme ;
Et quand elle brule ;
Tu me jette dans ce brasier et je me consume ;
Mes larmes, à défaut, ne l’éteins et tu assiste.
J’ai beau crier, mais l’autre te garde ;
Dans son étreinte, tu t’y réchauffe;
Entre ses bras, au coin de ce Feu, qui me ronge ;
Il te déclare sa flamme ;
Et t’ignore celle qui me consume.
Et de l’autre côté … tu me manque ;
Car chaque main posée sur Moi ;
Y a trace de profonds sillons ;
Et chaque douleur me rappelle sans stupeur
Que c’est fou c’est que j’ai pu être heureux.
Les courtes absences animait cette amour ;
Mais les longues l’ont noyées ;
Il y’a pas plus pire que le fait de penser ;
A celle, en qui on ne manque pas tout court.
Si pour l’amour l’absence est dangereux ;
L’amitié peut être un remède ?
Malgré ton tempérament impétueux ;
Je t’aime et je cède.
D’un côté je te hais ;
Et de l’autre tu me manque ;
Je l’avoue c’est insensé ;
Au fond je t’aime.
Guid@Jr