Une troisième voix pour nos deux chattes (City et Lola)
DEUX CHATTES SUR UN CREA BRULANT ( duo city ,lola )
( La troisième voix : Luron1er)
On a habillé nos longues jambes des bas résilles noirs
Chaussée de hauts talons aiguilles des robes à défier le purgatoire
Des corsages balconnets à damner les saints, les oratoires
Les yeux couleur enfer, les lèvres rouges de la victoire
Vêtues comme des Vénus d'ivoire,
Aux pieds des grandes échasses pour mieux nous voir,
De bustes en terrasses pour proclamer vos seins au purgatoire,
Un œil grand ouvert sur les prochains mâles notoires.
Toutes les nuits on va on vient sur Pigale on aime le trottoir
Racolant ces messieurs en manquent d'éjaculatoire
Nous offrons nos faveurs à ces inconnus sans auditoire
Ouverte à leurs désirs parfois à l'écoute, leur prétoire.
Toujours d'un va et vient telle un chant de cigale, leur devoir,
Recrutant ça et là, des créatures en carence de savoir,
Donnant à tout va, vos valeurs de rue expiatoires,
Enfermant leurs soupirs de déroute en avaloir.
Nos langues raffolent de membres juteux
A faire pâlir les saintes, les plus ténébreux
Chaque soir nous offrons nos corps
Percher sur nos talons tel des miradors
Mon français et mon espagnol sont plutôt vaporeux,
Mais font rosir les bienheureuses beaucoup plus que l'hébreu,
Tout le jour, vous surveillez vos cors,
Jucher sur l'étalon, telles des matadors.
Les cuisses légères attirant toutes les verges
Câlins chaleureux pour la bricole d'un beau cierge
Rien de dégoûtant juste leur donner du bon temps
En porte jarretelles et talons hauts à deux tandems
La jambe aérienne toujours suivant les berges,
Enjôlant un peu les jolies babioles du beau Serge,
Tout propre jouant assidument sans contretemps,
Des jarretières pour l'étalon du bis en découlant.
Nous sommes des call-girls de luxe à la chute de rein
A faire monter les enchères de tous les bourrins
Femmes sans complexe, libertines, où putains
Pour tous ces hommes chaud lapin, sacristains, mondain
Vous êtes ces délires d'opulence et ne pensant à rien,
Descendant à la criée au son des tambourins,
Les hommes alambiqués, incroyants ou sans teint,
Attendant de la tiédeur des femmes : Un sacré festin.
Baiser dans vos draps de coton de satin de soie
Oser nous essayer une nuit nous jolies filles de joie
Un programme pour tous membres qui montent au toit
A genoux où debout fellation à tout heure pour des rois
Brasiers pas trop à l'aise, jambes en coton des fois,
Se risquer à tenter un jour une de ces belles : La joie,
Mon logiciel n'est pas membre pour descendre la voie,
Sur les talons en attendre les vibrations de ma belle voix.
Oui des femmes légères des péripatéticiennes
Que les hommes viennent à nous les praticiennes
Sur nos corps chauds et nos mains expertes
Ressentir la jouissance de nos gestes qui mènent à la perte
Non, ces hommes lourds espèrent des techniciennes,
Que les femmes surviennent comme des omnipraticiennes,
Dans nos chairs, prenant un pied de vos vers,
Pressentir leurs dispositions, leurs attitudes et leurs travers.
A leurs sexes en furies à qui l'on donne le plaisir
Aller par ici la monnaie on va vous faire pâlir
Des pros du collé-collé les braguettes vont sauter
Pour une partie de jambes en l'air, orgasme assuré
Garçons ou filles, ce texte n'est pas un déplaisir,
D'un don bénévole, simplement pour faire sourire,
Apprenti du copier-coller, de ma baguette vous allez valser,
Pour cet ensemble et de votre bel organe vous allez susurrer.
Merci de vos supers délires………..
DEUX CHATTES SUR UN CREA BRULANT ( duo city ,lola )
( La troisième voix : Luron1er)
On a habillé nos longues jambes des bas résilles noirs
Chaussée de hauts talons aiguilles des robes à défier le purgatoire
Des corsages balconnets à damner les saints, les oratoires
Les yeux couleur enfer, les lèvres rouges de la victoire
Vêtues comme des Vénus d'ivoire,
Aux pieds des grandes échasses pour mieux nous voir,
De bustes en terrasses pour proclamer vos seins au purgatoire,
Un œil grand ouvert sur les prochains mâles notoires.
Toutes les nuits on va on vient sur Pigale on aime le trottoir
Racolant ces messieurs en manquent d'éjaculatoire
Nous offrons nos faveurs à ces inconnus sans auditoire
Ouverte à leurs désirs parfois à l'écoute, leur prétoire.
Toujours d'un va et vient telle un chant de cigale, leur devoir,
Recrutant ça et là, des créatures en carence de savoir,
Donnant à tout va, vos valeurs de rue expiatoires,
Enfermant leurs soupirs de déroute en avaloir.
Nos langues raffolent de membres juteux
A faire pâlir les saintes, les plus ténébreux
Chaque soir nous offrons nos corps
Percher sur nos talons tel des miradors
Mon français et mon espagnol sont plutôt vaporeux,
Mais font rosir les bienheureuses beaucoup plus que l'hébreu,
Tout le jour, vous surveillez vos cors,
Jucher sur l'étalon, telles des matadors.
Les cuisses légères attirant toutes les verges
Câlins chaleureux pour la bricole d'un beau cierge
Rien de dégoûtant juste leur donner du bon temps
En porte jarretelles et talons hauts à deux tandems
La jambe aérienne toujours suivant les berges,
Enjôlant un peu les jolies babioles du beau Serge,
Tout propre jouant assidument sans contretemps,
Des jarretières pour l'étalon du bis en découlant.
Nous sommes des call-girls de luxe à la chute de rein
A faire monter les enchères de tous les bourrins
Femmes sans complexe, libertines, où putains
Pour tous ces hommes chaud lapin, sacristains, mondain
Vous êtes ces délires d'opulence et ne pensant à rien,
Descendant à la criée au son des tambourins,
Les hommes alambiqués, incroyants ou sans teint,
Attendant de la tiédeur des femmes : Un sacré festin.
Baiser dans vos draps de coton de satin de soie
Oser nous essayer une nuit nous jolies filles de joie
Un programme pour tous membres qui montent au toit
A genoux où debout fellation à tout heure pour des rois
Brasiers pas trop à l'aise, jambes en coton des fois,
Se risquer à tenter un jour une de ces belles : La joie,
Mon logiciel n'est pas membre pour descendre la voie,
Sur les talons en attendre les vibrations de ma belle voix.
Oui des femmes légères des péripatéticiennes
Que les hommes viennent à nous les praticiennes
Sur nos corps chauds et nos mains expertes
Ressentir la jouissance de nos gestes qui mènent à la perte
Non, ces hommes lourds espèrent des techniciennes,
Que les femmes surviennent comme des omnipraticiennes,
Dans nos chairs, prenant un pied de vos vers,
Pressentir leurs dispositions, leurs attitudes et leurs travers.
A leurs sexes en furies à qui l'on donne le plaisir
Aller par ici la monnaie on va vous faire pâlir
Des pros du collé-collé les braguettes vont sauter
Pour une partie de jambes en l'air, orgasme assuré
Garçons ou filles, ce texte n'est pas un déplaisir,
D'un don bénévole, simplement pour faire sourire,
Apprenti du copier-coller, de ma baguette vous allez valser,
Pour cet ensemble et de votre bel organe vous allez susurrer.
Merci de vos supers délires………..