(Poème pour des personnes vis-à-vis d'un groupe de discussion)
Un jour j’ai aperçu la lueur d’une entrée
Dans un monde étoilé et j’y ai déposé
Mon navire lunaire en ayant découvert
Ce nid dithyrambique aux parfums de lumières.
S’est entrouvert à moi un nouveau continent
Où la plume virtuelle enjôle les accents
En versifiant l’écrit de partages verbaux
Afin de mettre en scène un mélodieux tempo
De sujets nominaux au genre partisan
Pour que le masculin se conjugue fervent
Avec le féminin en échanges prisés.
Chaque épithète octroie un attribut primé
Afin de qualifier ces pronoms prosaïques
Pour que ce coordonne une aimante métrique
Qui mêlerai le temps d’un adjectif présent
Pour un radieux futur au passé désolant.
Mais dans ce paradis les majuscules veillent
Drapées de probité en stimulant l’éveil
De ces virgules drues au dissonant phrasé
Afin de les pousser à ne plus pulluler
Dans les conversations en césures oiseuses
Qui endommageraient l’harmonie liquoreuse.
Malgré ces exactions d’invariabilité
La conjonction n’abroge à se subordonner
Pour que l’anthologie d’une immuable symbiose
Ne cesse d’évoluer en une apothéose.
Dans ce songe lettré mon complément du nom
C’est uni d’affection par des prépositions
Qui m’ont offert leur cœur en un commun accord
D’un singulier penchant pour un pluriel apport.
Jamais je ne voudrais quitter ce dictionnaire
Cette astrale escapade aux vagues littéraires
Sur mon voilier nuptial en y hissant les voiles
Afin de continuer à ouïr vos récitals
Ces courants langagiers devenant familiers
Soutenant mes émois par vos proses ponctuées.
Chaque instant je me fige à tourner en silence
Ces pages nuancées emplies de connaissances
Egayant l’horizon de mon âme émiettée
Par des événements d’un sceau d’hilarité
Dont l’adverbe ne ment en communiant l’article
Pour palabrer du sens de ce mystérieux cycle
Qu’adonne ces discours d’une obscure nature.
Chaque entité dépeint par sa nomenclature
Sa personnalité en un lexique instruit
Composant par ses mots cette encyclopédie
Où j’aime m’égarer en ne priant qu’advienne
Le point définitif concluant cet Eden.
Oiseau Lyre.
Un jour j’ai aperçu la lueur d’une entrée
Dans un monde étoilé et j’y ai déposé
Mon navire lunaire en ayant découvert
Ce nid dithyrambique aux parfums de lumières.
S’est entrouvert à moi un nouveau continent
Où la plume virtuelle enjôle les accents
En versifiant l’écrit de partages verbaux
Afin de mettre en scène un mélodieux tempo
De sujets nominaux au genre partisan
Pour que le masculin se conjugue fervent
Avec le féminin en échanges prisés.
Chaque épithète octroie un attribut primé
Afin de qualifier ces pronoms prosaïques
Pour que ce coordonne une aimante métrique
Qui mêlerai le temps d’un adjectif présent
Pour un radieux futur au passé désolant.
Mais dans ce paradis les majuscules veillent
Drapées de probité en stimulant l’éveil
De ces virgules drues au dissonant phrasé
Afin de les pousser à ne plus pulluler
Dans les conversations en césures oiseuses
Qui endommageraient l’harmonie liquoreuse.
Malgré ces exactions d’invariabilité
La conjonction n’abroge à se subordonner
Pour que l’anthologie d’une immuable symbiose
Ne cesse d’évoluer en une apothéose.
Dans ce songe lettré mon complément du nom
C’est uni d’affection par des prépositions
Qui m’ont offert leur cœur en un commun accord
D’un singulier penchant pour un pluriel apport.
Jamais je ne voudrais quitter ce dictionnaire
Cette astrale escapade aux vagues littéraires
Sur mon voilier nuptial en y hissant les voiles
Afin de continuer à ouïr vos récitals
Ces courants langagiers devenant familiers
Soutenant mes émois par vos proses ponctuées.
Chaque instant je me fige à tourner en silence
Ces pages nuancées emplies de connaissances
Egayant l’horizon de mon âme émiettée
Par des événements d’un sceau d’hilarité
Dont l’adverbe ne ment en communiant l’article
Pour palabrer du sens de ce mystérieux cycle
Qu’adonne ces discours d’une obscure nature.
Chaque entité dépeint par sa nomenclature
Sa personnalité en un lexique instruit
Composant par ses mots cette encyclopédie
Où j’aime m’égarer en ne priant qu’advienne
Le point définitif concluant cet Eden.
Oiseau Lyre.
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