Une rose pour novembre
Octobre s'en va, et s'envolent tellement de pensées,
Vers ceux que l'on aime qui sont hélas disparus,
Le vent glacial de novembre se fait très rude,
Gelant toutes les âmes se remémorant de multiples souvenirs,
A travers tellement de discutions gentiment échangées
Il fouette ardemment certaines peaux glacées,
Alors qu'elles traversent les cimetières sous les décrus,
Où de nombreuses âmes semblent prudes,
Sans même jamais oser les ternir,
Juste avancer sans les oublier et rien en changer,
Entres les mains avoir une dernière rose de couleur écrue,
Malgré ce froid qui s'annonce déjà piquant sur les altitudes,
Là, on se recueille tout reste à jamais inchangé,
Pas même les chimères qui viennent nous prendre et nous bercés,
Rien qu'une rose, oui seulement une rose de novembre saura fleurir,
Sur toi oui toi l'ange qu'on oubliera jamais elle restera figée,
Les grâces de son parfum viendrons sur toi se dispersées,
Embaumerons ce paradis blanc, cet ange auxquels tu as cru,
Quand bien même pour toi, la vie était parfois hélas rude.
Octobre s'en va, et s'envolent tellement de pensées,
Vers ceux que l'on aime qui sont hélas disparus,
Le vent glacial de novembre se fait très rude,
Gelant toutes les âmes se remémorant de multiples souvenirs,
A travers tellement de discutions gentiment échangées
Il fouette ardemment certaines peaux glacées,
Alors qu'elles traversent les cimetières sous les décrus,
Où de nombreuses âmes semblent prudes,
Sans même jamais oser les ternir,
Juste avancer sans les oublier et rien en changer,
Entres les mains avoir une dernière rose de couleur écrue,
Malgré ce froid qui s'annonce déjà piquant sur les altitudes,
Là, on se recueille tout reste à jamais inchangé,
Pas même les chimères qui viennent nous prendre et nous bercés,
Rien qu'une rose, oui seulement une rose de novembre saura fleurir,
Sur toi oui toi l'ange qu'on oubliera jamais elle restera figée,
Les grâces de son parfum viendrons sur toi se dispersées,
Embaumerons ce paradis blanc, cet ange auxquels tu as cru,
Quand bien même pour toi, la vie était parfois hélas rude.