Une ondée d’âme…
Il fait jour, mais la pluie invite le jardin
Pour observer la rose à mourir de dédain
L’automne émeut la flore oh ! combien dénudée.
Pour observer la rose à mourir de dédain
L’automne émeut la flore oh ! combien dénudée.
Mais l’orage déferle et son espoir chagrin
Suit son trait sous l’éther comme un triste refrain
Les délices du temps sont une âme évadée.
Suit son trait sous l’éther comme un triste refrain
Les délices du temps sont une âme évadée.
Quand le rimeur s’exprime en la plume des mots,
Que l’amour vient couler dans l’encrier des flots
Le poète finit de colorer l’ondée.
Que l’amour vient couler dans l’encrier des flots
Le poète finit de colorer l’ondée.
Maria-Dolores
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