Une lyrique morale
Ce film m’a transportée de son art interdit
Qui pourtant est apport de maintes thérapies
Un envol nous berçant dans le monde enchanteur
Dans l’utopique bain d’un voyage enjôleur.
Je me suis avec ce, jeune Miguel, perdue
Dans l’émerveillement que m’octroyait ce ru
De pétales dansant au gré des sirocos
Que procurent les cœurs par leur battant tempo.
J’ai pu, pas après pas, en compagnie de cet
Erudit plein de vie, m’inculquer sa recette
Celle d’exaucer ses songes si précieux
En montrant que cet art est un pan radieux.
Sa famille est restée dans un sombre passé
Mais lui veut leur montrer par tous les procédés
Possibles, que l’on peut s’ouvrir, sans avoir peur
A cette mélodie si chère à notre cœur.
Il a certes offert beaucoup de trémolos
Mais il en est sorti grandi et en héros
En suivant, non un rêve égoïste, mais plutôt
Quelque chose qui va aider, en un écho…
…Sa famille, que ce soit, les défunts, ou vivant
Tout en dépeignant par la guitare, son présent/talent
Quand la passion se mélange avec notre âme
On peut tant apporter à ceux que l’on acclame.
Avec très peu d’outils, simplement nos émois
En rendant justice à un profond désarroi
Lorsque tout est sincère, en souhaitant vraiment
Renforcer les liens des vifs et des mourants.
C’est pourquoi ses faits sont, malgré les conséquences
Aux risques désastreux, la plus solide essence
Car en jouant sa vie, il va, par ses appeaux
Annihiler un tort, et soigner sa Coco.
C’est pour moi l’apogée annonçant de sa lyre
De résorber les plaies avant que tout empire
Afin de ressouder les liens parentaux
Et ne pas les gâter sur de vains quiproquos.
Ce film, par sa morale, sa musique, ses couleurs
Au sein de son éther, a offert à mon cœur
Des larmes et émois qui ont tôt fait perler
Mes yeux par ses apports tellement singuliers.
Rarement j’ai connu dans mon expérience
Cinématographique, un espoir de créance
Qui m’a tôt octroyé dès son visionnage
Le plus beau des onguents, le plus doux des présages.
Ses maintes qualités, qui avec mon art, riment
Pour pouvoir conter par son génie qui m’anime
Ont si bien inspiré mon envol littéraire
Grâce à l’inné et pur talent de son bréviaire.
Il est si cher et si précieux à mon âme
Rien n’a su égaler, présentement, sa flamme
Encore aujourd’hui, car sa tendre prosodie
Est sans aucun conteste, l’esprit de mes écrits.
Oiseau Lyre.
Ce film m’a transportée de son art interdit
Qui pourtant est apport de maintes thérapies
Un envol nous berçant dans le monde enchanteur
Dans l’utopique bain d’un voyage enjôleur.
Je me suis avec ce, jeune Miguel, perdue
Dans l’émerveillement que m’octroyait ce ru
De pétales dansant au gré des sirocos
Que procurent les cœurs par leur battant tempo.
J’ai pu, pas après pas, en compagnie de cet
Erudit plein de vie, m’inculquer sa recette
Celle d’exaucer ses songes si précieux
En montrant que cet art est un pan radieux.
Sa famille est restée dans un sombre passé
Mais lui veut leur montrer par tous les procédés
Possibles, que l’on peut s’ouvrir, sans avoir peur
A cette mélodie si chère à notre cœur.
Il a certes offert beaucoup de trémolos
Mais il en est sorti grandi et en héros
En suivant, non un rêve égoïste, mais plutôt
Quelque chose qui va aider, en un écho…
…Sa famille, que ce soit, les défunts, ou vivant
Tout en dépeignant par la guitare, son présent/talent
Quand la passion se mélange avec notre âme
On peut tant apporter à ceux que l’on acclame.
Avec très peu d’outils, simplement nos émois
En rendant justice à un profond désarroi
Lorsque tout est sincère, en souhaitant vraiment
Renforcer les liens des vifs et des mourants.
C’est pourquoi ses faits sont, malgré les conséquences
Aux risques désastreux, la plus solide essence
Car en jouant sa vie, il va, par ses appeaux
Annihiler un tort, et soigner sa Coco.
C’est pour moi l’apogée annonçant de sa lyre
De résorber les plaies avant que tout empire
Afin de ressouder les liens parentaux
Et ne pas les gâter sur de vains quiproquos.
Ce film, par sa morale, sa musique, ses couleurs
Au sein de son éther, a offert à mon cœur
Des larmes et émois qui ont tôt fait perler
Mes yeux par ses apports tellement singuliers.
Rarement j’ai connu dans mon expérience
Cinématographique, un espoir de créance
Qui m’a tôt octroyé dès son visionnage
Le plus beau des onguents, le plus doux des présages.
Ses maintes qualités, qui avec mon art, riment
Pour pouvoir conter par son génie qui m’anime
Ont si bien inspiré mon envol littéraire
Grâce à l’inné et pur talent de son bréviaire.
Il est si cher et si précieux à mon âme
Rien n’a su égaler, présentement, sa flamme
Encore aujourd’hui, car sa tendre prosodie
Est sans aucun conteste, l’esprit de mes écrits.
Oiseau Lyre.
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