Une Braise, une Flamme dans l'Âtre
C’est au coin de l’âtre, que tout passé revient
Que nous revoyons et racontons l’histoire ancienne !
Ces moments délicieux que nous retrouvons par la pensée !
Et soudain, sur une flamme
Est-ce un rêve ?
Un profond se dessine ?
Une réalité peut-être ?
Dans la beauté de cette chair nostalgique
Je sors d’une chère léthargie !
___
De l'âtre transpirent bien des émotions profondes
Et fructueuses quand les cœurs surprennent
Cet éclair dans le miroir de l’Âme les yeux.
___
Du chaud fagot de paille éclabousse la flamme
Crépite le bois sec en bouquet belle étoile
Mais la senteur de bûche enfumée nous réclame
Que braise par soufflet se dénude et s’envoile.
Vive langue de feu se délace ondoyante
En grâce animée elle tournoie et s’élève
Sous caresse un tison nous séduit nous enchante
Se réveille, s’éclaire activé par le glaive.
Tous heureux d’amour pour cet âtre joyeux
Visages en reflets sourient illuminés,
Les hommes enfiévrés fort cérémonieux
Retracent les bonheurs soudain parcheminés.
L’envol des cœurs s’évade en remuant la cendre
De ces soirées d’hivers en ces temps délicieux,
Regards subtils lointains viennent de redescendre
Sur une flamme ardente envoient un vif adieu*.
Suit l’artifice en feu l’étincelle envoyée,
Soirée au coin d’un ciel renaissent les aïeux,
Et l’Amour traversant l’oriflamme choyée
Agite l’étendard au sceau victorieux !
Polymnie2, ce 2 mars 2017
Adieu= pris dans le sens bonjour
C’est au coin de l’âtre, que tout passé revient
Que nous revoyons et racontons l’histoire ancienne !
Ces moments délicieux que nous retrouvons par la pensée !
Et soudain, sur une flamme
Est-ce un rêve ?
Un profond se dessine ?
Une réalité peut-être ?
Dans la beauté de cette chair nostalgique
Je sors d’une chère léthargie !
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De l'âtre transpirent bien des émotions profondes
Et fructueuses quand les cœurs surprennent
Cet éclair dans le miroir de l’Âme les yeux.
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Du chaud fagot de paille éclabousse la flamme
Crépite le bois sec en bouquet belle étoile
Mais la senteur de bûche enfumée nous réclame
Que braise par soufflet se dénude et s’envoile.
Vive langue de feu se délace ondoyante
En grâce animée elle tournoie et s’élève
Sous caresse un tison nous séduit nous enchante
Se réveille, s’éclaire activé par le glaive.
Tous heureux d’amour pour cet âtre joyeux
Visages en reflets sourient illuminés,
Les hommes enfiévrés fort cérémonieux
Retracent les bonheurs soudain parcheminés.
L’envol des cœurs s’évade en remuant la cendre
De ces soirées d’hivers en ces temps délicieux,
Regards subtils lointains viennent de redescendre
Sur une flamme ardente envoient un vif adieu*.
Suit l’artifice en feu l’étincelle envoyée,
Soirée au coin d’un ciel renaissent les aïeux,
Et l’Amour traversant l’oriflamme choyée
Agite l’étendard au sceau victorieux !
Polymnie2, ce 2 mars 2017
Adieu= pris dans le sens bonjour
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