Nous avons louvoyé dans un trésor vermeil
Bercé par la douceur d'un lumineux printemps
Au cœur d'un récit ou les frontières du temps
Demeurent endormies en ces sols de merveilles.
Le berceau d'Obélix nous permet d'entrevoir
Dans les couloirs du temps en pleine préhistoire
Où l'art de ces bosquets d'un vert ostentatoire
Nous dépeint tendrement ce petit bout d'histoire.
Des menhirs aux maisons, des poteries, aux armes
Nous revivons l'époque en un si beau voyage
Dans le néolithique aux cœurs de paysages
Qui renferment en eux un art qui nous désarme.
En effet si l'on sait écouter la nature
Elle révélera ses pensées et secrets
Car elle est un puit de sagesse et de respect
En cette écorce qui imprègne en sa verdure :
Un long et grand savoir par la force des âges
Chantés depuis toujours par des nuées d'oiseaux
Signant à tout jamais dans leur doux sirocco
Un hommage mordant au cœur de leur ramage.
Pour que ces troubadours, ces chanteurs émérites
Innés et précieux puissent remercier
Comme il se doit leur mère en ce berceau princier
Qui leur offre tout ce qui peut combler leurs rites.
Ses plus belles valeurs en tout lieu cathartiques
Qui allouent à chacun un conte hétéroclite
Qui imprègne nos sens pour offrir à ce mythe
Un air inoubliable au creux de sa musique.
Car chacun percevra cela différemment
Forcément puisqu'ayant son propre ressenti
Mais c'est vraiment ensemble en y mêlant nos vies
Que chacun crée ce qui engendre ses accents.
Car c'est dans l’émoi que deviennent féériques
Ces instants de bohème, car tous, à l'unisson
On apporte à cela un si personnel don
Celui de nos cœurs en un battement lyrique.
Afin que retentisse en ces moments nos joies
Pour que en harmonie à l'écho des bosquets
Sous les chants des oiseaux se dépeint un sonnet
Qui s’harmonisera au rythme de nos pas.
Afin que nous aussi en y foulant ces sols
On laisse notre empreinte au tréfonds de cette ère
Pour pouvoir éveiller au sein de notre mère
Un moment de partage, d'amour, en nos oboles.
Pour que ce cycle dure et demeure éternel
Afin de montrer que l’Histoire, au fil des ans
Perdurera à vie, car l’Homme est l’artisan
De Gé, pour que son art, ne prenne de séquelles.
Il aimera toujours croquer par ses moyens
Sa destinée, afin d’y laisser une trace
Et c’est ce qui fera la force, l’esprit, la grâce
De ces technicités dans le creux de ses mains.
Voilà pourquoi toujours, on aime retracer
Et découvrir sans fin cet inconnu passé
Car l’art en dit long sur les us de ces damnés
Restant immortels grâce à ce qu’ils ont créés.
Jamais ne périra sous les âges du temps
Ces monuments, dans l’âme et dans l’esprit des gens
Car notre patrimoine, passé, comme présent
Demeure notre force et nos remerciements…
…Pour tous ceux qui sont nés et qui ont façonné
Avant nous cet auguste et vénérable sphère
Et formant depuis lors un cocon de chimères
Où les cœurs, et idées, de ces gens sont gardés…
…Dans leur art, évoquant une âme qui jamais
Ne pourra dépérir, car son œuvre prospère
Dans notre époque afin que sa sage lumière
Devienne notre puit pour conter nos secrets.
Afin que notre esprit et notre imaginaire
Croquent, par notre art, sous l’inspirante nature
Des anciens, notre époque, pour que dans le futur
Nos enfants, à leur tour, l’honore et la vénère.
Oiseau Lyre.
Bercé par la douceur d'un lumineux printemps
Au cœur d'un récit ou les frontières du temps
Demeurent endormies en ces sols de merveilles.
Le berceau d'Obélix nous permet d'entrevoir
Dans les couloirs du temps en pleine préhistoire
Où l'art de ces bosquets d'un vert ostentatoire
Nous dépeint tendrement ce petit bout d'histoire.
Des menhirs aux maisons, des poteries, aux armes
Nous revivons l'époque en un si beau voyage
Dans le néolithique aux cœurs de paysages
Qui renferment en eux un art qui nous désarme.
En effet si l'on sait écouter la nature
Elle révélera ses pensées et secrets
Car elle est un puit de sagesse et de respect
En cette écorce qui imprègne en sa verdure :
Un long et grand savoir par la force des âges
Chantés depuis toujours par des nuées d'oiseaux
Signant à tout jamais dans leur doux sirocco
Un hommage mordant au cœur de leur ramage.
Pour que ces troubadours, ces chanteurs émérites
Innés et précieux puissent remercier
Comme il se doit leur mère en ce berceau princier
Qui leur offre tout ce qui peut combler leurs rites.
Ses plus belles valeurs en tout lieu cathartiques
Qui allouent à chacun un conte hétéroclite
Qui imprègne nos sens pour offrir à ce mythe
Un air inoubliable au creux de sa musique.
Car chacun percevra cela différemment
Forcément puisqu'ayant son propre ressenti
Mais c'est vraiment ensemble en y mêlant nos vies
Que chacun crée ce qui engendre ses accents.
Car c'est dans l’émoi que deviennent féériques
Ces instants de bohème, car tous, à l'unisson
On apporte à cela un si personnel don
Celui de nos cœurs en un battement lyrique.
Afin que retentisse en ces moments nos joies
Pour que en harmonie à l'écho des bosquets
Sous les chants des oiseaux se dépeint un sonnet
Qui s’harmonisera au rythme de nos pas.
Afin que nous aussi en y foulant ces sols
On laisse notre empreinte au tréfonds de cette ère
Pour pouvoir éveiller au sein de notre mère
Un moment de partage, d'amour, en nos oboles.
Pour que ce cycle dure et demeure éternel
Afin de montrer que l’Histoire, au fil des ans
Perdurera à vie, car l’Homme est l’artisan
De Gé, pour que son art, ne prenne de séquelles.
Il aimera toujours croquer par ses moyens
Sa destinée, afin d’y laisser une trace
Et c’est ce qui fera la force, l’esprit, la grâce
De ces technicités dans le creux de ses mains.
Voilà pourquoi toujours, on aime retracer
Et découvrir sans fin cet inconnu passé
Car l’art en dit long sur les us de ces damnés
Restant immortels grâce à ce qu’ils ont créés.
Jamais ne périra sous les âges du temps
Ces monuments, dans l’âme et dans l’esprit des gens
Car notre patrimoine, passé, comme présent
Demeure notre force et nos remerciements…
…Pour tous ceux qui sont nés et qui ont façonné
Avant nous cet auguste et vénérable sphère
Et formant depuis lors un cocon de chimères
Où les cœurs, et idées, de ces gens sont gardés…
…Dans leur art, évoquant une âme qui jamais
Ne pourra dépérir, car son œuvre prospère
Dans notre époque afin que sa sage lumière
Devienne notre puit pour conter nos secrets.
Afin que notre esprit et notre imaginaire
Croquent, par notre art, sous l’inspirante nature
Des anciens, notre époque, pour que dans le futur
Nos enfants, à leur tour, l’honore et la vénère.
Oiseau Lyre.
