Me croise ce matin un visage avec masque
Bleu-clair comme l’azur dans sa journée d’été
Passé à Biarritz longeant la côte basque
Dont le soleil auprès d’elle s’est endetté
Ses cheveux noirs de jais font office de casque
Couvrant son front qui ne paraît pas entêté
A vouloir démontrer qu’il est ferme et non flasque
Comme une peau usée jusqu’à satiété
Je vois des yeux semblant perdus dans ce décor
Qui pourraient être verts mais il passent trop vite
Et dans son soulier un pied a peut-être un cor
Je ne dis rien je pense et partant je m’invite
A repousser l’idée qu’avancent dans son corps
Des incongruités et j’en suis bien d’accord.
Bleu-clair comme l’azur dans sa journée d’été
Passé à Biarritz longeant la côte basque
Dont le soleil auprès d’elle s’est endetté
Ses cheveux noirs de jais font office de casque
Couvrant son front qui ne paraît pas entêté
A vouloir démontrer qu’il est ferme et non flasque
Comme une peau usée jusqu’à satiété
Je vois des yeux semblant perdus dans ce décor
Qui pourraient être verts mais il passent trop vite
Et dans son soulier un pied a peut-être un cor
Je ne dis rien je pense et partant je m’invite
A repousser l’idée qu’avancent dans son corps
Des incongruités et j’en suis bien d’accord.