Un train peut en cacher …..
Tout n’est que désordre et indifférence
Le long remords de ne plus tenir la main
Elle ne vit pas, aile vit plus, tout est apparence
Un sang coule sans plus sa teinte carmin
Ton image est délogée de la fenêtre du monde
Une magie noire aussi sombre qu’un corbeau
L’agonie du loup se heurte à cette fausse ronde
Qui contemple la lune pleine, même pas l’escarbot ?
Les traits placides étendus en terre à jamais
Des haillons sans plus de porte manteau
Sous l’éclair funèbre l’être meurt blessé
Dans les rues plus la trace de son sabot
Le bouclier du temps armés d’épine de rose
Frémit face aux chœurs devenus absents
S’évapore de l’encensoir un arôme qui n’ose
Le souffle de l’éternité, l’épigraphe d’un vivant
Avant que l’oubli ne frappe son cerveau
Comme un danseur fou tiré par des ficelles
Une marionnette triste, sale sans un oripeau
Tends ta douce main à la demoiselle.
LILASYS
Tout n’est que désordre et indifférence
Le long remords de ne plus tenir la main
Elle ne vit pas, aile vit plus, tout est apparence
Un sang coule sans plus sa teinte carmin
Ton image est délogée de la fenêtre du monde
Une magie noire aussi sombre qu’un corbeau
L’agonie du loup se heurte à cette fausse ronde
Qui contemple la lune pleine, même pas l’escarbot ?
Les traits placides étendus en terre à jamais
Des haillons sans plus de porte manteau
Sous l’éclair funèbre l’être meurt blessé
Dans les rues plus la trace de son sabot
Le bouclier du temps armés d’épine de rose
Frémit face aux chœurs devenus absents
S’évapore de l’encensoir un arôme qui n’ose
Le souffle de l’éternité, l’épigraphe d’un vivant
Avant que l’oubli ne frappe son cerveau
Comme un danseur fou tiré par des ficelles
Une marionnette triste, sale sans un oripeau
Tends ta douce main à la demoiselle.
LILASYS