Un temps de chien (calendrier de nos amis les bêtes)
(médaille chocolat) LILASYS 8.32
Voici venir, la truffe au vent, le premier mois
D’une année apportant des espoirs, des émois
Après tant de blizzard, voilà le HUSKYGLACE
Qui présente aujourd’hui son meilleur compagnon
Le plus jeune pourtant, finissant la saison
Le vaillant COLLEYBRUME usurpe toute place
Les poils ébouriffés, le BERGEMAN obtient
L’accord d’un temps violent, en acte de soutien,
Pour que germe un Printemps qui plaise à COCKEROSE
La campagne frissonne en éclat de couleurs
D’une prairie en fleurs aux rustiques odeurs
DALMAVOLEE arrive entaché d’une rose
La douceur de la mer invite en TECKELMAN
À chevaucher sur l’eau. Même le plus flemmard
Ne peut, à cet appel, rester un bloc de glace
Que fondrait un soleil plus brûlant que l’Enfer
CHIWADOSE aurait bien besoin d’un courant d’air
Ou d’un juteux melon qu’offrirait BOXERPLACE
L’Automne approche alors à petits pas de loup
Afin que nul perçoit qu’il se prépare un coup
S’en vient, sournoisement, un LABRAPLUIE en veille
Sur la nature en pleurs, il cherche son voisin
Car ROTHWEILLÛR sommeille sur grappe de raisin
Promettant au péquin un exquis jus de treille
Ce doux nectar des cieux fait oublier brouillard,
Les arbres dénudés de ce froid CANICHARD
L’humidité montante atteignant l’overdose
Sur les chemins gémit le vent qui fait plier
Emporte toute feuille en ce calendrier
Termine bien l’année, enfin SAINBERNARDOSE
****************
lilasys
(médaille chocolat) LILASYS 8.32
Voici venir, la truffe au vent, le premier mois
D’une année apportant des espoirs, des émois
Après tant de blizzard, voilà le HUSKYGLACE
Qui présente aujourd’hui son meilleur compagnon
Le plus jeune pourtant, finissant la saison
Le vaillant COLLEYBRUME usurpe toute place
Les poils ébouriffés, le BERGEMAN obtient
L’accord d’un temps violent, en acte de soutien,
Pour que germe un Printemps qui plaise à COCKEROSE
La campagne frissonne en éclat de couleurs
D’une prairie en fleurs aux rustiques odeurs
DALMAVOLEE arrive entaché d’une rose
La douceur de la mer invite en TECKELMAN
À chevaucher sur l’eau. Même le plus flemmard
Ne peut, à cet appel, rester un bloc de glace
Que fondrait un soleil plus brûlant que l’Enfer
CHIWADOSE aurait bien besoin d’un courant d’air
Ou d’un juteux melon qu’offrirait BOXERPLACE
L’Automne approche alors à petits pas de loup
Afin que nul perçoit qu’il se prépare un coup
S’en vient, sournoisement, un LABRAPLUIE en veille
Sur la nature en pleurs, il cherche son voisin
Car ROTHWEILLÛR sommeille sur grappe de raisin
Promettant au péquin un exquis jus de treille
Ce doux nectar des cieux fait oublier brouillard,
Les arbres dénudés de ce froid CANICHARD
L’humidité montante atteignant l’overdose
Sur les chemins gémit le vent qui fait plier
Emporte toute feuille en ce calendrier
Termine bien l’année, enfin SAINBERNARDOSE
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lilasys