Un matin de juillet, matinée ensoleillée,
tout autour de moi brillait, était beauté.
toute vétue de vert,
je réspirais le bon air,
scintillante de belles rosées,
par les rayons du soleil bercés.
au loin des flots bleus,
tout parraissait merveilleux,
les vagues m'éffleurait, me balotait,
tout en moi était en paix.
Mes larmes de bonheur ruissealntes,
formaient des riviéres poissonnantes,
amenant de large fleuve,
aussi loin qu'elles le peuvent.
tout près de moi des oiseaux,
aux sons enjoleurs et beaux,
me parrait de milles couleurs,
aux senteurs de milles fleurs.
De mon plus haut point,
le blanc m'habillait bien,
tout en bas le bleu profond,
ne faisait que le bien.
un matin de juillet je me suis réveillé,
pour mon malheur l'homme est né,
plus de blanc, plus de vert,
plus de bon air pour moi la terre.
tout autour de moi brillait, était beauté.
toute vétue de vert,
je réspirais le bon air,
scintillante de belles rosées,
par les rayons du soleil bercés.
au loin des flots bleus,
tout parraissait merveilleux,
les vagues m'éffleurait, me balotait,
tout en moi était en paix.
Mes larmes de bonheur ruissealntes,
formaient des riviéres poissonnantes,
amenant de large fleuve,
aussi loin qu'elles le peuvent.
tout près de moi des oiseaux,
aux sons enjoleurs et beaux,
me parrait de milles couleurs,
aux senteurs de milles fleurs.
De mon plus haut point,
le blanc m'habillait bien,
tout en bas le bleu profond,
ne faisait que le bien.
un matin de juillet je me suis réveillé,
pour mon malheur l'homme est né,
plus de blanc, plus de vert,
plus de bon air pour moi la terre.
