Dans le sous sol de mes peurs, bien rangés dans un tiroir, demeurent mes désespoirs.
A gauche de mes doutes, résident dans l’ombre, mes souffrances.
Un peu plus loin, un amas de pensées. Une montagne sur laquelle fleurit mes idées noires.
Une à une elles forment un sentier sinueux, faisant tomber sur le sol leurs pétales d’or et de sang.
Le chemin de mes vérités, ou d’une réalité voilée.
Avec lourdeur et silence, le voile tombe sur mes yeux, Il les ferme me montrant le néant infini grouillant.
Que chercher dans cet univers parallèle ? Un espoir, un ange ouvrant ses ailes ? Une repentance pour notre avenir déjà si frêle ?
Mes pas résonnent dans le tombeau des seigneurs de nos temps. Traçant sur la terre mes empreintes qui doucement s’effacent avec le vent.
Les souvenirs tomberont dans les cachots des royaumes oubliés, laissant à notre future un avenir peu glorieux.
Sur ma joue une larme coule teintée de rancœur, est-elle la clef de l’humilité ? Ouvrira-t-elle les portes de nos destins ?
J’ai bientôt fini ma traversé, et devant moi mon regard se pose sur l’humanité.
Posée, calme, elle m’observe de ses milliards d’âmes. Continuel cercle, vicieuse roue, l’avenir tourne et l’éphémère humain continue de croire qu’il est !
Sa main fragile se pose sur mes paupières et en un éclair m’ouvre les secrets d’un lendemain heureux.
Elle me dit, aime moi et tu vivras…
A gauche de mes doutes, résident dans l’ombre, mes souffrances.
Un peu plus loin, un amas de pensées. Une montagne sur laquelle fleurit mes idées noires.
Une à une elles forment un sentier sinueux, faisant tomber sur le sol leurs pétales d’or et de sang.
Le chemin de mes vérités, ou d’une réalité voilée.
Avec lourdeur et silence, le voile tombe sur mes yeux, Il les ferme me montrant le néant infini grouillant.
Que chercher dans cet univers parallèle ? Un espoir, un ange ouvrant ses ailes ? Une repentance pour notre avenir déjà si frêle ?
Mes pas résonnent dans le tombeau des seigneurs de nos temps. Traçant sur la terre mes empreintes qui doucement s’effacent avec le vent.
Les souvenirs tomberont dans les cachots des royaumes oubliés, laissant à notre future un avenir peu glorieux.
Sur ma joue une larme coule teintée de rancœur, est-elle la clef de l’humilité ? Ouvrira-t-elle les portes de nos destins ?
J’ai bientôt fini ma traversé, et devant moi mon regard se pose sur l’humanité.
Posée, calme, elle m’observe de ses milliards d’âmes. Continuel cercle, vicieuse roue, l’avenir tourne et l’éphémère humain continue de croire qu’il est !
Sa main fragile se pose sur mes paupières et en un éclair m’ouvre les secrets d’un lendemain heureux.
Elle me dit, aime moi et tu vivras…
c'est vraiment trop beau 
