Les jours s’enfuient, vers un nouveau printemps,
Et toujours ta beauté, inspirée par les cieux,
Fleurit sur ton sourire, et brille dans tes yeux,
D’un regard émeraude, aussi pur qu’un enfant.
Je voudrais me blottir sur tes lèvres de roses,
Où ta douce chaleur, inonderait mon cœur,
D’un torrent de flammes, dissipant la douleur,
De mon âme qui souhaite, avec toi faire osmose.
Je scrute l’horizon, à l’aube de mes nuits,
Pour que l’obscure clarté, tournée vers l’infini,
Me conduise au bonheur, de t’avoir près de moi.
Et si par un jour béni, la voix de mon amour,
Faisait fondre les chaînes, nouées à ton cœur sourd,
Jusqu’à mon dernier souffle, je n’aimerai que toi.
Et toujours ta beauté, inspirée par les cieux,
Fleurit sur ton sourire, et brille dans tes yeux,
D’un regard émeraude, aussi pur qu’un enfant.
Je voudrais me blottir sur tes lèvres de roses,
Où ta douce chaleur, inonderait mon cœur,
D’un torrent de flammes, dissipant la douleur,
De mon âme qui souhaite, avec toi faire osmose.
Je scrute l’horizon, à l’aube de mes nuits,
Pour que l’obscure clarté, tournée vers l’infini,
Me conduise au bonheur, de t’avoir près de moi.
Et si par un jour béni, la voix de mon amour,
Faisait fondre les chaînes, nouées à ton cœur sourd,
Jusqu’à mon dernier souffle, je n’aimerai que toi.