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Résultat du concours Un printemps pas comme les autres...du14 au 31Mars 2024

Lyseronplus

membre du staff
#1
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Concours du: 14 Mars au 31Mars 2024

Résultats: 2 Avril 2024

*****************


Thème: Un printemps pas comme les autres

Avec ces 20 mots imposés décrivez nous le Printemps qui pointe son « nez ...»

Larmes... fleurs...danse...charrette...douceur...espérance...amour...angoisse...cachette...souffle...
monde...rivière...champêtre...meute...chasseur...théâtre...cheminer...cloche... ombre...folie.


Consignes:
Écrire en alexandrins ( 12 pieds)
En rimes embrassées
6 quatrains demandés.


Veillez à l’orthographe, aux concordances des temps,
aux répétitions, à la ponctuation...


Attendre les résultats avant de poster sur votre page, vos poèmes participants au concours.
Vous pouvez m'envoyer 3 poèmes, ainsi qu'un hors concours sur ma MP.


Si vous désirez être juges, en faire la demande sur ma messagerie....Merci

Belle inspiration à tous....

Lys

**********************************


Un grand merci pour votre participation fidèles ami(e)s poètes

Pas de notes mais bravo pour vos beaux écrits

Amitiés ....Lys

******************


Participant(e)s



Matthale

"Symphonie Printanière : L'Éveil des Saisons"

Ce Printemps naissant, aux larmes ensemencées,
Fleurs épanouies offrent la danse enchantée.
La charrette, en douceur se fait la messagère,
Porteuse d'espérance et rêves en prière.


L'amour, un souffle léger, parcourt les chemins,
Malgré l'angoisse qui parfois glisse en mutin.
La cachette, une promesse dissimulée,
Refuge caché lorsque l'ombre dévoilée.


Au bord de la rivière, d'un décor champêtre,
La meute en chassant cette ardeur de tout son être.
Théâtre, saisons, nature en partition,
Offre au monde l'éternelle transfusion.


Sur le chemin de vie, la cloche sonne en temps,
Invitant à avancer malgré les tourments.
Cette folie qui anime notre existence,
Cache la vérité de notre propre essence.


Vers la rivière, nature s'épanche en chants,
Un décor champêtre, loin des soucis pesants.
Mode des saisons chasse les peurs enfouies,
Et le chasseur de rêves traque cet oubli.


Le théâtre des jours, l'ombre danse en cadence,
Cheminant la lumière, avec persévérance.
La cloche du Printemps résonne en mélodie,
Guidant nos pas vers la folle envie infinie.



consignes pour les mots imposés : vous utilisez bien le verbe cheminer au participe présent « cheminant »
pour les rimes ce ne sont pas des rimes embrassées, mais redoublées,
sinon les rimes sont bonnes presque toutes en rimes F/M sauf pour « oubli » dommage,
pour les alexandrins ok, mais alexandrins néoclassiques la césure n’étant pas respectée, ni la règle des hiatus,
un printemps bien évoqué comme une scène du théâtre de la vie, mais aux vues de l’énoncé du sujet
en quoi est-il un printemps pas comme les autres
une belle lecture

Superbe écrit, de beaux alexandrins, vous avez su utiliser les vingt mots,
avec subtilité sans oublier la beauté du Printemps, une réalité s'exprime....
(juste un petit bémol : rimes suivies et non embrassées)

***************


Williams le cornier

Un printemps autrement.

Quand la nature danse avec son paysage ;
Sans l'ombre d'un regret pour son manteau d'hiver ;
Échangé récemment contre un bel habit vert.
Couleurs de l'espérance et de son beau feuillage.


Car rien n'obscurcira l'amour et le bonheur.
Du monde naturel, né d'une beauté pure.
Où l'on entend partout de doux chants en murmures ;
Sous le bruit d'une meute à cause d'un chasseur.


Quand, d'un coup de folie, il quitte sa cachette ;
Et avec une angoisse et des larmes aux yeux.
En écoutant la cloche, en se montrant joyeux.
Au bord de la rivière, auprès de sa charrette.


Tout près de la forêt, un théâtre champêtre
Souffle un air de printemps, qui n'est que pureté ;
Tel un super tableau de somptuosité ;
En bordure d'un champ près d'une ferme équestre.


Où naissent les jardins quand l'hiver se repose ;
On respire l'air pur de ces bonnes odeurs.
Émanant des parfums aux premières lueurs.
Quand l'aube au point du jour, de sa fraîcheur l'arrose.

De sa belle saison aux couleurs aquarelles ;
Parfumant les matins de leurs premières fleurs.
Sous un ciel plus clément, d'agréables senteurs
Qui laisse cheminer les douceurs éternelles.


consignes pour les mots imposés ok,, pour les rimes embrassées ok, avec alternance F/m,
attention cette rime est défectueuse « champêtre/équestre
pour les alexandrins tout est ok,
description d’une scène champêtre et printanière hormis le titre
qui le dit en quoi ce printemps n’est pas comme les autres ??
un joli poème mais je pense que certains vers auraient pu être encore mieux exprimés

Un printemps que vous décrivez avec beaucoup de délicatesse,
Merci pour ce joli tableau. (mots parfaitement placés,
beaux alexandrins et respect des rimes embrassées)
Dommage que vous n'ayez pas fait ressortir la raison qui,
fait que votre Printemps diffère
d'autres Printemps.

***************

Angepapillonnanou

Sous les souffles printaniers

Un souffle printanier, léger et insouciant,
Danse à travers les champs, effleurant les bourgeons,
L’hiver s’éclipse, sans angoisse ni frisson,
La nature s’éveille, vibrant d’un vert éclatant.


Les jardinières, suspendues à leur charrette,
Révèlent leurs trésors, fleurs en épanouissement,
Leurs parfums enivrants, douceur du printemps,
Reflets du bonheur, dans un tableau parfait.


Sous les lueurs matinales, l’ombre d’un chasseur,
Silencieux, il traverse la faune sauvage,
Attendant le coup de théâtre, la meute en furie,
Son regard, empreint de douceur, contemple la vie.


L’écho d’une cloche ancienne, souvenir d’amour champêtre,
Des baisers échangés près d’une rivière,
Leurs sentiments, tels des poèmes en lumière,
Ceux-là ont tissé des amours, simples et sincères.


Le feu dans l’âtre s’apaise, laissant place à l’aurore,
Les fenêtres s’ouvrent sur la beauté naturelle,
Magie éternelle, éveillant les cœurs en ritournelle,
Dans ce théâtre du jour, l’humanité explore.


La lumière se faufile, caressant la campagne endormie,
Les ombres nocturnes s’évanouissent, laissant la vie éclore,
Sous le soleil qui scintille, chaque pétale explore,
La rivière chante, accompagnant les amants en harmonie.


Dans la brise légère, les fleurs dansent leur histoire,
La charrette avance, cahin-caha, sur le chemin de terre,
Portant les espoirs, les rêves d’un monde sincère,
Où l’amour et l’espérance triomphent, libres de toute chaîne.


Ainsi chemine le temps, au rythme des saisons,
Dans la cachette du cœur, souffle et folie se mêlent,
Chaque âme trouve son théâtre, sa scène éternelle,
Et la danse continue, sous le ciel en fusion.


consignes : pour les mots imposés manque « larme », il était demandé 6 quatrains non 8, pour les rimes embrassées pas dans tous les quatrains et quelques vers ne riment pas « cachette et parfait », 3ème quatrain en rime plate et ne riment pas « chasseur et sauvage », ne riment pas « champêtre et sincère », « histoire et chaîne » dernier quatrain attention on se devrait d’éviter de faire rimer une diérèse et une synérèse ensemble ou avec un son simple ici « saisons et fusion » son « ons et ion »,
pour les alexandrins, ce n’est pas tout bon même en ne prenant pas en compte les diérèses et les synérèses , certains vers sont trop long et d’autre ont moins de 12 pieds,
un printemps porteur d’espoir, mais comme pour les précédents en quoi ce printemps n’est pas comme les autres ??
bien poétique malgré les petites erreurs​

Votre Printemps est idyllique, revigorant et très agréable à lire...merci,
mais il manque la raison pour laquelle il est différent d'autres printemps.
Peu d'alexandrins.
Vous avez oublié le mot : larmes,
(6 quatrains maximum demandés)

***************



Hors concours



Fuligineux printemps.......Llumièrelive

Dépourvu d’une crédulité d’espérance,
Gorgé d’ombre malveillante des lendemains,
Planant sur la flore, la faune et êtres humains
Ce printemps pavoise la berne d’insouciance,


La douceur et l’amour ne peuvent cheminer,
L’angoisse et l’effroi s’affichent en ce monde immonde,
Une terreur fébrile se profile et gronde,
Les autocrates se voulant d’exterminer,


Démunie de tout équipement militaire,
La chair à canon est hissée dans les convois,
Car l’état a fait don de ses armes en pavois,
Vous savez qui en a été l’attributaire !


Qu’importe la meute de Famas, de blindés,
Inexistante et caduc face au nucléaire,
Futiles le corps à corps et préliminaire,
Nul ne rentrera valide ou à cloche pieds !


La saison du théâtre d’éveil est en larmes :
Une charrette de folie vrille le ciel
Donnant à toute fleur un remugle de fiel
Tel le souffle d’un chasseur dégorgeant ses armes,


L’exquise danse champêtre est anéantie,
Les oiseaux, les arbres ne sont plus que squelettes,
Les gazouillis de la rivière… des mitraillettes,
Aucune cachette atomique garantie…


***************

Un printemps que je n’espérais plus.......Lys

L'ardoise du ciel est en larmes, mon âme aussi...
Malgré le souffle d'angoisse qui se promène,
J'espère en cachette que promesse amène

L'illuminera de son spectacle joli...

Ô pluie tu frappes avec ferveur sur la fenêtre,
Malgré l'absence cruelle d'un être cher,
Tu t'en donnes à cœur joie, grimé d'un rire amer
Tu danses
, inondant le théâtre d'un ancêtre...

Loin sonne la cloche pascale ralliant
Ses ouailles toujours en quête d'espérance.
Perchée sur une charrette qui se balance,
La sainte meute est en folie, s'égosillant...


Petit monde champêtre s'en va cheminer
Les bras chargés de belles fleurs printanières.
Sur la route chasseurs d'amour et bannières
Flottent sur les ombres qui tendent à s'installer...


Printemps, pourquoi ce vent de haine sillonnant
En rivières ? Peux-tu m'enrober de douceurs,
Me faire oublier pour un instant les horreurs
De cette vie, me laisser rêver sur un banc ?




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Dernière édition:

Lyseronplus

membre du staff
#5
Luron je ne vois pas comment faire apparaitre mon concours sur la rubrique Concours pourrais-tu m'aider ? merci par avance
Amitiés....Lys
 

Luron2ème

membre du staff
#7
La folie de ce concours de printemps n’apporte pas de fleurs à créapoême.
L’espérance est une angoisse que la douceur ne souffle pas où en cachette.
Il y a une affaire qui cloche quand manquent les écrits..
La charrette d’amour du jury ne danse pas, mais ressasse une rivière de larmes et est rempli de vains maux..

L’ombre de notre monde n’est point champêtre quand une meute de chasseurs veut cheminer sur les théâtres de guerre.
 
Dernière édition:
#10
Angepapillonnanou

Sous les souffles printaniers

Un souffle printanier, léger et insouciant,
Danse à travers les champs, effleurant les bourgeons,
L’hiver s’éclipse, sans angoisse ni frisson,
La nature s’éveille, vibrant d’un vert éclatant.


Les jardinières, suspendues à leur charrette,
Révèlent leurs trésors, fleurs en épanouissement,
Leurs parfums enivrants, douceur du printemps,
Reflets du bonheur, dans un tableau parfait.


Sous les lueurs matinales, l’ombre d’un chasseur,
Silencieux, il traverse la faune sauvage,
Attendant le coup de théâtre, la meute en furie,
Son regard, empreint de douceur, contemple la vie.


L’écho d’une cloche ancienne, souvenir d’amour champêtre,
Des baisers échangés près d’une rivière,
Leurs sentiments, tels des poèmes en lumière,
Ceux-là ont tissé des amours, simples et sincères.


Le feu dans l’âtre s’apaise, laissant place à l’aurore,
Les fenêtres s’ouvrent sur la beauté naturelle,
Magie éternelle, éveillant les cœurs en ritournelle,
Dans ce théâtre du jour, l’humanité explore.


La lumière se faufile, caressant la campagne endormie,
Les ombres nocturnes s’évanouissent, laissant la vie éclore,
Sous le soleil qui scintille, chaque pétale explore,
La rivière chante, accompagnant les amants en harmonie.


Dans la brise légère, les fleurs dansent leur histoire,
La charrette avance, cahin-caha, sur le chemin de terre,
Portant les espoirs, les rêves d’un monde sincère,
Où l’amour et l’espérance triomphent, libres de toute chaîne.


Ainsi chemine le temps, au rythme des saisons,
Dans la cachette du cœur, souffle et folie se mêlent,
Chaque âme trouve son théâtre, sa scène éternelle,
Et la danse continue, sous le ciel en fusion.



C'est de la Poésie Angepapillonnanou
Une performance poétique où les larmes sont de joie

Publiez - le , je le mettrais en coup de coeur

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Beau printemps à vous, ainsi qu'à toutes et à tous

La Vagabonde de la Poésie
 
#11
hors concours

Fuligineux printemps

Dépourvu d’une crédulité d’espérance,
Gorgé d’ombre malveillante des lendemains,
Planant sur la flore, la faune et êtres humains
Ce printemps pavoise la berne d’insouciance,

La douceur et l’amour ne peuvent cheminer,
L’angoisse et l’effroi s’affichent en ce monde immonde,
Une terreur fébrile se profile et gronde,
Les autocrates se voulant d’exterminer,

Démunie de tout équipement militaire,
La chair à canon est hissée dans les convois,
Car l’état a fait don de ses armes en pavois,
Vous savez qui en a été l’attributaire !

Qu’importe la meute de Famas, de blindés,
Inexistante et caduc face au nucléaire,
Futiles le corps à corps et préliminaire,
Nul ne rentrera valide ou à cloche pieds !

La saison du théâtre d’éveil est en larmes :
Une charrette de folie vrille le ciel
Donnant à toute fleur un remugle de fiel
Tel le souffle d’un chasseur dégorgeant ses armes,

L’exquise danse champêtre est anéantie,
Les oiseaux, les arbres ne sont plus que squelettes,
Les gazouillis de la rivière… des mitraillettes,
Aucune cachette atomique garantie…