Un peu plus
Dans la délicatesse, s'installe déliquescente,
Ombre et faiblesse, il implore encore,
Face à la pureté, il s'incline à genoux,
Quel repentir, et l'or à son cou.
Quand devant la tendresse, se termine la descente,
Manquant d'allégresse, il déplore le sort,
Mais devant la beauté, il faut bien s'incliner,
Pourquoi souffrir ? Son cou à croquer.
Es-tu, délivrance ?
Quand il souffle des heures,
Devant tes longs silences,
Il saigne d'amour et de sueur,
Mais à tant de beauté, surtout ne pas tout perdre,
Le risque est grand, le bonheur encore,
Amoureux avisé, solide comme le cèdre,
Tout sacrement, à son cou de l'or.
Dans la délicatesse, s'installe déliquescente,
Ombre et faiblesse, il implore encore,
Face à la pureté, il s'incline à genoux,
Quel repentir, et l'or à son cou.
Quand devant la tendresse, se termine la descente,
Manquant d'allégresse, il déplore le sort,
Mais devant la beauté, il faut bien s'incliner,
Pourquoi souffrir ? Son cou à croquer.
Es-tu, délivrance ?
Quand il souffle des heures,
Devant tes longs silences,
Il saigne d'amour et de sueur,
Mais à tant de beauté, surtout ne pas tout perdre,
Le risque est grand, le bonheur encore,
Amoureux avisé, solide comme le cèdre,
Tout sacrement, à son cou de l'or.
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