Un paysage sur cent .

[Fysco]

Vers le ciel ironique et cruellement bleu,
L'horizon retenait des nuages heureux.
Une rivière au fond ; des bois sur les deux pentes
Et toute la montagne, où maint troupeau serpente.

Voyez, dans son bassin, l'eau d'une source vive.
Là, des saules pensifs qui pleurent sur la rive.
Aux coteaux où la vigne étend ses pampres verts,
Les sauvages sommets de genêts recouverts.

Couché sur ses genoux, le boeuf pesant rumine,
Voici qu'à l'horizon notre soleil décline.
Vois les pâles reflets des bois qui vont jaunir,

L'âme immense du monde autour de toi frémir,
Rayonner et frémir, dignes d'un chant lyrique.
Le dernier mot, ce paysage est magnifique.

 

[Polymnie2]

Et ton poème est encore plus magnifique.
Que de mots pour le décrire, c'est une vraie peinture!

Merci Fysco, Amitiés, Polymnie2

 

[Fysco]

Et ton poème est encore plus magnifique.
Que de mots pour le décrire, c'est une vraie peinture!

Merci Fysco, Amitiés, Polymnie2

Merci d'aimer la poésie...ce texte n'est qu'un réarrangement (centon ) de vers de grands poètes.

( mais c'est quand même des heures de lecture et de recherche...)

 

[Polymnie2]

Merci d'aimer la poésie...ce texte n'est qu'un réarrangement (centon ) de vers de grands poètes.

( mais c'est quand même des heures de lecture et de recherche...)

Disons que c'est du Grand Art et que oui, la recherche minutieuse prend du temps, avec une profonde sensibilité des mots que tu lui mets à disposition.

Merci encore, Polymnie2