Quand apparaît le temps
D'un nouveau souffle
Aux couleurs du printemps
Les douleurs s'essoufflent
L'envie d'arborer les pentes
À deux sur cette montagne
Aux chemins qui serpentent
Le crépuscule nous gagne
Contempler la voûte céleste
Des étincelles percent le ciel
Quand les étoiles se délestent
Des amours artificiels
Le souvenir des lendemains
Des blessures qui nous dépassent
Savoir tendre les mains
Puis suivre l'aura qui passe
Accueillir les caresses satinées
Consentir à les poursuivre
Sous la lueur d'une aube raffinée
Des baisers qui enivrent
Sans le connaître
Rêver de ses bras
Un matin le voir apparaître
Et son cœur me prendra
D'un nouveau souffle
Aux couleurs du printemps
Les douleurs s'essoufflent
L'envie d'arborer les pentes
À deux sur cette montagne
Aux chemins qui serpentent
Le crépuscule nous gagne
Contempler la voûte céleste
Des étincelles percent le ciel
Quand les étoiles se délestent
Des amours artificiels
Le souvenir des lendemains
Des blessures qui nous dépassent
Savoir tendre les mains
Puis suivre l'aura qui passe
Accueillir les caresses satinées
Consentir à les poursuivre
Sous la lueur d'une aube raffinée
Des baisers qui enivrent
Sans le connaître
Rêver de ses bras
Un matin le voir apparaître
Et son cœur me prendra
lucyma#19janvier2017#