Un homme rond, tu fuis. . .
D'après Une femme au fond du puits ...!! De Lilasys
Aujourd'hui, détends-toi et tamises cette lueur dernière,
Car jamais tu ne fuis devant ces nuits cahotées,
Soit ancrée avec ton carré d'amis et reste fière,
Ou ton grand cœur émouvant donne ce goût à fêter,
Déroule tes envies en rimant tes vers de Molière ou Racine,
Que de tes délires sortent des orages pour que tu te déchaines,
Et sous mon petit chêne, je ris d'un riz qui ne vient pas de Chine,
Ressort de ta cage sans t'emmêler pour enlever tes peines,
De rire, je me mords, je fais des bonds, je n'sais plus ou me mettre,
Demain, bien gantées, tu auras une belle et noble parure,
Celle qu'on met quand on a du pognon, qu'on peut se permettre,
Pour toujours avoir ce sacerdoce d'aller plus loin vers le futur,
Transformer la cage en ilot de verdure avec de belles pierres,
Que ton panorama grandiose s'agrémente d'un bel arc en ciel,
Comme de belles dorures remplaçant la rouille du fer,
L'homme que tu trouveras enfin ne sera pas rempli de fiel,
Il ne sera point odieux, ajoutant sa bise au vent enchanté,
Jouant d'une harpe aux accents d'une ondée vénusienne,
Refluant tous les affres des vieux démons, enfin l'homme rêvé,
Te recouvrant de ce drap de soie parfumé de sa propre hygiène.
D'après Une femme au fond du puits ...!! De Lilasys
Aujourd'hui, détends-toi et tamises cette lueur dernière,
Car jamais tu ne fuis devant ces nuits cahotées,
Soit ancrée avec ton carré d'amis et reste fière,
Ou ton grand cœur émouvant donne ce goût à fêter,
Déroule tes envies en rimant tes vers de Molière ou Racine,
Que de tes délires sortent des orages pour que tu te déchaines,
Et sous mon petit chêne, je ris d'un riz qui ne vient pas de Chine,
Ressort de ta cage sans t'emmêler pour enlever tes peines,
De rire, je me mords, je fais des bonds, je n'sais plus ou me mettre,
Demain, bien gantées, tu auras une belle et noble parure,
Celle qu'on met quand on a du pognon, qu'on peut se permettre,
Pour toujours avoir ce sacerdoce d'aller plus loin vers le futur,
Transformer la cage en ilot de verdure avec de belles pierres,
Que ton panorama grandiose s'agrémente d'un bel arc en ciel,
Comme de belles dorures remplaçant la rouille du fer,
L'homme que tu trouveras enfin ne sera pas rempli de fiel,
Il ne sera point odieux, ajoutant sa bise au vent enchanté,
Jouant d'une harpe aux accents d'une ondée vénusienne,
Refluant tous les affres des vieux démons, enfin l'homme rêvé,
Te recouvrant de ce drap de soie parfumé de sa propre hygiène.